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14/02/2015

Et pendant ce temps cela continue !

C'est toujours la braderie gouvernementale....

L'école en souffrance:

https://cocq.wordpress.com/2015/02/10/reserve-citoyenne-n...

Des profits en bonne santé:

https://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/reco...

 Et un point d'analyse politique par Eric Coquerel:

 

https://www.lepartidegauche.fr/actualites/edito/mobilisat...

  
Quelques extraits de cette dernière note que je vous invite à lire également en entier:

"La semaine a débuté avec le résultat de l’élection législative partielle du Doubs. Elle aura renforcé nos inquiétudes. ......

Le second enseignement n’a, lui, rien de nouveau. Le niveau d’abstention confirme la crise démocratique que subit notre pays. ......

Preuve par l’inverse : en appliquant cette stratégie de désobéissance, le gouvernement Tsipras confirme que les peuples retournent en masse aux urnes dès lors qu’ils en perçoivent l’utilité. ........

Il faut faire plier la Grèce pour que d’autres peuples ne s’engagent pas sur cette voie. C’est bien une confrontation de classes, entre l’oligarchie et le peuple, qui est engagée en Grèce et dans l’UE. Il n’y aura donc pas de cadeaux. Face à la guerre déclenchée par les tenants de l’Europe libérale, seule une pression populaire sans précédent sera à même d’inverser le rapport de force en faveur du peuple grec et de son gouvernement. Il reste 17 jours avant le 28 février : c’est le moment d’une mobilisation générale qui commence ce week-end par les manifestations dans toute la France dont celle à Paris qui partira de la place de la République à 15 heures.

Il nous revient plus particulièrement d’exercer une pression maximum sur François Hollande, qui est le maillon faible tout simplement parce qu’en 2012 le peuple français lui a donné mandat, en fonction de ses promesses, de ne pas signer le TSCG qui aggrave les politiques d’austérité et laisse toujours plus les clefs de l’UE à la droite allemande et aux institutions non-démocratiques de Bruxelles.

Même sans illusion, nous devons cela à la Grèce. Le gouvernement Tsipras s’est en effet engagé sur la voie d’une rupture avec les règles actuelles de l’UE au nom de la souveraineté de son peuple mais aussi d’une certaine idée de la coopération entre les peuples d’Europe.

A nous de les soutenir, à nous également de s’engouffrer dans la brèche pour refuser le chantage à la dette.

En restant également persuadé qu’il n’y aura aucune reconstruction d’une autre Europe sans une rupture claire avec celle que nous subissons aujourd’hui."

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