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11/11/2014

Au fait, avec l'opération FULTON, l'arrivée de "People and Baby" est à remarquer.....

En complément de ma note précédente, sur PIN DEVELOPPEMENT et FULTON à Vitry,

http://bertrandpotier.hautetfort.com/archive/2014/11/09/n...

je souhaite revenir sur un article du mensuel municipal de novembre, en sa page 11. Il évoque l'action de FULTON au sein des "Docks du Port à LANGLAIS".

Cet article relève la présence d'une antenne de PMI, qui existait dans le quartier depuis des années...., et d'une crèche privée portée par "People and Baby", http://www.people-and-baby.com/

Cette société se distingue, au delà de son patronyme venant de la langue de SHAKESPEARE, par le fait que l'un des initiateurs (médiatique) de cette structure est de la famille du Ministre actuel des affaires étrangères.... "No problem" ;-(.

(J'ai bien dit l'un des initiateurs car il semblerait qu'il n'ait plus d'intérêts financiers dans cette structure.

Enfin, cela m'a été signalé. Toutefois il ne faut pas s'arrêter à cela.

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/thomas-f...)

Certes, dans cette opération des docks du Port à LANGLAIS, il y des logements sociaux réalisés par des organismes de logement social .

Oui, vraiment, il serait quand même intéressant de disposer d'un bilan global des investissements publics et privés dans cet espace des Docks du Port à LANGLAIS. Il faudrait également bien mesurer l'importance des bénéfices privés réalisés au sein cette opération pour laquelle la vile a été "accueillante" par son accompagnement rapproché.

Cela pourrait intéresser le conseil municipal mais également les citoyens.  Et bien, il est nécessaire que le bilan global soit réalisé et que le devenir de la Hall DUMESTE soit précisé. Quant au collèges du PORT à LANGLAIS... quand verra t il le jour? En tout cas, cela sera clairement en dehors de cette opération...

Commentaires

On s’était assoupi en ce lendemain de 11 novembre à l’hôtel de ville de notre commune après le tour de passe-passe d’un déficit qui se tourne en bénéfice sans qu’une explication claire ait rassuré les auditeurs, enfin ceux qui ne siègent pas, car les réponses à propos de la société PIN ont semblé satisfaire le conseil municipal. On s’endormait donc quand, soudain, la « protection juridictionnelle » déclencha le branle-bas des petites phrases quand on posait des questions qui gênaient. Non qu’on n’approuve pas l’aide aux élus qui ont porté plainte, probable séquelle de la campagne électorale passée en toute hypothèse car l’assistant que je suis ne sait rien de ces faits. Chacun fit appel comme il se doit à la « démocratie », mot employé chaque fois qu’on n’est pas content à tort et à travers et pour masquer le manque d’arguments notamment ceux de l’édile numéro 1 qui sait fort bien déstabiliser ses adversaires, à gauche surtout ; déstabilisation, unique objectif de ses réponses. Lassant que cette technique qu’on sait qui va venir… Lassant étant un piètre mot.
Sans manier ni la dérision ni la méchanceté : il est temps de passer la main pour qu’un vrai débat ait lieu, et les sourires d’une élue d’un côté du maire quand les rangs de droite et de gauche s’expriment ne font pas que la vérité soit derrière la table du fond qui, c’est là que je veux en venir, s’il ne se produit pas une petite révolte, même collectivement verbale et un tant soit peu énergique - qui ferait du bien tant les têtes sont basses et la mauvaise foi pernicieuse -, perdra les futures élections même lointaines. Là sera la vérité.
La gauche aura gagné au moins d’éloigner les petites phrases assassines qui lèvent le cœur.
J’éprouvais la nausée de la ville, voilà qui confirme par le plus haut de la cité.
Si l’on n’a pas reçu de réponse de la mairie concernant les conseils de quartier, le mensuel nous apprend qu’ils doivent reprendre.
Hormis « la protection juridictionnelle », pour que ceux qui assistent en très petit nombre aux conseils municipaux, il serait bon pour la compréhension de ce qui se discute que les notes de synthèse soient mises à la disposition du public sur Internet.
Oui, je sais, politiquement tout « ce qui précède ne veut rien dire », mais sociologiquement le citoyen ordinaire n’est pas hors-jeu. Et il lui reste son bulletin de vote... politique.

Écrit par : brunel | 13/11/2014

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