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05/04/2010

C.M. du 7 avril, création de la ZAC CHERIOUX

Dans ma note d'hier 4 avril, je n'ai pas cité la question N° 20 inscrite au conseil municipal du 7 avril.IMGP0883.JPG

C'est pourtant un sujet important qui me tient à coeur.

Le domaine de CHERIOUX (36 hectares), propriété du Département du Val de Marne est un ensemble bati des années 30

Je ne peux que me réjouir que le conseil municipal se pronnonce, sans tarder sur le principe de demande de création d'une Zone d'Aménagement Concerté (EAC, procédure possible selon e code d el'ubanisme.

Depuis, mars 2008, j'ai été attentif à ce dossier, en tant que conseiller municipal mais également en tant qu'adjoint en charge notamment des question relatives à la recheche scientifique et technique et leurs  liens avec  l'emploi et le développement économique. Bien entendu, ce dossier, je n'en suis pas le pilote car il relève de l'urbanisme et de l'emploi en général.

cherioux.jpgDepuis des années le Conseil Général, a clairement annoncé sa volonté que ce site se spécialise dans les domaines de la recherche, de la formation et de l'emploi.

Le président du Conseil Général  ayant exprimé le 10 février 2010, la volonté de travailler à la réhabilitation et au développement de c edomaine par la création d'une ZAC, le conseil municipal ne perds pas de temps en ayant à se prononcer ainsi le 7 avril.

La démarche s'accélère et elle se trouve sur la place publique au bon sens du terme.

Déjà sont présents, un collège, un lycée polyvalent, un centre de formation professionnelle de l'éducation nationale ( GRETA) et surtout un centre universitaire. Ce dernier rélève de l'Université Paris Est Crétaeil Val de Marne ( UPEC), anciennement dénomé Paris XII.

Sont enseignées, la chimie ainsi que les réseaux et telecomunications. Déjà sont délivrées sur place les formation de 5 licences professionelles tant au sein de l'IUT que du laboratoire (le LISSI) de cette univesité.

L'UPEC a pour ambition de déveloper sur site les formations universitaires dans le domaine de la chime, en profitant de la présence de L'ICMPE, laboratoire du CNRS implanté à cheval sur THIAIS et VITRY.

Pour sa part la ville ne peut que se réjouir que ce projet, porté par le Département, progresse dans la réflexion pour une mise en oeuvre à venir.

La ville, je n'en doute pas, sera attentive au développement des activités universitaires et à la cohérence avec la dynamique engagée dans le cadre de l'Opération d'Intérêt Nationale sur d'autres quatiers de la ville.

A cet égard le projet; qui progresse, de création d'un "Incubateur Pépinière Hôtel d'Entreprises" (I.P.H.E.) au coeur du quartier des Ardoines, à proximité du centre de recherche et de production de SANOFI AVENTIS, est dans cette même dynamique de VITRY "Territoire de Recherche et d'Innovations".

Je profite de cette note pour évoquer une récente visite du LRCCP ( Laboratoire de Recherche et de Contôle des Caoutchoucs et des Plastiques) ainsi que de l'IFOCA (Institut de Formation aux métiers du Caoutchouc) qui forme, à VITRY, tous les ans une dizaine d'ingénieurs dans ce secteur.

Cette visite était organisée dans le cadre d'une initiative commune de:

  • l'ELASTOPOLE, pôle de compétitivité implanté sur VITRY, rue AUBER,  
  • avec le laboratoire Francilien de l'Innovation porté par le conseil Régional .

Avec le nouveau Conseil Régional qui s'est installé. VItry doit voir ses projets se développer dans ces domaines stratégiques.

Par ailleurs, toujours s'agissant de cette ZAC CHERIOUX,  il est probable qu'elle permettra une augmentation de l'offre d'hébergement social pour les étudiants et spécifique pour les chercheurs de passage sur notre ville.

La procédure de création de ZAC va générer une concertation  préalable selon des modalités multiples. Je suis bien entendu à disposition pour en parler avec tous ceux qui s'intéressent à ce projet si important pour notre ville.

30/11/2009

l'OIN, suite à la reunion du 28 novembre

La réunion tenue en mairie de Vitry, par le Maire, était intéressante car elle a permis un exposé global des grands projets en cours sur notre Ville.

Toutefois elle doit nécessairement ne pas rester sans suite quant à la question de la conduite de l'OIN (Opération d'intérêt nationale Orly, Rungis, Seine Amont).

Il importe bien que le conseil municipal soit encore plus associé et consulté sur le processus engagé.


Une affluence classique pour une réunion annoncée par de nombreux moyens de communication (plusieurs milliers d'invitations par courrier, affiches dans la ville, supplément au mensuel municipal, plusieurs insertions publicitaires dans le journal le parisien)

Etaient présents, me semble t il, entre 200 et 250 personnes.

 

Des préoccupations fortes à l'égard de la politique imposée par le président de la République.

Etait bien nécessaire la présentation critique des projets gouvernementaux à l'encontre de l'autonomie financière des collectivités locales, et de la libre administration de celles ci.

Pour l'essentiel, je n'ai rien a rajouter à ce qui s'est dit à ce propos et notamment sur le caractère scandaleux du projet de « société du grand Paris ».

 

S'agissant de la place de notre ville au sein de la région parisienne, de l'urgence logement, de l'urgence du développement économique et de l'emploi, le constat était  toujours bien utile.

 

Une réunion vivante grâce aux merveilles de la vidéo-numérique,

a été faite une présentation dynamique des projets de construction de logement et de développement économique  autour des secteurs RN7, ex RN305 sud.

En filigrane, a été évoqué, par des questions récurrentes du public, la difficile question de l'insertion architecturale des programmes de construction.

La rencontre a duré près de 3 heures. La première présentation par le maire, puis par l'adjoint « directement » impliqué ainsi que par un cadre de l'administration communale a duré plus d'une heure ½ . Les questions, interventions du public, et réponse du maire ont été nombreuses et réparties en temps relativement proche entre la salle et la « tribune ».

Aucun autre adjoint au conseiller municipal n'ait intervenu ou n'a été sollicité. C'était une « réunion (publique) du Maire». Elle était ainsi annoncée sur l'essentiel des supports.

 

Pour mémoire, depuis 1992 vitry sur seine  n'a-t-elle pas pris du retard ?

Il me parait nécessaire de faire un retour sur la période 1989 / 1995, j'étais alors conseiller municipal,

En 1992, le gouvernement de gauche de l'époque avait mis en route la révision du schéma directeur de l'Ile de France (le SDRIF).

Je me rappelle combien à l'époque je soulignais que la zone d'activité des bords de seine était sous occupée et surtout insuffisamment dense en terme d'emplois. Cette préoccupation avait été exprimée, à l'époque, par certains à l'occasion de la révision de ce qui était alors appelé le Plan d'occupation de sols. On parle maintenant de Plan Local d'Urbanisme. (PLU).


Déjà le diagnostic était fait,

  • déficit d'emplois par rapport au nombre d'actifs sur notre ville.
  • déficit d'emplois entre l'Est et l'Ouest «francilien»
  • nécessité de concevoir une ligne de transport moderne de rocade (à l'époque ce projet n'intéressait pas grand monde!).

 

Bien entendu, à cette époque des réflexions fantasques et trop futuristes, d'un urbaniste encore à l'œuvre aujourd'hui, avaient en partie pollué le débat. (les plus anciens se rappellerons (à disposition pour en parler plus longuement...).

 

Sur la période 1993/2008, l'emploi (particulièrement l'emploi privé recensé par le GARP) est pratiquement resté stable dans notre ville,  alors même qu'il a progressé avec des taux d'évolution de plus de 50% pour une ville comme IVRY sur seine.

 

 

La réflexion doit s'approfondir sur les travaux engagés par l'EPORSA

 

A ce jour je me dois encore souligner que la réflexion doit bien s'approfondir sur les travaux engagés par l'Etablissement public d'aménagement (E.P.A. O.R.S.A.)

 

J'en ai parlé lors du conseil municipal du 18 novembre dernier.

 

Légitimement, en tant que conseiller municipal je souhaitais une plus grande information du conseil municipal sur les travaux du conseil d'administration du 6 novembre de l'EPORSA et que je souhaitais que les études d'architectes urbanistes soient présentées aux élus pour débat. J'indiquais ainsi qu'il m'apparaissait peu satisfaisant que ce soit par la presse que nous ayons des informations. Le 19 novembre au matin, lendemain du conseil, un quotidien indiquait sur plus d'une demi page des éléments importants de la réflexion d'un architecte missionné par l'EPORSA....

J'avais également demandé que la commission municipale aménagement, ouverte à tous les conseillers municipaux, puisse travailler à ce propos.

 Quand j'ai évoqué l'intérêt d'avoir communication des études (j'ai parlé de 3 études ) il m'a été répondu de manière intérrogative.

Alors effectivement il me paraîtrait intéressant de connaître les trois scénarios annoncés par L'EPORSA, selon le calendrier publié à la rubrique "Etudes et projets" du site de l'EPORSA

 http://www.epa-orsa.fr/

Pour le secteur des ardoines, je cite :

« Les Ardoines, à Vitry-sur-Seine

Au cœur de l'O.I.N., à 4 km en amont de Paris, le secteur des Ardoines accueille près de 9 000 emplois et près de 400 établissements.

En savoir plus sur le secteur et l'étude

à la fin de la note, il est précisé, je cite:

Phase 1 - Diagnostic : décembre 2008 - mars 2009.

Phase 2 - Élaboration de trois scénarios d'aménagement : avril 2009 - juin 2009.

Phase 3 - Approfondissement du scénario retenu : juillet 2009 - septembre 2009.

 

Est il excessif de connaître ces trois scénarios?... s'ils ont bien été étudiés!

 

Il convient de bien prendre en compte ce questionnement légitime de conseillers municipaux quand il s'exprime

 

Notre ville a besoin que les questions soient posées et que le débat soit mené sans relâche au sein des commissions et du conseil municipal pour que la réflexion et l'action au niveau de la ville soient efficaces.

 

Pas de panique, conseiller municipal déjà entre 1989 et 1995, j'étais alors bien questionneur.

De nouveau élu en mars dernier sur la liste « Vitry solidaire  et dynamique», je me dois de poser encore des questions...pour progresser.

C'est une des conditions pour la prise de décision.

En définitive, il y a quelques jours, avant cette réunion du 28 novembre, le scénario Mangin, a été diffusé sous forme de brochure reliée et mise en forme aux conseillers municipaux.

 

Ce « scénario MANGIN » est intéressant, il doit toutefois être débattu.

Mais, déjà quelques questions.

L'étude ne traite pas en profondeur les liaisons entre la zone concernée par les aménagements futurs en bord de seine et le reste de la ville.

Des traversées des emprises sncf non traitée sauf 1 pont aux Ardoines

Les nouveaux quartiers envisagés en  borde de seine seront de fait coupés de la ville. Une seule traversée nouvelle des voies ferrées, au niveau des Ardoines....

 

La couverture des voies Sncf n'est même pas envisagée, sur certains secteurs, alors même qu'elle permettrait une isolation phonique sur certaines zones et générerait un foncier considérable, particulièrement attractif car situé à 2 pas des gares de VITRY et à quelques minutes soit de PARIS soit de l'aéroport d'ORLY par exemple.

 

De manière générale, la densification envisagée autour du secteur des Ardoines est timorée. Il en va de même sur les franges des voies sncf , pour ne pas reparler des espaces situés au dessus de certaines sections des voies Sncf.

Par ailleurs le traitement des bords de seine, au-delà de la création d'un espace vert, est principalement  envisagé comme lieu de débordement de la seine. N'y a-t-il pas des solutions alternatives, le relief des bords de Seine ne varie que de 2 à 3 mètres. Il serait intéressant de disposer d'études croisées pour analyser si une seule localisation doit être retenu. Cela peut permettre une localisation diversifiée de ces espaces ayant fonction de régulation des trop plein d'eau. D'autant qu'il nous a bien été indiqué que la construction d'un métro de rocade générera des apports de terre en quantité.....

 

De manière générale, les travaux de l'équipe MANGIN prévoient une division des espaces encore bien spécialisée à l'extrême.

Les quartiers 100% d'activités sont localisés de telles manières que les nouveaux quartiers d'habitats ou mixtes activités logements, se trouvent coupés des secteurs actuels d'habitats.

En l'espèce les rues Jean Jaurès et Salvador ALLENDE ne sont pas analysées comme un axe majeur structurant  de la ville.

Cette avenue devrait être pensée comme alliant logement et activités.

 

Reste la question majeure du phasage du calendrier de réalisation tant des logements que des opérations facilitant l'arrivée d'emplois sur notre ville.

 

Mes précédentes notes sur l'OIN en ont parlé largement.

Ce ne sont que quelques pistes d'une réflexion qui doit être ouverte.

 La réunion du samedi 28 novembre n'a pas entamé le débat sur ce point.

04/11/2009

L'OIN ORSA, en ce début novembre 2009

 

L'OIN pour VITRY, en ce début novembre 2009, des avancées perceptibles

 mais qui doivent être approfondies....

 

Pour mémoire, lors de mes précédents billets publiés sur le bloc notes électronique, j'avais exprimé des réserves notamment sur le projet stratégique directeur de l'Opération d'Intérêt Nationale au sein de laquelle la commune de VITRY est incluse.

http://pagesperso-orange.fr/epaorsa/PSD-ORSA.html ,  http://www.epa-orsa.fr/

Pour l'essentiel, j'avais alors indiqué les préoccupations suivantes :

1) Que l'OIN permette à notre ville de renverser la tendance en matière d'emplois. L'enjeu étant de combler le  déficit actuel d'emplois sur notre ville au regard de la population active résidente sur notre ville et d'inscrire notre commune dans la dynamique, en matière d'emplois. L'objectif étant que ce ne soit pas simplement les communes d'IVRY et du sud ouest de l'OIN qui accueillent des emplois.

Ainsi, j'indiquais que pour chaque création de logement il conviendrait de prévoir, au minimum deux  emplois si l'on a pour objectif de combler ce déficit d'emplois. 

2) Que le phasage des opérations d'aménagements envisageables soit bien maîtrisé et que ne soit pas pris de retard sur Vitry en raison des délais de règlement des contraintes d'urbanisme conséquences des dépôts pétroliers près de la gare des ardoines. C'est ainsi que j'ai clairement annoncé l'intérêt que le secteur situé au nord de la rue Salvador ALLENDE soit traité rapidement, et spécialement les espaces « mutables » sur des terrains actuellement déjà délaissés par « Réseau Ferré de France ».

3) que la question de l'appareil de formation, notamment post baccalauréat, ne soit pas ignorée

 

A ce jour, je regrette que les 3 scénarios d'études annoncés http://pagesperso-orange.fr/epaorsa/Documents/Etudes_et_p... n'aient pas été présentés.

Il serait intéressant de les connaître, s'ils ont été élaborés.....

Le 6 novembre va se réunir le Conseil d'administration de l'Etablissement Public d'Aménagement, ORSA (EPORSA), en charge de l'Opération d'Intérêt.

Il apparaît clairement que ce conseil d'Administration a pour objectif d'affirmer des « ambitions » et un « projet d'ensemble lisible et partagé par les acteurs de l'EPORSA ».

Cette démarche est pleinement justifiée face au risque de voir l'Etat prendre en main directement des projets d'aménagement structurants. Le projet de création de la société d'économie mixte du grand Paris, est l'expression, de la part de l'Etat, d'une démarche centralisatrice, au mauvais sens du terme,. Il serait inacceptable que l'Etat passe en force sans tenir compte de l'expression des collectivités locales, communes, départements ou régions.

 

Des informations obtenues le 21 octobre dernier, « version au 19 octobre 2009 de l'annexe à la délibération du 6 novembre du conseil d'administration de l'OIN » le conseil d'administration devait délibérer sur une note dont l'intitulé était « les ardoines à Vitry sur Seine, un projet d'ancrage local, d'intérêt métropolitain. Un territoire se transforme, une histoire renaît ».....Dans ce document, il était « annoncé » le principe,  d'un développement générant à terme de l'ordre de 45000 emplois et 13 000 logements, soit un ratio de 3,5 emplois pour un logement. A ce jour je ne mesure pas clairement le périmètre concerné. Cela doit être précisé. Est-ce l'ensemble du périmètre de l'OIN ou est ce celui autour des ardoines, au sens large ?

Ce ratio de 3,5  est toutefois intéressant. Mais, il n'est pas précisé le phasage dans le temps.  C'est un sujet de vigilance. Si les logements sont engagés rapidement  et que les conditions d'accueil d'activité ne sont réunies que bien plus tard, le déficit en terme d'emploi ne fera que se creuser......

Le passage d'un transport en commun, en site propre (sur l'axe Nord Sud) au cœur de la zone reconfigurée est évoqué clairement. C'est intéressant. Ceci, en complément d'une liaison ORBIVAL dont le principe est bien entendu toujours réaffirmé, ainsi qu'une liaison en tramway sur le site propre de l'ex RN 305.

De même, le projet qui devait être présenté le 6 novembre, évoquait clairement l'implantation d'activités dans le domaine des biotechnologies en complément des réalisations en cours sur le site de SANOFI. Cependant la question de l'intégration du campus SANOFI (1500 chercheurs) n'était pas traitée en soi.

Par ailleurs, les projets de documents soumis au conseil d'administration n'évoquaient pas l'intérêt d'une mutation, rapprochée dans le temps, des terrains de Réseau Ferré de France à l'Est de la gare de VITRY.

De même, les projets esquissés paraissaient bien timorés en nombre de franchissement des emprises SNCF.

Enfin, les réflexions sur l'aménagement des bords de Seine s'inscrivaient dans une vision peut être trop « fonctionnaliste », distinguant  de manière rigides des zones d'espaces verts et des zones d'activité ou de logements. Dans les faits les espaces verts situées en bord de seine sont envisagés plus comme étant un lieu d'expansion de la Seine en cas de crue qu'en harmonie avec le quartier devant être structuré.

 

Les réflexions sont également absentes en matière de développement des structures de formation, particulièrement d'enseignement supérieur, sur le territoire de l'OIN. J'avais demandé que ce besoin soit pris en compte dans l'avis émis lors du conseil municipal de juin dernier. Cela n'a pas été retenu dans le document voté par l'assemblée communal. Cette dimension n'apparaît pas  dans le document présenté le 6 novembre au conseil d'administration de l'EPORSA. Et cela quelques soient les discours du conseil consultatif de l'OIN sur le « retour aux populations » des projets d'aménagement.

 

Dans ce contexte, il conviendrait certainement de lancer un concours d'urbanisme pour présenter des scénarios réellement avancés afin de ne pas retarder la nécessaire mutation des secteurs concernés et souligner l'intérêt stratégique du « pôle Seine Amont » au sein duquel se trouve VITRY sur Seine.

Cette affirmation est essentielle pour que notre territoire ne soit pas délaissé au profit du pôle de SACLAY ou de la Défense!

 

Ainsi la réflexion engagée doit bien être approfondie pour répondre aux questionnements ci-dessus.

 

Enfin, la démarche d'association des conseillers municipaux et des vitriots doit être encore perfectionnée.........

 

Le samedi 28 novembre se tiendra, en mairie, une initiative publique pour évoquer notamment l'opération d'intérêt nationale. Le principe en a été annoncé par le Maire.

A ce jour les modalités d'organisation de celle ci ne sont pas connues, au-delà de l'éditorial du Maire dans le bulletin mensuel de la ville pour le mois de novembre 2009.

http://www.mairie-vitry94.fr/accueil/publications/publica...

 

Au minimum, il conviendrait que la commission aménagement urbanisme du conseil municipal, si ce n'est le conseil lui-même, ait connaissance des réflexions de l'EPORSA et soit consultée pour avis au delà de la consultation du conseil municipal intervenue en juin dernier sur le projet de Plan Stratégique Directeur de l'OIN.