Dans les résidences de logements sociaux: être à l'écoute des locataires et de leurs associations.
19/11/2013
L'habitat collectif lieu d'une possible expression démocratique.
Un immeuble c'est parfois plus de population que dans une petite commune de notre pays!
Habitat collectif privé ou social des problématiques qui ne sont pas complètement éloignées
La gestion des résidences en co propriété doit faire l'objet d'une attention particulière car l'animation d'un conseil syndical participe à l'animation du quotidien. Les animateurs de ces conseils syndicaux doivent faire l'objet d'une attention et d'une écoute particulière.
La gestion des résidences de logement sociale doit être une priorité.
Doit être une priorité, l'écoute des locataires, pour l'entretien courants, la programmation des travaux, la gestion des espaces collectifs notamment.
Je vous signale à nouveau le blog de l'association du colonel Fabien:
http://adlrcf.canalblog.com/archives/2013/11/16/28444327....
Les questions que cette association pose me paraissent exemplaires. La commune est doublement interpellée. D'abord parce qu'elle est l'actionnaire principale de la SEMISE ( société d'économie mixte ) mais également au motif que la gestion des espaces collectif est un très gros souci. L'usage des espaces collectifs par personnes extérieures à la cité doit être analysé et les exigences des locataires doivent être entendues.
Espace résidentiel, espace public: cela fait des années que le problème est posé. Les habitants doivent être écoutés!
Si des espaces collectifs doivent être éventuellement municipalisés, en accord avec les locataires, il faudrait alors que les choses soient clairement étudiées et que les incidences financières soient mises complètement sur la table.
Nous ne comptons plus des espaces utilisés par vous et moi, propriétés de tel ou tel bailleurs, pour lesquels les locataires sont par exemple sollicités indirectement au titre de taxes foncières et dont les charges d'entretien sont répercutées dans le budget du bailleur.
Il ne s'agit pas de tout cloisonner. il convient de clarifier et d'obtenir que le cadre de vie et que l'entretien des espaces collectif soit assuré pour que le cadre de vie soit apprécié , y compris au pieds de son logement.
A travers la question de la collecte pneumatique des ordures ménagère ce débat reviendra. Dès lors que les bornes pourraient se trouver parfois jusqu'à à 50 m du bas d'une cage d'escalier, le trouble existe également. C'est loin 50 m particulièrement quand on est de mobilité réduite.
La encore il faut débattre clairement.
Je n'ai pas prétention à donner une réponse unique . Mais, il y a urgence.
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