11/04/2010
Un samedi ordinaire
A vitry, en semaine comme les vendredi samedi dimanche, les inititatives sont multiples. L'hebdo municipal est à cet égard bien apréciable pour donner des informations annonciétrices d'une série de manifestations.
A signaler, comme cela était indiqué dans l'hebdo de la ville, 2 initiatives intéressantes, parmi d'autres..., à VITRY, ce samedi.
Une visite des 5 chantiers qui débutent sur notre ville, pour la construction de logements, sous la responsabilité de l'Office Public de l'Habitat de VITRY (Ex OPHLM).
C'était l'occasion, de parcourir les sites retenus afin d'accueillir, dans différents quartiers, des opérations de dimension réduite ou moyenne dont l'objectif est de répondre à l'exigence de logements accessibles à tous et d erendre possible l'opération de rénovation du quartier Balzac.
Certes, Vitry, a elle seule, ne peut pas répondre isolément à cette exigence du logement. L'Etat doit assumer ses reponsabilités. Toutes les communes doivent respecter les obligations issues de la loi SRU ( avec l'exigence, non remplie par trop d ecommunes, de 20% minimum de logements sociaux...)....
Au delà, la question de l'aménagement de la Région et même de la planète est dans les esprits.
Ce même samedi, au théatre Jean VILAR, s'est tenue une fête pour les 20 ans de l'association Vitry Mali Coopération et les 50 ans de l'indépendance du MALI.
Le travail mené au cours de ces années a été présenté. Que de chemin parcouru.
Des artistes se sont produits, je citerais le groupe "le chien d'en face" et le groupe "Mandika transe acoustique" avec Pédro KOUYATE.
Quant à la troupe TIEBLENTIE de GUENIKO (MALI), elle n'a pu se déplacer.....pour un problème de visa. Cela a soulevé de vives protestations à l'encontre des autorités consulaires de la France au MALI! En refusant ces visas, elles ont contrarié cette volonté d'échanges libres et fraternels.
L'initiative qui s'est tenue samedi, a été l'occasion de souligner combien le gouvernement Français est aux abonnés absents en ce qui concerne les actions de codéveloppement...
Ce samedi après midi, je ne peux cacher que me revenait à l'esprit une image bien peu subtile de notre ville en décembre 1980.....
Aujourd'hui , Vitry sur seine s'honore avec cette relation de travail, maintenant ancienne, construite par l'association Vitry Mali Coopération (anciennement Vitry Tombola) en partenariat avec les acteurs maliens.
16:36 Publié dans coups de coeur!, culture, Dossiers les enjeux pour la ville, logement | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Le conseil municipal du 7 avril n'a pas été que le vote du budget municipal. Il y est apparu des doutes de certaines composantes du conseil municipal quant à l'accès au bulletin mensuel et sur les sujets qui y sont abordés. Un lecteur attentif ou même passager s'aperçoit tout de suite qu'on n'y trouve aucune rubrique Courrier des lecteurs, aucune rubrique sur le projet le plus important à venir, le projet Seine-Amont, pour lequel d'ailleurs aucune information ne filtre, si ce n'est celles que l'on peut obtenir par l'intermédiaire d'internet. Et encore. Les inquiétudes de certains membres du conseil sur ce point étaient là.
Il existe d'autres Opérations d'intérêt national sur le territoire français, et la consultation des sites des communes concernées fait apparaître des débats acharnés et des informations régulières.
Pourquoi presque rien pour Seine-Amont, quoique une convention de partenariat soit intervenue entre l'EPA ORSA, la SNCF, RFF (Réseau ferré de France) et le STIFF qui concerne les sept gares du RER C situées sur le territoire de l'OIN (voir cyberarchi.com pour plus de détails) ?
Aujourd'hui, "le Parisien" publie la nouvelle de la probable transformation de la passerelle GRT gaz près de l'A86 en passerelle piétonne, "qui entre pleinement dans le cadre du réaménagement du quartier des Ardoines", selon un conseiller général.
Et le seul projet qui nous a été soumis laisse place à des interrogations alors qu'il s'agit de refaire un quart de notre ville, 13500 logements à Vitry sur les 60000 prévus pour le projet ORSA, mais parler simplement de ce fait et insister sur l'urbanisme afin de ne pas répéter les erreurs du passé, c'est la levée de boucliers.
Absent aussi des discussions et du mensuel, le projet qu'on appelle pour les uns Grand Paris et pour les autres Paris Métropole, et surtout du financement de ce dernier si... M. A. Audoubert et d'autres personnalités ont aussi rencontré M. Christian Blanc.
Quant au site de notre ville, il se trouve souvent bien en retard de nouvelles et n'est pas suffisamment mis à jour.
Une remarque tout à fait personnelle sur le mensuel. C'est bien le seul hebdo (ou mensuel ou livre) qui comporte deux pages une. L'ouvrier typographe de mes débuts peut rappeler qu'un ouvrage est composé d'une première de couverture, d'une deuxième de couverture et enchaîne sur la page trois. Les deux dernières pages sont la troisième de couverture et la quatrième de couverture et ne doivent pas avoir de folio. (Pour un livre, si des pages de garde sont insérées, elles comptent ou sont foliotées en chiffres romains.)
L'informatique n'y a rien changé, et acceptons de rendre service aux éditeurs de ce mensuel. Si, par internet, en l'absence de ce que l'on appelle le chemin de fer, vous demandez la page une en pensant consulter le sommaire ou l'édito du maire, invariablement vous obtenez la couverture. Avec le chemin de fer, vous avez bien deux pages une, il vous est alors possible de trouver l'édito, mais bon. Le seul numéro qui ait été bien folioté fut le supplément sur les Ardoines. Une seule intervention sur le chemin de fer rédactionnel sera définitive et conclura l'affaire. Mais des courriers successifs n'y ont rien fait. Sauf que le rédacteur en chef est devenu rédactrice en chef comme c'est la loi. ("Femme, j'écris ton nom", publications du CNRS sur la réforme des appellations dans les métiers pour les femmes et réformes de l'orthographe successives).
Une autre remarque aux conseillers est que les comités de quartier sont devenus des conseils de quartier; que le débat sur lesdits conseils a eu lieu le 7 octobre 2009 et non le 14 de ce même mois de la même année citée comme on a pu le lire dans un tract et sur un site. On peut s'en souvenir car des amendements déposés qui auraient permis à ces conseils d'évoluer ont été rejetés, sans, d'ailleurs, qu'ait été lu au public le contenu de la charte présentée aux élus pour le débat ... mais dont on se doutait bien qu'elle serait faite a minima.
Et rappelons que des comptes rendus de ces conseils doivent être remis aux membres "inscrits" (le terme membre actif a été rejeté lors d'un de ces conseils, par un "référent", alors à quoi bon s'y rendre !, soyons inscrits et regardons passivement la télévision tout en dormant), un ordre du jour devait être fixé pour la prochaine réunion qui ne l'a pas été, et on ne peut même pas en suggérer un ni rien demander puisqu'il n'y a pas de bureau. Et les "auditeurs" des conseils aimeraient bien savoir : les conseillers référents ne sont-ils pas membres d'une même composante de la majorité municipale ?
On peut conclure par un lieu commun vitriot : il reste des progrès à faire pour la communication et... ce qui va avec.
Écrit par : brunel | 14/04/2010
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