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législative partielles avec Pascale LE NEOUANNIC à ANTONY
07/11/2012 | Lien permanent
Des nouvelles du Blog de JLM
Cela faisait longtemps que je n'avais pas mis de liens avec le blog de JLM...
Il fait un point sur les évolutions positives au sein du front de gauche. A lire pour décrypter.
Alors en avant:
http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/10/24/le-plafond-du...
26/10/2012 | Lien permanent
Le Front de Gauche est bien ”tonic” à VITRY
Hier, jeudi 24 octobre s'est tenue une nouvelle assemblée citoyenne du Front de Gauche.
des dizaines de vitriots assemblés, sans l'annonce de quelques orateurs. une réunion annoncée par un tract et une affiche travaillée collectivement par des animateurs des 4 organisations composantes du Front de Gauche à VITRY.
Une introduction des débats "à 4 voix coordonnées à la transition prêt".
Bien entendu, les participants étaient majoritairement des militants. Toutefois des participants n'étaient pas adhérents de tel ou tel partis. Une participante est intervenue en fin de réunion, elle a bien précisée qu'elle n'était pas adhérente, et elle a dit combien elle souhaitait que le Front de Gauche perdure.
Le thème de la lutte contre l'austérité remontait sur plusieurs années et la mondialisation imposées, en passant par le traité constitutionnel et TSCG et vers les luttes sociales engagées pour défendre l'industrie vis à vis de la finance. SANOFI et PSA ont été largement citées.
Défendre les services publics, défendre la protection sociale et la sécurité sociale. A cet égard a été mis en paralèle les 2500 € de sanction imposée au docteur POUPARDIN et les sommes considérables accumulées par un système médical qui encourage les dépassements d'honoraires...
Les interventions ont été riches et n'ont pas caché des différences d'analyse politique . Mais la première force a été que l'expression et les échanges ont bien eu lieu. Chacun se connaît mieux. cela est utile pour l'action citoyenne rassemblée sur de nombreuses problématiques citées par les uns et les autres.
La question a été posée par certains de savoir si le Front de Gauche était une "opposition" de Gauche?
Dire Non, s'opposer est un des aspects de la vie politique. Le Front de Gauche est contre l'austérité et pour la justice. Les 4 millions d'électeurs qui ont voté J. L. MELENCHON ne se sont pas contentés de virer SARKOZY. Ils ont clairement et globalement soutenu un ensemble de propositions cohérentes. Cela doit être pris en compte.
Après la réunion qui a précédé la réunion de septembre avant la manifestation du 30 septembre, cette initiative est une étape importante. D'autres sont annoncées avec des écheances de mobilisation à la mi novembre à l'appel de la confédération européenne des syndicats.
Le Front de Gauche est un outil pour les citoyens!
25/10/2012 | Lien permanent
Chroniques d'un syndicaliste sur SANOFI
08/10/2012 | Lien permanent
VENEZUELA
Ci dessous le texte d'un article publié dans le monde.fr par
Jean-Luc Mélenchon, co-président du Parti de gauche, député européen ;
Ignacio Ramonet,président de l'association Mémoire des luttes, président d'honneur d'Attac.
Par ailleurs
dimanche 7 octobre : à l'occasion des élections présidentielles au Vénézuela, le Front de Gauche Latino, le PSUV et l'association "Les amis de l'Usine" organisent une soirée électorale à partir de 18h à l'Usine (8 rue Chassagnolle aux Lilas). Elle sera composée de prises de parole et d'une projection de film.
Le Monde.fr
vendredi 5 octobre 2012
Hugo Chavez, un homme diffamé
Par Jean-Luc Mélenchon et Ignacio Ramonet
Hugo Chavez est sans doute le chef d'Etat le plus diffamé du monde. À l'approche de
l'élection présidentielle au Venezuela, le 7 octobre, ces diffamations redoublent d'ignominie.
Tant à Caracas qu'en France. Elles témoignent du désespoir des adversaires de la révolution
bolivarienne devant la perspective (que les sondages semblent confirmer) d'une nouvelle
victoire électorale de Chavez. Un dirigeant politique doit être jugé sur ses actes, et non sur les
rumeurs colportées contre lui. Les candidats font des promesses pour se faire élire ; rares sont
ceux qui, une fois élus, les tiennent. Dès le début, la promesse électorale de Chavez a été
claire : travailler au profit de ceux, majoritaires dans son pays, qui vivaient dans la pauvreté.
Et il a tenu parole.
C'est le moment de rappeler ce qui est vraiment en jeu dans cette élection au moment où le
peuple vénézuélien va voter. Le Venezuela est un pays très riche en raison des fabuleux
trésors de son sous-sol, en particulier les hydrocarbures. Mais presque toutes ces richesses
étaient accaparées par les élites dirigeantes et des entreprises multinationales. Jusqu'en 1999,
le peuple n'en recevait que des miettes. Les gouvernements successifs, démocrates-chrétiens
ou sociaux-démocrates, corrompus et soumis aux marchés, privatisaient à tout va. Plus de la
moitié des Vénézuéliens vivait sous le seuil de pauvreté (70,8% en 1996). Chavez a placé la
volonté politique au poste de commande. Il a mis les marchés au pas et stoppé l'offensive
néolibérale puis, grâce à l'implication populaire, il a permis à l'Etat de se réapproprier les
secteurs stratégiques de l'économie. Il a recouvré la souveraineté nationale. Et a ensuite
procédé à une redistribution de la richesse au profit des services publics et des laissés pour
compte.
UN ÎLOT DE RESISTANCE DE GAUCHE AU NEOLIBERALISME
Politiques sociales, investissements publics, nationalisations, réforme agraire, plein emploi,
salaire minimum, impératifs écologiques, accès au logement, droit à la santé, à l'éducation, à
la retraite... Chavez s'est également attaché à la construction d'un Etat moderne. Il a mis sur
pied une ambitieuse politique d'aménagement du territoire: routes, chemins de fer, ports,
barrages, gazoducs, oléoducs. En matière de politique étrangère, il a misé sur l'intégration
latino-américaine et privilégié les axes Sud-Sud, tout en imposant aux Etats-Unis des relations
fondées sur le respect mutuel... L'élan du Venezuela a entrainé une véritable vague de
révolutions progressistes en Amérique latine, faisant désormais de ce continent un exemplaire
îlot de résistance de gauche contre les ravages du néolibéralisme. Un tel ouragan de
changements a complètement chamboulé les structures traditionnelles de pouvoir au
Venezuela et entrainé la refondation d'une société jusqu'alors hiérarchique, verticale, élitaire.
Cela ne pouvait lui valoir que la haine des classes dominantes, convaincues d'être les
propriétaires légitimes du pays. Avec leurs amis protecteurs de Washington, ce sont elles qui
financent les grandes campagnes de diffamation contre Chavez. Elles sont allé jusqu'à
organiser - en alliance avec les grands médias qu'elles possèdent - un coup d'Etat le 11 avril
2002. Ces campagnes se poursuivent aujourd'hui et certains secteurs politiques et médiatiques
européens les reprennent en choeur. La répétition étant - hélas - considérée comme une
démonstration, des esprits simples en viennent à croire que Hugo Chavez incarnerait "un
régime dictatorial où il n'y a pas de liberté d'expression".
Mais les faits sont têtus. A-t-on déjà vu un " régime dictatorial " élargir le périmètre de la
démocratie au lieu de le restreindre ? Et donner le droit de vote à des millions de personnes
dépourvues jusque là de carte d'électeur? Les élections au Venezuela n'avaient lieu que tous
les quatre ans, Chavez en organise plus d'une par an (14 en 13 ans). Dans des conditions de
légalité démocratique reconnues par l'ONU, l'Union européenne, l'Organisation des Etats
américains, le Centre Carter, etc. Chavez démontre qu'on peut construire le socialisme dans la
liberté et la démocratie. Il en fait même une condition du processus de transformation sociale.
Il a prouvé son respect du verdict populaire en renonçant à une réforme constitutionnelle
refusée par les électeurs lors d'un référendum en 2007. Ce n'est pas un hasard si la Foundation
for Democratic Advancement (FDA), du Canada, dans une étude publiée en 2011, situe
désormais le Venezuela en tête du classement des pays qui respectent la justice électorale . Le
gouvernement d'Hugo Chavez consacre 43,2% du budget aux politiques sociales. Résultat: le
taux de mortalité infantile a été divisé par deux. L'analphabétisme éradiqué. Le nombre de
professeurs des écoles multiplié par cinq (de 65 000 à 350 000). Le pays détient le coefficient
de Gini (qui mesure les inégalités) le plus performant d'Amérique latine. Dans son rapport de
janvier 2012, la Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC,
un organisme de l'ONU) établit que le Venezuela est le pays sud-américain - avec l'Equateur
-, qui, entre 1996 et 2010, a le plus réduit le taux de pauvreté. Enfin l'institut américain de
sondages Gallup classe le pays d'Hugo Chavez, 6e nation "la plus heureuse du monde".
Le plus scandaleux, dans l'actuelle campagne de diffamation, c'est de prétendre que la liberté
d'expression serait bridée au Venezuela. La vérité c'est que le secteur privé, hostile à Chavez,
y contrôle largement les médias. Chacun peut le vérifier. Sur 111 chaînes de télévision, 61
sont privées, 37 communautaires et 13 publiques. Avec cette particularité que la part
d'audience des chaînes publiques n'est que de 5,4%, celle des privées dépassant les 61% ...
Même chose pour la radio. Et 80% de la presse écrite sont contrôlés par l'opposition ; les deux
quotidiens les plus influents - El Universal, El Nacional - étant hostiles au gouvernement.
Tout est, certes, loin d'être parfait dans le Venezuela bolivarien. Où existe-t-il un régime
parfait ? Mais rien ne justifie ces campagnes de mensonges et de haine. Le nouveau
Venezuela est la pointe avancée de la vague démocratique qui a balayé les régimes
oligarchique de neuf pays dès le lendemain de la chute du mur de Berlin quand d'aucuns
annonçait "la fin de l'histoire" et "le choc des civilisations" comme seuls horizons pour
l'humanité. Le Venezuela bolivarien est une source d'inspiration où nous puisons sans
aveuglement ni naïveté. Mais avec la fierté d'être du bon côté de la barricade et de réserver
nos coups à l'empire malfaisant des Etats Unis et de ses vitrines si chèrement protégées au
Proche-Orient et partout où règnent l'argent et les privilèges. Pourquoi ses adversaires en
veulent-ils tant à Chavez ? Sans doute parce que, tel Bolivar, il a su arracher son peuple à la
résignation. Et lui donner l'appétit de l'impossible.
Jean-Luc
Mélenchon, co-président du Parti de gauche, député européen ; Ignacio Ramonet,
président de l'association Mémoire des luttes, président d'honneur d'Attac.
06/10/2012 | Lien permanent
Rappel: jeudi 11 octobre je vous invite à une réunion d'échange sur la coopération intercommunale entre IVRY VITRY et CH
L'annonce de la nouvelle rencontre proposée, cette fois ci sur l'intercommunalité
Comme déjà annoncé, c'est une confirmation,
Jeudi 11 septembre, j'organise une nouvelle rencontre d'échange sur les dossiers municipaux, cette fois ci sur l'intercommunalité en construction entre IVRY, VITRY, et CHOISY le Roi
Le 28 septembre je vous invitais à une rencontre citoyenne pour évoquer des dossiers municipaux.
Le jeudi 11 Octobre
je vous propose un nouveau nouveau rendez vous
salle du CHATEAU, 6 rue MONTEBELLO, à 20H15.
Seront présents des conseillers municipaux de CHOISY et IVRY, membres du Parti de Gauche. Cela sera l’occasion d’échanges passionnants sur l’intercommunalité en construction et sur les attentes au sein de chacune de nos villes. Nous évoquerons également les questions de l'emploi et des services publics. Alors au plaisir de vous rencontrer pour débattre largement.
http://bertrandpotier.hautetfort.com/archive/2012/10/04/j...
Ainsi la semaine prochaine est marquée par trois dates
mercredi 10 octobre
20h45 un conseil municipal chargé avec un ordre du jour qui comprend notamment
- le regime indemnitaire des psychologues...
- un voeu sur SANOFI
- et une question orale sur l'EHPAD!
http://www.mairie-vitry94.fr/agenda/?tx_artificaagenda_pi...
jeudi 11 octobre à 20h15 salle du chateau
la rencontre que je propose et qui est ci dessus annoncée
vendredi 12 octobre à 20h à l'Hotel de Ville
la réunion organisée par la SGP sur le réseau de métro du grand PARIS, avant enquete publique...
http://www.lignerougesud.fr/evenement/reunion-publique-su...
10/10/2012 | Lien permanent
VENEZUELA, le regard de Martine BILLARD, co présidente du Parti de Gauche
Un regard, en complément de celui de différents animateurs du parti, présents sur place pour cette fin de campagne présidentielle.
http://www.martine-billard.fr/post/2012/10/04/Venezuela-%...
http://www.jean-luc-melenchon.fr/theme/venezuela-2/
Et un kit d'explication et de documentation
http://www.lepartidegauche.fr/system/documents/kit_milita...
06/10/2012 | Lien permanent
Le SDRIF, les réflexions et positions des élus du Parti de Gauche dont François Delapierre
29/10/2012 | Lien permanent
Attention la décentralisation n'est pas positive par ”nature”....
Elu local, il me parait intéressant de signaler la note accesible par le lien ci dessous:
http://www.lepartidegauche.fr/actualites/dossier/projets-...
Elle pose bien la question d'un équilibre entre le cadre juridique national et les "libertés" accordées aux collectivités. Que devriendra la République dans un tel contexte?
30/10/2012 | Lien permanent
L'opposition au TSCG s'amplifie...
Ecologistes et contre le TSCG:
http://www.lepartidegauche.fr/actualites/actualite/tscg-a...
Quant au PS,
;-)
Dans le Val de Marne, et à VITRY, à part le sénateur Maire d'Alfortville, il est vrai qu'il est le premier secrétaire, je n'entends plus grand monde défendre ce texte qui signe l'abandon de notre souveraineté et une austérité "gravée dans le marbre".
Demain Martine BILLARd et les autres orateurs annoncés à VITRY, ne manqueront pas de revenir sur ce mouvement populaire de prise de conscience et de résistance!
http://bertrandpotier.hautetfort.com/archive/2012/09/21/j...
26/09/2012 | Lien permanent