Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/11/2010

Conseil municipal du 17 novembre

La question n°1 a été adoptée à l'unanimité...

En ce qui me concerne je n'ai pas pris part au vote en expliquant que la délibération n'avait pas suffisement évoluée au regard des débats intervenus.

Il n'était pas question que j'adopte celle ci, par ailleurs un vote contre me paraissait pas opportun à ce stde. Il ne fallait pas fragiliser une démarche au sein d el'OIN

Voici le texte qui a servi de support au début de mon intervnetion. Il faudrait que je développe les quelques avancées au regard des 8 propositions que j'avais formulé. J'y reviendrais.
Après une séance qui s'eest achevée 3h30 du matin j'avais ce soir un conseil de quartier...

 

Question n° 1 à l’ordre du jour du Conseil Municipal du 17 novembre 2010

 

 

M. le Maire, Cher(e)s Collègues,

 

Au cours d’un mandat municipal, il est toujours quelques questions qui marquent l’avenir de notre ville.

 

Déjà au cours du précédent mandat, je n’étais pas alors conseiller municipal, notre assemblée a dû débattre de cette vaste démarche engagée dans le cadre de l’OIN.

 

C’est notamment au regard d’une telle problématique que ma motivation de participer aux Travaux du Conseil s’est trouvée renforcée.

 

Notre Conseil Municipal s’est prononcé, il y a 1 an et demi, le 24 juin 2009, sur le Plan Stratégique Directeur de l’OIN. J’avais alors soulevé une série de questions et j’avais expliqué pourquoi je n’avais pas pris part au vote ce jour là.

 

Ce soir, il nous ait demandé de nous prononcer, à partir de documents issus de l’EPAORSA et datant de novembre 2009.

 

Depuis le début 2010, je radote, en sollicitant que notre réflexion commune ait bien lieu sans attendre. Je crois même que le 14 avril 2010, je m’étais fait chahuté, certains craignant que je réunisse le Conseil Municipal de mon propre chef.

 

Je ne doute pas qu’il va m’être de nouveau opposé l’intérêt d’un travail technique élaboré pour éclairer les décisions du Conseil Municipal. Notre responsabilité de conseillers municipaux est bien de travailler collectivement, dans des délais efficaces.

 

Au demeurant, le travail mené en commissions au cours des derniers jours atteste bien l’intérêt de cet échange collectif. Celui-ci aurait très bien pu débuter il y a 1 an.

 

Cette exigence est d’autant plus pertinente que nous sommes à moins d’un mois d’un Conseil d’Administration de l’EPAORSA qui, si j’ai bien compris, va adopter « un plan guide consolidé » ainsi que proposer des ZAC sur lesquelles nous aurons à nous prononcer au Conseil Municipal de décembre.

 

D’ores et déjà, je souhaite que lors du Conseil Municipal du mois prochain, nous ayons connaissance des réflexions que l’EPAORSA aura finalisé dans les 4 semaines à venir, si ce n’est déjà fait.

 

Les quelques éléments que j’aimerais porter à la réflexion de notre Conseil sont le fruit d’échanges intervenus informellement mais également d’observations formulées lors des commissions qui se sont tenues et auxquelles je me suis rendu avec intérêt comme tous les autres conseillers municipaux qui ont pu se rendre disponibles.

 

Lors de la commission municipale Aménagement du 10 novembre, j’avais remis des propositions concernant l’intitulé de la délibération et le « considérant » de celles-ci. J’avais par ailleurs suggéré que notre délibération ne reprenne pas la conclusion  de la note de synthèse qui nous avait été diffusée. Par contre, j’avais suggéré que l’énumération des perspectives pour l’année 2011, telles qu’elles étaient exprimées dans la note de synthèse, apparaisse dans la conclusion du projet de délibération.

 

Pour l’essentiel, je me contenterai d’évoquer les éléments de contexte justifiant, me semble-t-il, les 8 propositions annoncées.

 

 

Je soulignais ensuite les avancées positives mais aussi les points de préoccupations.

Je citerais, sur le second aspect, et rapidement, sans être exhaustif:

  • La faible perspective de créations d'emplois sur les 10 ans à venir,
  • L'insuffisances de liaisons entre les nouveaux quartiers et les quartiers actuels et notamment l'insuffisance de franchissements des voies SNCF. J'ai insisté sur l'intérêt de couvertures ou d'enfouissement de celles ci.
  • L'exigence d'étudier, dès mainteanat, une solution alternative au schéma de principe de l'étude MANGIN qui prevoyait un étagement de plates formes avec un creusement du niveau en bord de Seine...

Je reviendrais bien sur sur tout cela. L'expérience m'a montré qu'il faut avoir confiance dans le débat . je travail livre ouvert. cela a permis une evolution de la reflexion!

Il y a bien sur des questions qui me laissent un peu amer. Je suis cependant optimiste car j'ai confiance dans le débat. Je me rapelle certains dossier sur lesquls je m'étais passioné en 1989/1995, lors de mon précédent mandat.

Je pense au site Gestetner qui devait accueillir un hotel d'activité avec dse camions qui devaient circuler sur une rampe. Il ya maintenat les Ecoles municipales artistiques...c'est plus sympa

Je pense à la RD61 qui devait traverser le quartier du coteau... C'était pas triste.

je me souviens du projet ORBITAL du SDRIF de 1994.^La municipalité l'ignorait. Que de chemein parcouru avec le projet ORBIVAL...

Alors regardons loin ;-)


 

 

Les commentaires sont fermés.