Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

07/01/2011

Cantonales 2011, en Val de Marne, un accord PS et Europe écologie contre le front de gauche.

 

Quelques mots, même si Vitry n’est pas directement concernée. En effet nos cantons ne sont pas renouvelables en 2011

Lire la suite

accès au collège CHERIOUX

A partir de lundi les collégiens de CHERIOUX à VITRY  n'ont plus le droit de passer par la rue Julian grimau, c'est à dire d'utiliser le passage "historique" via le lycée.
Le portillon sera fermé, la nouvelle entrée se fera par la rue  E.tremblay ou Paul Armangot pour les jeunes venant du moulin Vert,
Les parents ont été informés de la mise en place effective de ce dispositif jeudi soir,
cherioux.jpg
 
Cette disposition, certes "dans l'air" depuis juin 2010 se trouve maintenat mis en oeuvre dans un délai si bref! Cela manifeste un mépris de la part des "aménageurs du site de CHERIOUX " à l'égard des parents et des enfants.
Ces derniers vont être contraints de faire un détour qui, de fait, allongera leur trajet. 
Celui ci  deviendra problématique.
  
Quant à l'entrée par la rue Paul Armangot, elle est irrespectueuse pour les enfants. Elle n'ouvre pas sur un trajet adapté.

Les parents n'ont pas été entendus. En tant qu'élu de VITRY je suis stupéfait du mépris dans lequel les familles et parents d'élèves du collèges ont été tenus dans la conduite de cette opération.
Celle ci est l'illustration d'une rigidité remarquable. Le passage des collégiens via la rue Paul Armangot ne mettait pas en danger les lycéens....!
Il suffisait d'organiser les circulations au moment des entrées et des sorties du collège. C'est une circulation qui a bien fonctionné depuis la rentrée de septembre.
Il fallait simplement du personnel. L'intérêt des enfants est à ce prix!
 

05/01/2011

L'incurie de l'Etat doit être dénoncée avec la nouvelle agression intervenue dans un lycée à VITRY

 

L'agression intervenue le 4 janvier au lycée CHERIOUX de VITRY révèle l'incurie de l'Etat et de l'éducation nationale pour traiter à la source, la prévention des violences au sein des établissements d'enseignement.

Ci joint article du journal "le Parisien" du 5 janvier2011  chérioux1.pdf

Certes la vie de la victime n'est pas en danger. Certes assistance a été portée de suite.

Mais, comment est ce possible que ce soit un enseignant, qui passait, qui ait été le premier sur place et que le personnel de surveillance n'ait pas été sur place pour êtr eattentif à ce qui se passait en espace extérieur et n'ai pas vu où allait l'agresseur!

C'est le signe que le nombre de personnel de vie scolaire présent sur site n'est pas à la hauteur des enjeux.

Et que l'on ne nous parle pas de caméra. Celles ci ne remplacent pas une présence humaine.

L'an passé les enseignants, les parents d'élèves et la municipalité n'avaient pas manqué de demander des moyens supplémentaires en personnel de vie scolaire.

Au lieu de celà, le Rectorat n'avait pas octroyé au delà de 4 surveillants.

Seuls du personnel éducatif qualifié supplémentaire (Conseillers principaux d'éducation et surveillants), sous statut de l'éducation nationale, peut réellement mener le travail éducatif de prévention et de surveillance que le service public se doit de déployer. L'Etat doit assurer son rôle en fonction des besoins respectifs de chaque établissement.

Avec la réduction drastique des moyens en personnels, la concurence délibérée entre établissements, l'Etat casse l'éducation nationale, fondement d enotre République.

L'Etat et le Rectorat doivent répondre aux demandes exprimées et doit accepter de mettre en oeuvre les formations et moyens nécessaires pour notre ville!