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Rechercher : collège du port à l'Anglais

C'est l'histoire du candidat qui utilise les salons de l'ELYSEE et qui oublie que sa copie est déjà ramassée et notée!

Les accords de flexibilité au sein des entreprises, sur le temps de travail, les salaires etc...sont appelées à prévaloir sur la loi? Ainsi, le candidat SARKO, entend encore plus brader tout le code du travail! Cc'est la négation de la loi protectrice.

La TVA augmentée, c'est le renforcement de l'injustice du système fiscal actuel.

L'augmentation des possibilités de constructibilité (+30%) c'est nier l'autonomie des collectivités locales et les équilibres urbains que certaines communes entendent controler. Quel est l'intérêt d'une loi qui va obliger tous les conseils municipaux  à délibérer. Quelle complication. Déjà que le Sénat est passé à gauche car les élus n'en pouvaient plus de ce gouvernenemt! Bien enetendu, rien pour le logement social!

 Le discours sur l'industrie est pitoyable au regard de ce qui a été détruit depuis 10 ans. La "banque pour l'industrie" ne se mettra pas en place en 3 mois..

Quant à l'idée d'une "taxe  sur les transactions financières"...; pour le mois d'août, elle montre bien que des dispositifs sont techniquement possibles comme le réclament tant d'économistes et d'acteurs de la vie sociale. Il convient de l'instituer selon des modalités et  à un niveau dissuasifs et non homéopathiques. A revoir.

Une première réaction de Martine BILLARD

http://www.lepartidegauche.fr/editos/actualites/4820-disc...

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30/01/2012 | Lien permanent

Tirons.... les conséquences:

http://www.planet.fr/dossiers-de-la-redaction-quand-sarko...

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20/01/2012 | Lien permanent

Pendant la campagne, une Europe de plus en plus libérale et anti sociale se conforte....

Je suis de ceux qui ont voté contre le traité de MAASTRICHT.... je l'avais lu!

Le non au traité constitutionel était un acte de résistance. Aujourd'hui il faut avoir les yeux ouverts sur l'Europe et les divagations du Parlement Européen.

La campagne actuelle me fait revivre l'énergie de la campagne de 1981.

Mais, que de changements. Comme l'a si bien analysé J. GENEREUX, c'est la Grande Régression qui s'est développée à partir des années 1983 1984.

Les avancées de 1981 (5ème semaine de congés, 39h, hausse du SMIC, décentralisation, etc...) ont été confrontées à une construction européenne qui n'a pas mis le social en avant.

A nous d'imposer, l'Humain d'abord....;-)

Je n'ai pas lu en totalité la note ci dessous. Mais, les quelques lignes sur les travaux du Parlement Européen sont édifiantes:

http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/01/21/apres-metz/#m...

En 1981, les radios libres avaient permis de faire dess avancées dans le paysage médiatique. En 2012, les réseaux utilisants internet, les messageries etc.... doivent pleienement être utilisés. Soyons des acteurs du débat, dans les échanges réels et numériques...
Ce blog, modestement souhaite y contribuer

 

Pour attirer votre lecture, extraits de la note de MELENCHON

Sur l'EUROPE

 "A Strasbourg, je suis donc arrivé après l’élection avec la droite du social-démocrate Martin Schulz. On connaît les cris d’orfraie de la socialiste Catherine Trautmann contre la rude secouée que j’ai faite à cette social-démocratie européenne en pleine collusion avec la droite. Cet épisode, si vous découvrez le sujet, vous pouvez le retrouver en revenant à la note précédente. N’empêche que je me demande pourquoi le nouveau président éprouve le besoin d’aboyer de cette façon pour nous parler ! Les autres allemands parlent d’habitude avec grâce et parfois même un peu d’onction comme mon camarade Oskar Lafontaine. Pourtant Schulz était libraire et pas marchand de chiens tout de même ! Je n’ai rien compris à ses explications à propos du vote sur les vice-présidents. Mes voisins non plus, et même Helmut Scholz, qui pourtant parle allemand puisqu’il est élu de Bavière et riait à gorge déployée en entendant le charabia procédurier vociféré par notre nouveau président. Ce n’est pas grave j’ai encore voté blanc. J’ai bien noté qu’il n’y a plus un seul vice-président français dans la nouvelle équipe. Notez-le aussi. Ça aide à se faire une idée de la place de la France sous Sarkozy. Pendant cette session le « néo-fasciste » Viktor Orban, premier ministre hongrois, est venu plaider sa cause devant les « européens qui s’inquiètent » bruyamment de ses comportements et législations liberticides. Les mêmes parlementaires indignés et inquiets l’avaient pourtant copieusement applaudi après son discours en tant que président de l’Europe pour six mois. L’UMP français Joseph Daule, président du groupe de droite, l’avait même embrassé devant tout le monde au pied de l’hémicycle. Les élus Verts et nous, avions mis un bâillon sur notre bouche par solidarité avec la presse bafouée et les fonctionnaires persécutés en Hongrie. Que s’est-il passé pour que Orban se fasse lâcher par la droite ? Un fait essentiel du point de vue des droits de l’homme : parmi diverses mesures insupportable Orban a agressé la Banque centrale européenne. Ça c’est trop ! Il n’y avait donc pas de mots assez durs pour flétrir Orban. La preuve : il fut même traité d’émule de Chavez et Castro. Subtil, n’est-ce pas ? De tels chiens de garde du système ne méritent pas qu’on tienne compte de ce qu’ils disent. Orban est un danger d’autant plus grand qu’il est combattu avec de telles méthodes et par de tels personnages ! Car les mêmes « européens inquiets » ne disent mot de la présence d’un parti ouvertement et publiquement fasciste en Grèce. Donc pour eux certains fascistes sont bel et bien insupportables et d’autres non. Tout dépend de ce qu’ils pensent de la Banque centrale. On s’en doutait. Mais que c’est étrange de devoir le vérifier !

L’événement politique de cette session parlementaire c’était le vote d’une résolution concernant le futur nouveau traité européen. Je ne reviens pas à cet instant sur son contenu qui durcit les critères d’austérité et les rend constitutionnels dans chaque pays. Il est en cours de négociation entre les représentants des gouvernements des Etats membres. Il faut connaître la procédure pour apprécier tout le piège de ces sortes de résolutions présentées en commun par plusieurs groupes politiques qui sont pourtant censés être différents. La rédaction de ces résolutions se déroule de la façon suivante. Chaque groupe rédige d’abord la sienne. Puis les groupes négocient une résolution commune. Ce texte est alors signé par ceux des groupes que le compromis satisfait. Au moment du vote on commence par ce document commun. Il est adopté et alors tous les autres textes tombent sans être soumis au vote. Cette fois-ci il y a eu une variante. Beaucoup étaient déjà d’accord avant même la phase du compromis. La droite (PPE), les libéraux démocrates (ALDE), les sociaux-démocrates (SD) et les verts (Verts/ALE) proposaient chacun une résolution en tous points identique. Curieux, non ?  Interloqué, le délégué de mon groupe a tout de même voulu se rendre à la réunion de négociation de la résolution commune. En vain. Il n’y en avait pas. La droite, les socialistes, le centre et les verts lui ont aimablement expliqué que tout était déjà arrangé entre eux ! La résolution commune de la droite, des sociaux-démocrates et des verts n’a bien sur rien de commun avec celle que nous avons rédigée au groupe GUE/NGL

Dans leur texte, pas de dénonciation de la « règle d’or » renforcée que ce traité impose « de préférence au niveau constitutionnel ». Leur problème n’est pas le contenu « austéritaire » du traité. C’est le fait que ses « objectifs essentiels peuvent être atteints de manière plus efficace grâce à des mesures prises en vertu du droit de l'Union », via la méthode communautaire. Ce charabia signifie que le même résultat peut être obtenu sans que les Etats aient besoin de le négocier eux-mêmes car tous ces gens détestent l’intervention des Etats. Leur texte appelle à la mise en place d’une union budgétaire. Il déclare que  la discipline budgétaire est «  la base de la croissance durable ». Ah les bons élèves du libéralisme !  Ils appellent même les dirigeants de l'Europe à « mettre en œuvre des actions énergiques ». Ils demandent par ailleurs explicitement que le nouvel accord comporte « sous une forme juridiquement contraignante, un engagement des parties prenantes à prendre toutes les mesures nécessaires pour s'assurer que, dans un délai maximal de cinq ans, l'accord sera intégré en substance dans les traités ». Autant de propositions que je dénonce. Mais il y a pire : nulle part, vous entendez, nulle part ils ne demandent qu’un tel traité soit soumis à la décision du peuple. Pas une fois les mots « consultation populaire » ou « référendum » n’apparaissent dans leur texte.

C’est tellement gros que même les socialistes français ont eu du mal à avaler. Mais leur courage et leur indignation n’a pas été plus loin qu’une molle abstention. Comme on le devine, avec mes camarades du Front de Gauche, Jacky Hénin, Marie-Christine Vergiat, Patrick Le Hyaric et Younous Omarjee, nous avons voté contre cette résolution. La droite a voté pour. La délégation socialiste française s’est, elle, contentée de s’abstenir. Quant à la délégation d’EELV, elle a réparti ses votes entre le pour et l’abstention. Honteux ! Vous pouvez retrouver la liste des votes sur le site du Parlement européen. Voici mon explication de vote : « Cette résolution commune de la droite, des sociaux-démocrates et des verts marque l'accord de ceux-ci avec le fond du traité en cours de négociation à savoir l'imposition d'une règle d'or renforcée. Cette règle astreint les Etats à avoir des budgets à l'équilibre ou en excédent et à tendre pour cela vers un chiffre de référence: 0,5% du PIB nominal de déficit structurel. Elle les oblige à graver de préférence ce diktat dans le marbre de leur constitution. Elle exige qu'ils mettent en place des mécanismes automatiques de "corrections" de leurs politiques budgétaires suivant les indications de la Commission. Loin de s'inquiéter de telles mesures, les quatre groupes signataires se bornent à réclamer leur participation au processus de création du nouveau traité et l'intégration sous cinq ans de celui-ci dans le droit communautaire. Ils ne réclament pas même le droit pour les peuples de se prononcer par référendum sur ce nouveau tour de vis austéritaire. Je vote contre. »

Sur les médias

 "L’onde de choc de l’émission sur France 2 a été considérable. Elle débloque ce qui était figé, anime ce qui restait inerte. Elle a beaucoup fait réfléchir autour de nous. Est-ce à cela que nous devons la nouvelle et formidable affluence dans nos meetings ? En partie, je le crois volontiers. Les participants aux meetings que nous organisons sont ceux que nous attendions depuis si longtemps. Pas seulement les personnes politisées qui sont si précieuses pour déclencher le mouvement et le nourrir à mesure qu’elles gagnent en confiance dans la campagne. Je veux parler de tout ce peuple qui vient vers nous. Les salles sont de plus en plus nombreuses et populaires. Très populaires. Et spontanées. Elles réagissent en dehors des codes que nous voyons d’habitude fonctionner au quart de tour. C’est là une masse de gens en voie de politisation ou de retour à un choix politique. Elle engage ce parcours que nous avons voulu faciliter et préparer. C’est de ce côté que sont tournés tous nos efforts. Reprendre le terrain à l’extrême-droite, à l’abstention, à la résignation."

"Qu’un tel déclic se soit produit du fait d’une seule émission de grande écoute rappelle la puissance de l’outil télévisuel. Cela n’en souligne que davantage de quel poids pèse notre élimination du paysage médiatique le reste du temps. Et bien sûr dès le lendemain les vieilles habitudes sont revenues. Les camarades m’ont dit leur rage ! L’autre soir encore, sur les deux grandes chaînes, de beaux plans sur le meeting de Bayrou. Rien pour nous alors que nous étions plus de 2500 à Metz ! Si BFM n’y avait pas fait d’images, nul n’en aurait vu sinon sur nos sites et blogs. Dans la même ville, pour 800 personnes, la Le Pen avait eu un confortable reportage sur toutes les chaînes ! De même qu’il n’y a pas eu une image des 6000 de Nantes. A mon avis ça ne va pas s’arranger. Mardi prochain le CSA va rendre son analyse de la situation. Le déséquilibre s’est creusé de tous les côtés en notre défaveur. C’est encore, là aussi, 2005 qui recommence. Dites-le et répétez-le ! Les réseaux sociaux sont un bon vecteur pour ce travail. Dénoncer ce grossier maquillage c’est éduquer dans le sens de nos idées. Moins les gens croient au sérieux du système médiatique de traitement de l’information plus nos propres médias élargissent leur espace particulier de crédibilité. De tout cela il ne faut retenir qu’une chose. Pendant quelques heures vous avez vu le soleil. Votre travail de militant engagé était facilité par ce fait que vous aviez une référence commune par une émission regardée et réussie. Mais si formidable que cela soit ne perdons jamais de vue que c’est par un ancrage de fond dans les consciences, sur le terrain et par le travail de conviction que nous avancerons. Tout le reste, si bon que cela soit, et il faut le savourer sans réserve, est trop volatil.  Au demeurant, pour ce que nous avons à faire ensuite, il nous faut une base d’adhésion populaire consciente et documentée. Et cela dépend de notre travail de contact personnel."

 

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21/01/2012 | Lien permanent

METZ, 2500 .... en milieu de semaine

Les carnets de route, une plume qui court pour un récit vivant:

http://www.jean-luc-melenchon.fr/carnet-de-route-en-lorra...

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19/01/2012 | Lien permanent

La campagne des élections présidentielles ne doit pas cacher les débats européens qui se déroulent globalement dans le s

http://www.lepartidegauche.fr/editos/actualites-internati...-

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31/01/2012 | Lien permanent

Un point sur la fréquentation de ce blog

La fréquentation d'un blog n'est pas un indicateur de l'intérêt et surtout de l'adhésion à son contenu. Toutefois il est intéressant de regarder son audience.
Pour mémoire, ce blog créé à l'automne 2008 contient 853 notes.

Sa fréquentation est en hausse. La période est particulière. J'avais déjà noté des hausses du nombre de visiteurs lors des campagnes des Européennes et des régionales. Les 4 élections de 2012 doivent nécessairement contribuer même si cela influe sur un contenu qui peut se disperser entre des réflexions locales et nationales.

Je ne suis pas certain que chacun y trouve son compte. Quant à ceux qui le consultent par obligation... Je n'ai pas de commentaire à faire.

Ceci étant le mois de janvier 2012 voit  des "records" atteints avec:

  • 2954 visiteurs dits "uniques" (un visiteur est compté comme unique quand il consulte plusieurs fois sur une période de 24H...)
  • 8 091 visites et 19 249 pages consultées, soit
    • 620 pages par jour
    • et 261 visites par jour

janvier 2011

  • 260 pages par jour
  • 135 visites par jour

janvier 2010

  • 141 pages par jour
  • 86  visites

janvier 2009

  • 41 pages par jour
  • 14 visite par jour

Enfin, je confirme mon engagement de tenter d'allier notes d'intérêt politique global et note d'intérêt local. Cela va être exigeant.... Mais c'est nécessaire.

Bonnes lectures.

 

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Europe, que fais tu de ton peuple.. dont les ”ROMS”?

Le statut des ROMS, leurs conditions de vie, tant au sein des pays de l'Est que sur l'ensemble du territoire de l'Europe qu'en France, est sujet de scandale.

Voici le texte d'un appel auquel j'ai apporté mon soutien. L'Europe qui prone la libre circulation des marchandises, des capitaux financiers et des personnes, ne sait pas construire les conditions d'une vie digne pour les "ROMS"!

 

 

Les Roms : arrêtons l’indifférence et les discriminations !

 

Les Roms sont victimes de discriminations et d’exclusions

 

Les Roms qui vivent en France sont originaires de l'Europe de l'Est : de Roumanie, de Bulgarie et de Hongrie, pour l'essentiel. Venus en France pour fuir les difficultés économiques et les discriminations dont ils souffrent dans leurs pays, les Roms ne sont pas des nomades qui refuseraient par choix de se sédentariser. Ce sont des citoyens européens devenus migrants suite aux expulsions successives. Ils sont estimés, d’après les ONG, sur tout le territoire national, à une dizaine de milliers.

La législation leur permet d'entrer tout à fait légalement en France mais leur interdit actuellement d'y travailler. A cause de ces difficultés d'accéder au marché de l'emploi, ils se trouvent privés d'accès aux droits sociaux et à toutes les aides indispensables à leur insertion.

 

Dans le département du Val-de-Marne, des familles roms sont contraintes de vivre dans des squats délabrés ou des bidonvilles. Les élu-es et associations impliquées auprès de ces familles tentent de répondre à l’urgence : scolarité des enfants, accès au soin et aux conditions d'hygiène…

 

Malgré tout leur engagement et toute leur énergie, les collectivités locales et les associations ne peuvent à elles seules trouver les réponses à ce phénomène d’envergure nationale et européenne. Les droits à la santé, à l’hébergement et au travail des populations roms sont autant de sujets dont l’Etat et l’Europe doivent se saisir. Le gouvernement ne peut se contenter d’expulser les Roms des lieux occupés en se dégageant de toute responsabilité vis-à-vis des droits de ces populations.

 

Ces expulsions n'apportent aucune solution, ni aux autorités locales, ni aux familles roms qui au gré de ces expulsions successives, doivent accepter des conditions de vie de plus en plus dégradées et inhumaines. Cette migration forcée signifie aussi la déscolarisation des enfants, des ruptures de soins, l'arrêt des campagnes de vaccinations, des ruptures des liens humains tissés avec les citoyen-nes. Tout cela les exclut de toute démarche d'insertion.

 

Les élu-es, les associations de soutien, les familles roms demandent un débat public à ce sujet, un débat où l’Etat français et l'Union Européenne prendraient enfin leurs responsabilités et s'engageraient sur de réelles solutions. Au niveau départemental comme au niveau régional, de nombreux élu-es ont demandé à l'Etat la tenue de tables-rondes à ce sujet… demandes qui sont toutes restées sans réponse !

 

Il est pourtant urgent de réfléchir à des solutions pérennes plutôt que de continuer à voir ces populations aller de ville en ville et vivre dans des conditions toujours plus difficiles dans l'attente et dans la crainte de leur prochaine évacuation.

 

Nous demandons donc à nouveau à l'Etat d'organiser une conférence régionale où élu-es, associations et  représentants de l'Etat pourraient dialoguer et mettre en place ensemble ces solutions pérennes que nous appelons de nos voeux.

 

 

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02/02/2012 | Lien permanent

Rendez vous avec J. L. MELENCHON.....

Invité de "Questions d'info" sur LCP
mercredi 01 février 2012 19:30

Session du Parlement européen à Bruxelles
jeudi 02 février 2012

Invité du "Grand jury" sur LCI et RTL
dimanche 05 février 2012 18:30

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01/02/2012 | Lien permanent

Besançon: Y avait foule, mais c'est toujours le silence radio!

http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/01/24/meeting-front...

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26/01/2012 | Lien permanent

le changement....

;-)sans rancune... ;-)

http://vimeo.com/35577105

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25/01/2012 | Lien permanent

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