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24/12/2012

Pause sans confiserie.

Tout n'est pas économique....

Certains appellent cette période de l'année "trêve des confiseurs". C'est d'une vulgarité très consumériste!

 

La politique et la globalité? une porte ouverte, .... dans les deux sens!

La réflexion et l'action politique doivent, par nécessité, être globales. Elles doivent, pour être pertinente, englober la totalité de l'univers des "cités". Elles doivent être attentives à la diversité des actes, connaissances , pensées .....

L'étendue du champs et des compétences de la politique est considérable.

Les partis politiques s'éloigneraient de leur efficacité s'ils ignoraient les autres sphères y compris de de la connaissance.

Et réciproquement toute personne qui souhaite développer  sa réflexion et sa connaissance est invitée à s'ouvrir aux réflexions et pratiques politiques.

Ca y est, j'ai ouvert une porte ouverte!

 

Tout n'est pas du domaine du politique.

Ce mois de décembre est une période particulière au cours de laquelle chacun aspire à marquer une pause. Et pourtant, selon la situation sociale et politique les conditions pour vivre ou non cette pause sont bien différentes.

Au cours de ces journées de fin décembre,  comme au cours de l'année, est remarquable  l'implication des uns et des autres pour créer du lien, de la solidarité, de la joie (pour rester sobre) bien nécessaires à notre humanité.

Lors du repas des anciens, organisé par la ville, je croisais une connaissance qui est bénévole aux "restaurants  du cœur". Je lui disais, faisant référence à son engagement, que pour une fois il allait être servi . Il n'a pas manqué de me dire que la rareté des passages d'élus, pour simplement saluer, au sein du restaurant,  était ressentie.

 

Œuvrer en politique nécessite un sacré sens de la relativité.

Ce samedi, je visitais une association de quartier  qui organisait une rencontre de fête avec des familles . c'était un temps de convivialité simple sans prétention mais combien chaleureux!

C'est à chaque fois une invitation à chacun d'être à sa place et d'y œuvrer modestement avec  les uns et les autres.

Si je dis tout cela c'est pour honorer tous ceux qui, dans des associations, des syndicats, dans leur métier parfois, agissent directement pour que l'humain soit plus que respecté , qu'il soit reconnu.

Oui, je pense à ce que chacun peut faire,

  • ·         parents d'élèves en association spécialement ceux qui agissent au sein des collèges,
  • ·         animateurs d'associations auprès des handicapés, auprès des personnes dans la solitudes et en difficulté.
  • ·         .......

Je pourrais accroitre la liste. Si je la commence c'est bien pour se dire que nous ne sommes pas des stéréotypes enfermés dans nos engagements.

Nous avons d'ailleurs besoin réciproquement, de ces ouvertures dans la rencontre et dans l'échange.

Certes l'engagement demande souvent une radicalité. Il est néanmoins nécessaire d'avoir des respirations pour ne pas être à bout de souffle.

 

Au delà des rencontres, la réflexion et l'action politique doivent bien être attentives à la globalité.

J'y suis sensible. je sais que c'est également votre état d'esprit.

J'espère ne pas vous avoir endormi.

C'était une pause sans confiserie. ;-)



 

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