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14/01/2012

Le débat continue... si vous avez loupé l'émission de jeudi soir:

Les contacts et rencontres établies ce matin sur le marché attestent de la dynamique du débat autour des propositions du Front de Gauche. Les réactions exprimées suite à l'émission de jeudi dernier sont bien encourageantes.

Les témoignages recueillis de personnes qui reconnaissent qu'elles envisageaient de s'abstenir et qui disent maintenant vouloir voter sont impressionants!

Nombreux sont ceux qui disent avoir regardé l'émission ou en avoir entendu parlé par leurs relations et parfois leurs collègues de travail.

Et toujours des programmes du Front de gauche vendus ce matin...

Ne vous inquiétez ps je n'ai pas fumé la moquette et je ne fais pas de l'intox. J'exprime simplement du vécu.....

Des extraits

http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/01/12/extraits-de-l...

Et l'intégrale....

http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/01/12/invite-de-des...

En avant!

RESISTER! C'est la devise de la République qu'il convient de ne pas dégrader

Le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer (UMP) a provoqué mercredi une vague d'indignation ...... en déclarant que les conséquences économiques et sociales d'un rendez-vous "raté" en 2012 seraient comparables "à celles provoquées par une guerre".

Ses propos m'ont paru comparables à la baliverne des chars soviétiques annoncés par la droite en 1981

En tout cas dès maintenant, nous ne sommes pas, en France, dans une guerre militaire, nous sommes dans une guerre économique politique et sociale.

Il faut résister aux discours de capitulation et de soumission à des agences de notation qui n'ont pas de légitimité technique ou démocratique.

Ce n'est pas la France qui est dégradée.

C'est le président sortant qu'il faut dégrader et sortir.

Le peuple de France, le savoir faire, l'implication des salariés et entrepreneurs ne sont pas dégradés.
c'est le système bancaire et le pouvoir politique en place qui est dégradé. Il faut lutter contre un esprit et une pratique de résignation. Vous noterez que je ne fais pas allusion à la population d'un grande ville du sud de l'ALLEMAGNE (elle avait accueillir une rencontre de sinistre mémoire avec les dirigeants NAZI...) 

Les institutions Européennes continuent de dégrader l'organisation économique et sociale de l'Europe, après notamment MAASTRICHT et le traité Constitutionel Européen et avec le nouveau traité annoncé en Mars.

Les pistes, les solutions nouvelles, sont inscites dans la réflexion et les propositions du Front de Gauche....

Nous devons avoir le courage de reprendre le pouvoir qui a été remis entre les mains des "agences de dégradation" et sutout des institutions financières qui ne savent plus que spéculer sur l'endettement à court terme des particuliers, des entreprises, des collectivités et des Etats. Elles ne mobilisent plus les fiancements vers les investissement et l'avenir.

"L’agence de notation Standard & Poor's déclare la guerre de la finance contre la France. Il faut résister. Se coucher devant la finance aiguise son appétit. La capitulation grecque l'a prouvé. Il faut rendre les coups. La Banque Centrale doit annoncer immédiatement qu’elle prêtera à la France à un taux très bas. Faute de quoi il faut suspendre les versement français au budget de l'Union européenne et couvrir les prochaines tranches avec un emprunt forcé sur les banques françaises qui viennent d'être gavées par la BCE. La guerre entre la finance et le peuple est déclarée. Chacun doit choisir son camp, sans tergiverser".

 

13/01/2012

100 jours, sans appel, 2012 et les années à venir se construisent bien de suite.

de la dernière note de J. L. MELENCHON,

http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/01/12/au-pas-de-mar...

je relève son dernier paragraphe. Il est important en ces jours de risque de manipulation sondagière

"Ainsi quand BVA a publié son dernier travail. Tout est concentré dans les commentaires sur les deux premiers. « L’écart se resserre ». Le premier tour semble déjà fait. L’un et l’autre y ont intérêt. Comme l’a dit le médiacrate Barbier de l’Express : « La question qui se pose c’est de savoir si chaque électorat de droite et de gauche va se discipliner au premier tour ». Le reste ne serait que vanité. On sait combien l’effet de système est fort pour stabiliser "la table" du débat à quatre, dont trois partisans lié par le pacte du « Oui ». Tout en laissant une seule opposition possible, celle du Front National, bien sûr auto-disqualifié. Dans cette ambiance mon sort ne varie guère. Quand le journal Métro m’affiche comme le troisième candidat préféré derrière Bayrou et Hollande, les commentateurs restent de marbre, cela ne les concerne pas comme si c’était une évidence. Quand  BVA me "voit" à 8%, même motif même peine. Ce matin-là, France Inter bat même un record. Le commentateur évoque le progrès d’Eva Joly qui passe de 4 à 5% et la percée de Villepin qui passe à 4%. Mais l’auditeur ne saura rien à propos du Front de Gauche. Pourtant BVA dit que nous gagnons un point par mois. Pour n’importe qui d’autre, je sais ce qu’on dirait. Mais s’agissant de nous, ce n’est pas une information. Notre difficulté est double. Nous devons non seulement passer le mur du système mais ensuite nous devons passer le verrouillage des journalistes qui se sentent en service commandé de vote utile pour Hollande. Mais le passage n’en sera que meilleur et plus solide, appuyé qu’il est non sur une mode mais sur la construction d’une conviction collective bien documentée."