RESISTER! C'est la devise de la République qu'il convient de ne pas dégrader
14/01/2012
Le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer (UMP) a provoqué mercredi une vague d'indignation ...... en déclarant que les conséquences économiques et sociales d'un rendez-vous "raté" en 2012 seraient comparables "à celles provoquées par une guerre".
Ses propos m'ont paru comparables à la baliverne des chars soviétiques annoncés par la droite en 1981
En tout cas dès maintenant, nous ne sommes pas, en France, dans une guerre militaire, nous sommes dans une guerre économique politique et sociale.
Il faut résister aux discours de capitulation et de soumission à des agences de notation qui n'ont pas de légitimité technique ou démocratique.
Ce n'est pas la France qui est dégradée.
C'est le président sortant qu'il faut dégrader et sortir.
Le peuple de France, le savoir faire, l'implication des salariés et entrepreneurs ne sont pas dégradés.
c'est le système bancaire et le pouvoir politique en place qui est dégradé. Il faut lutter contre un esprit et une pratique de résignation. Vous noterez que je ne fais pas allusion à la population d'un grande ville du sud de l'ALLEMAGNE (elle avait accueillir une rencontre de sinistre mémoire avec les dirigeants NAZI...)
Les institutions Européennes continuent de dégrader l'organisation économique et sociale de l'Europe, après notamment MAASTRICHT et le traité Constitutionel Européen et avec le nouveau traité annoncé en Mars.
Les pistes, les solutions nouvelles, sont inscites dans la réflexion et les propositions du Front de Gauche....
Nous devons avoir le courage de reprendre le pouvoir qui a été remis entre les mains des "agences de dégradation" et sutout des institutions financières qui ne savent plus que spéculer sur l'endettement à court terme des particuliers, des entreprises, des collectivités et des Etats. Elles ne mobilisent plus les fiancements vers les investissement et l'avenir.
"L’agence de notation Standard & Poor's déclare la guerre de la finance contre la France. Il faut résister. Se coucher devant la finance aiguise son appétit. La capitulation grecque l'a prouvé. Il faut rendre les coups. La Banque Centrale doit annoncer immédiatement qu’elle prêtera à la France à un taux très bas. Faute de quoi il faut suspendre les versement français au budget de l'Union européenne et couvrir les prochaines tranches avec un emprunt forcé sur les banques françaises qui viennent d'être gavées par la BCE. La guerre entre la finance et le peuple est déclarée. Chacun doit choisir son camp, sans tergiverser".
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