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29/12/2013

6/14 Contribution pour Vitry sur Seine: "l'Humain d'abord c'est aussi l'environnement."

Suite de la publication d'une publication pour alimenter la réflexion et le débat. Alors là vous avez de la lecture. C'est un cadeau ;-)


 Partie 2

 

l'humain d'abord

 

c'est aussi l'environnement

 

AXE 6

 

Un urbanisme qui organise l'espace

 

et qui place les citoyens

 

au coeur des aménagements

 

Il importe de construire une ville "pour tous" et où il fasse "bon vivre":

 

Aménager notre ville, en concertation avec la population, en répondant à des besoins quotidiens sociaux et en veillant aux équilibres,  notamment en terme d'emploi, et en participant à une transition écologique et énergétique.

 

L'opération d'intérêt national (OIN), au sein de laquelle Vitry est intégrée, ne doit pas être un leurre.

 

  • Un bilan devra être fait de "l'opération d'intérêt national" formalisée en 2007 et de l'action de l'Etablissement public d'aménagement "Orly Rungis Seine Amont" pour lequel plus de 225 000 € sont versés annuellement par notre commune.

 

Le territoire initialement centré sur l'espace compris entre la Seine et les voies ferroviaires a été élargi en  incluant des communes situées au sud de Vitry, y compris Thiais et Rungis ou Chevilly-Larue. Cette extension du périmètre a contribué à noyer les problématiques  et particulièrement de cacher les grandes disparités en terme d'emplois et d'activités économiques entre les villes membres. Or, un territoire qui spécialiserait certaines villes dans l'accueil des emplois et d'autres dans l'accueil des logements, serait un échec.

 

 

 

Indépendamment de l'OIN, en raison de l'implication des élus au sein du STIF, les projets de transports semblent maintenant à portée de main (métro de rocade, TRAM, Bus TZEN. Il serait illusoire de croire que ceux ci vont clairement et nécessairement permettre à notre ville de sortir de la logique d'une ville résidentielle et libérer ses habitants de la spirale "métro boulot dodo".

 

 

 

Le "couple" Ville et Etablissement Public Orly Rungis Seine Amont  (EPAORSA), ne parait pas avoir donné de résultats tangibles au regard des lenteurs dans les réflexions engagées sur les deux ZAC. La formalisation des projets est insuffisante et la présentation  de ceux ci devrait être régulière au fur et à mesure du processus, tant auprès des habitants que du  conseil municipal en séances publiques. Au cours des étapes de la réflexion, la présentation  de scénarios alternatifs est la condition d'un processus qui ne serait pas technocratique.

 

 

 

La conduite de la ZAC Seine Gare et celle des Ardoines paraissent bien ralenties. Dans le même temps, Ivry sur Seine a su, par contre, s'inscrire dans une dynamique plus visible.

 

 

 

Le contrat de développement territorial signé en mai 2012, entre la ville et l'Etat, est l'illustration d'un manque d'exigence et d'une soumission communale à une logique de construction de logements sans contreparties réelles.

 

 

 

L'engagement de fermeture du dépôt pétrolier est annoncé avec une échéance en 2020, c'est à dire pour l'inauguration du futur métro! D'ici là, il est à craindre de voir peu de perspectives de réalisations opérationnelles dans le secteur proche de la gare des Ardoines.

 

 

 

Sur le plan éducatif et de l'enseignement, il est retenu l'hypothèse d'un lycée "international" pour les nouveaux quartiers mais, rien n'est prévu pour le développement des filières et options dans les lycées existants… Pour l'enseignement supérieur, aucune perspective dynamique n'est dressée.

 

 

 

Enfin un périmètre de rénovation urbaine en centre ville est annoncé. Quant au contenu, de cette rénovation, tout est à préciser et aucune garantie n'a été apportée par exemple sur le devenir du "parc du COTEAU", en son coté avenue Robespierre.

 

 

 

S’agissant de la généralisation annoncée de la collecte pneumatique des ordures ménagères; c'est une fuite en avant dans un dispositif qui devait être expérimental selon le programme municipal de 2008. L''efficacité opérationnelle et surtout l'équilibre financier de cet équipement ne sont pas connus (traité par ailleurs dans ce livret). Il est nécessaire que soient établies des études actualisées sur le plan de financement des investissements et du fonctionnement de ce projet hasardeux.

 

 

 

Enfin ce "contrat de développement territorial", s'il reprend une série d'opérations prévues par le Syndicat des Transports d'Ile de France, il n'apporte pas de nouveauté tangible. 

 

Pour le reste, nombreuses sont les idées et concepts annoncés sans phasage, sans chiffrage et parfois sans opérateur défini...

 

 

 

Pour résumer, c'est un contrat qui ne garantit pas un développement équilibré du territoire et le comblement du déficit en emplois et en structures de formation. Or, ce sont bien les deux principaux maux dont notre commune souffre!

 

Ce contrat se contente d'annoncer  des constructions de logements, d'évoquer de manière hypothétique des équipements publics mais sans chiffrer quoi que ce soit, si ce n'est le nombre de logements. Quant aux transports en commun, les principes étaient déjà connus. La signature de la ville doit être plus exigeante!

 

Il faut donc refuser une logique de ville dortoir.

 

Vitry a de nombreux atouts, mais elle ne doit pas s'enfermer dans une logique de ville dortoir dans laquelle les emplois diminueraient en nombre, ou du moins en proportion, au regard de la population et des "actifs" présents.

 

Vitry doit être une ville plus agréable à vivre et son aménagement doit être mieux débattu collectivement.

 

Les projets urbains devraient faire l'objet de réflexions concurrentes et de présentations  de scénarios alternatifs aux élus et aux citoyens. Trop souvent les projets sont élaborés en cercle fermé. Une fois ficelés et presque bouclés, ils sont présentés alors à grands renforts de moyens de publicité et de communication pour une simple validation sans que soit faite la place aux débats.

 

Au sein même de la municipalité, les réflexions et décisions sont trop souvent concentrées sur le maire et l'adjoint qui est en charge de "l'aménagement,   de l'urbanisme, du développement économique, de l'emploi, de l'habitat et du logement"...ainsi que de la présidence de la SEMISE, opérateur et gestionnaire de logement social sur la ville...  Cette hyper concentration n'est pas satisfaisante.

 

Vitry est donc engagée dans  des projets positifs en matière de transports publics. Vigilance et exigences doivent aller de pair.

 

Des perspectives d'avenir existent donc en matière de transport. Les transports sont  appelés à se développer  avec notamment les  2 gares de métro du Grand Paris Express annoncées pour 2020. Le tramway sur la RD 5 ainsi que le bus "T ZEN", entre Seine et voies de chemin de fer, sont également prévus pour les mêmes échéances..

 

Dans ce contexte, il faut exiger que le "Parc du Coteau", au centre ville, avenue Robespierre, soit respecté.

 

L'arrivée du métro, "Vitry centre", ne doit pas se faire au détriment du caractère paysager du parc du Coteau. Le PLU dans sa version de décembre 2012 a déclassé 7000 m2 situés en bord de l'avenue Robespierre. Ils sont passés d'espace vert à espace constructible dense. En l'espèce la municipalité a fait preuve d'un manque de fermeté. La venue du Métro ne doit pas défigurer ce qui est un des joyaux de verdure de notre ville! A PARIS le développement du métro n'a pas défiguré les espaces les plus agréables...Ayons la force d'exiger la même chose.

 

Pour notre ville et ses habitants, l'occupation des sols doit être pensée en fonction des besoins. Il est nécessaire:

 

  • de permettre la réduction de la distance emploi/logement, logement/services publics, logements commerces de proximité

  • de développer les transports en commun,

  • de créer des zones piétonnes,

  • et de laisser la place à des itinéraires cyclables adaptés ou des pistes cyclables,

 

 

 

La ville de la transition énergétique.

 

L’urbanisme de notre ville doit être guidé par le bien-être des générations futures et combattre le dérèglement climatique. Il faut mettre en actes les piliers de la transition énergétique :

 

  • Economiser l’énergie par l’isolation thermique des logements privés, sociaux et des bâtiments administratifs.

  • Il faut favoriser la proximité entre les emplois et les logements y compris dans le secteur des Grandes Ardoines,

  • Doubler l'effort budgétaire en matière de travaux d'économie d'énergie des bâtiments municipaux. C'est un investissement d'avenir sur le plan environnemental mais également financier!

  • Développer l’efficacité énergétique. Contraindre, autant que la loi le permet, de nouvelles constructions « basse consommation » (entreprises, bureaux et logements).

  • S'engager dans la géothermie, comme cela est possible et se fait dans de nombreuses communes limitrophes. Cette démarche a trop tardé dans notre ville.

                              

    Des circulations "douces" (transports en commun, vélos piétons)  doivent être démultipliées.

     

  • Exiger une structuration des lignes et un développement des transports en commun de desserte de chaque quartier, pour des déplacements de courte distance à l'intérieur de la ville. Cette question doit être travaillée avec l'arrivée annoncée du métro en 2020, la livraison du Tram sur la Rd7 et la perspective d'un tram sur le site propre en cours d'achèvement sur la RD5.

  • Une circulation en transports en commun doit être étudiée dans le nord de la ville (sur l'axe de la rue GAGNEE ou de la rue "de la Concorde") afin d'améliorer les  liaison Est Ouest. Cela peut bien entendu se faire sans chercher à élargir les voiries existantes.

  • Une liaison en transport en commun du plateau (RD7) vers la gare des Ardoines doit être pensée en veillant à ce que le franchissement du parc des Lilas respecte le caractère paysager des sites.  Le concept "d'Arc Sud" développé par les nombreuses études passées tarde trop. Il est stratégique pour rendre "caducs" les circulations automobiles.

  • Une navette pour aider au déplacement notamment des personnes âgées pourrait être mise en place selon un circuit adapté, éventuellement dans le cadre de la communauté d’agglomération Seine Amont, comme l’a mis au point la Communauté d’agglomération du Val de Bièvre avec un réseau spécifique de bus de la RATP.

  • Sécuriser et favoriser réellement les déplacements à vélos et à pieds. Des garages à vélo sécurisés, des ateliers de réparation doivent être envisagés comme c'est déjà le cas à Ivry sur Seine. Les circulations "douces" doivent être adaptées vers les gares et vers le site propre de la RD5 ainsi que vers le tramway de la RD7(avenue de Fontainebleau). Cela nécessite un travail étroit et exigeant auprès du conseil général pour les voiries départementales.

  • Le Conseil Général doit prendre en considération l'aménagement de l'avenue du "moulin de Saquet" de l'avenue BARBUSSE et de l'axe vers la Seine. Cette liaison Est Ouest est laissée à l'abandon et ne donne pas une image positive de notre ville.

  • En matière de circulation piétonne des efforts ont été engagés afin de garantir les déplacements sur les trottoirs. Beaucoup reste à faire.

  • Enfin Vitry doit se poser clairement la question de l'implantation d'un système de location de vélos et de véhicules à usage partagé, si besoin en partenariat avec d'autres communes. Cela était un engagement du programme municipal de 2008 ( pages 40 et 41).

    Le stationnement est particulièrement désorganisé sur notre ville

 

  • Une politique d'information doit être menée notamment de manière pédagogique et persuasive pour que soient respectés les règles de stationnement, les passages piétons ou les pistes cyclables.

  • Ainsi, il n'est pas acceptable que soit décédé un piéton amené à traverser en dehors d'un passage piéton car celui ci était occupé par une voiture.

  • Les passages piétons doivent être systématiquement sécurisés.

  • Les parcs de stationnement souterrains doivent être clairement fléchés afin d'être connus et utilisés.   Le parc de stationnement du marché et celui du secteur Robespierre sont trop discrets dans leur signalisation. Cela est dit depuis trop longtemps

  • Doit être assuré l'entretien des parcs de stationnement publics et des parcs réservés aux locataires des résidences sociales. Leur sécurisation doit être effective. La gestion des parcs de stationnement en sous sol des résidences doit faire l'objet de concertation étroite avec les habitants concernés. 

     

    Enjeux de santé publique, des préoccupations sont à décliner au niveau du territoire communal ou intercommunal: par exemple maitriser l'émission des ondes  et  s'opposer  à l'exploitation des gaz de schiste dans le Val de Marne...

     

    La ville doit  être plus sensible aux enjeux de santé environnementale, aux ondes radioélectriques, au bruit, à la qualité de l’air, et doit favoriser le droit d’alerte et de mobilisation des citoyens, plutôt que de s’en méfier. La question de l'organisation des implantations d'antennes de téléphonie mobile doit être prise en compte quartier par quartier mais également au niveau intercommunal. Au delà de l'évolution législative nécessaire, une action volontariste doit être déployée auprès des opérateurs de téléphonie afin que l'équipement de la ville se fasse avec le souci de la précaution et de la santé de tous.

    La prise en compte d'un plan climat énergie intercommunal, d'un plan de préservation de la biodiversité, ainsi que d'un "plan bruit intercommunal", sont des perspectives. Cela devrait être positif.

    De manière générale, l’alimentation est également une préoccupation sociale et environnementale. S'alimenter et ne pas subir une "alimentation industrialisée" issue de l’agriculture intensive et chimique est un objectif de santé et de lutte contre les dérèglements environnementaux.  Mettre en place une bonne alimentation saine et bio dans les cantines, est source de bien-être et de réussite scolaire. L'action engagée avec la cuisine centrale et le SIDORESTO sont des points d'appuis utiles.

 

L'opposition à l'exploitation des Gaz de Schiste dans le sud du département ou en Seine et Marne, est, également, pour les vitriots, un enjeu de santé. Il s'agit d'une technologie qui clairement met en danger la sécurité des nappes phréatiques essentielles pour une alimentation en eau potable.

 

Aménager les berges de la Seine

 

La réflexion doit être poursuivie afin de réaliser un aménagement des berges qui allie une prise en compte de la biodiversité et du cadre de vie et qui permette à la ville d'être en lien avec le fleuve. Les réflexions qui ont débuté pour la ZAC Seine gare doivent être approfondies pour apprécier les possibilités de maitriser l'eau et les irrégularités de son niveau dans le cadre notamment des périodes de crues.

 

 

 

  • La Communauté d'agglomération Choisy, Ivry, Vitry (Communauté d'agglomération Seine Amont) devrait faciliter une action cohérente et novatrice.

 

 

La ville au bord de l’eau.

 

Notre ville a, sur 4 km, les pieds dans la Seine. Les projets des architectes s’en nourrissent. Il faut renouer avec l’aménagement des berges. Le pont suspendu, ouvrage magnifique, a tout ce qu’il faut pour accueillir à proximité une guinguette pour s’y retrouver, y danser. Une salle pour les fêtes de famille et d’amis tant de fois promise, ne pourrait-elle pas s’installer sur un espace vert au bord du fleuve ?

 

La collecte pneumatique des ordures :

 

Une fausse innovation? Un gouffre financier?

 

Il s'agit d'une question évoquée en coup de vent dans le programme municipal de 2008 (page 38 du programme municipal):

 

"Le quartier BALZAC expérimentera le procédé de collecte pneumatique".

 

Ce qui devait être une expérimentation est devenu un investissement « monumental »!

 

C’est devenu la plus grosse opération d’équipement public lancée dans le mandat pour un montant de 32 000 000 €, soit plus que le futur complexe aquatique dans le quartier du 8 MAI (29 millions).

 

Un projet d’investissement assumé totalement par le budget de la ville

 

Alors que la ville de Romainville a été subventionnée à 80%, notre ville n'a pris aucune précaution pour garantir des subventions avant la signature du marché, le début du chantier et préalablement à la spirale des travaux.

 

La technologie choisie peut laisser perplexe.

 

par exemple, Elle n’est pas opérante pour la collecte du verre. Enfin, le gain énergétique n’est pas annoncé.

 

En fait, quel intérêt d'investir 32 millions pour faire parcourir 2 km aux ordures. Telle est la distance maximum entre les bornes de collecte jusqu’à la centrale d’aspiration et de compactage, en cours de construction à l’angle des rues Constant Coquelin et Rouget de Lisle. En effet, si l'usine d'aspiration compactera les ordures, le tonnage sera toujours identique et il faudra transporter les mêmes quantités jusqu’à l’usine d’incinération. Enfin, quelle garantie que les ordures de la collecte sélective (papiers, cartons, plastiques) seront plus facilement triés une fois passées par l’aspirateur ?

 

 

 

Les autres technologies concurrentes ont-elles été bien comparées?

 

Dans la même période, la ville d'Issy les Moulineaux, a choisi une technologie de collecte dans des container enterrés avec un compactage effectué par chaque camion de collecte. En l'espèce il s'agit d'un investissement nettement moins élevé.

 

Des coûts de fonctionnement non évalués avec précision.

 

Au delà de l'effort qu'il conviendra de dégager annuellement pour rembourser les 32 millions d'investissements, aucune garantie chiffrée n'est apportée sur un quelconque gain en fonctionnement.

 

Le conseil municipal du 18 décembre 2013 se prépare à confier, en 2 lots, l'exploitation du système de collecte pneumatique à une société privée. Il est évoqué un coût annuel de 500 000 €. Il faut y regarder de près et se faire préciser ce que comprend cette évaluation. D'autant que la mise en service initiale était annoncée pour fin 2013 et que ce marché est attribué "avant la fin des travaux de construction du terminal et sa mise en service". Notons l'efficacité d'un dispositif qui va coûter en fonctionnement avant même de fonctionner!

 

En tout cas le plan prévisionnel de financement en investissement et en fonctionnement actualisé est exigé, au delà des esquisses exposées en 2019. Ce n'est pas la couteuse  exposition organisée au sein de la "maison des projets", qui nous aurait  apporté des éléments de réponse.

 

 

 

Il faut parfois savoir ne pas s'entêter. Un audit, technologique et financier  devrait sans délai être engagé.

 

  • Des dispositifs existent en alternative à cet équipement

  • Dynamisation de la  collecte sélective

  • Accroissement des collectes dans les grands ensembles, comme cela a déjà été le cas dans certaines cités (passage à 5 collectes hebdomadaires),

  • Dotation d'un nombre suffisant de poubelles et renouvellement approprié de celles ci,

  • Utilisation, si besoin, de dispositif de conteneurs enterrés comme c'est le cas dans de nombreuses villes,

  • Enfin aménagement des heures de collectes et coordination des sorties des poubelles. Trop de bailleurs sortent les poubelles le dimanche matin, pour une collecte du lundi!

     

    Une dégradation du service incitation à la mise en place d’une collecte pneumatique ?

    Quand on veut supprimer son chien on l'accuse de la rage.

    Il ne faudrait pas dégrader ou ne pas répondre aux demandes pour insidieusement faire une promotion d'un dispositif qui n'est pas convaincant ( la collecte pneumatique).

    Au demeurant les voiries et même l'intérieur de nombreuses citées permettent une collecte au plus près des lieux de stockage. Pourquoi vouloir mettre en place un dispositif rigide qui oblige les bailleurs à faire des centaines de mètres pour apporter les poubelles au bord d'une voirie municipale, Serait ce pour mieux plaider la collecte pneumatique?  Les ensembles d’habitat collectif et leurs occupants méritent un service adapté.

    La question de la hausse de la Taxe d'enlèvement des ordures est évoquée plus loin au regard des considérations de justice fiscale !

 

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