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14/05/2014

L'OPH de VITRY soumis à la question par les locataires du quartier BALZAC. L'office rejoint en cela la SEMISE...

Après ceux de la SEMISE, des locataires de l'OPH ne manquent pas d'alerter sur des malfaçons dans la livraison de programmes de logements réalisés ou rénovés dans le cadre de l'ANRU.

Les locataires ont droit à une écoute et à des réponses de la part de l'OPH mais également de l'Etat. Ils sont nombreux à être excédés. Le lien est à retisser. La citoyenneté des locataires doit être reconnue. L'information des conseillers municipaux doit être effective.

Au demeurant les fluctuations sur les quittances ne manquent pas de poser des questions fondamentales.

SEMISE et OPH bailleurs municipaux, responsables de 50 % des logements sociaux de notre ville, doivent être à la hauteur des exigences. Le conseil municipal doit exercer son contrôle au plus près. Toute la clarté doit être faite sur les financements de l'Etat et sur les équilibres financiers de ces bailleurs. La construction de logements neufs doit concilier l'entretien du patrimoine existant. Le suivi des chantiers et la mise en œuvre des garanties doivent être effectifs.

Ci joint un article publié à ce sujet dans le Journal Le PARISIEN de lundi matin.

2014 05 12 le parisien sur OPH VITRY et ANRU 001.jpg

L'article relate une mobilisation de locataires qui ont pétitionné et qui ont entrepris des démarches collectives.

Une mobilisation a eu lieu avant les municipales, des promesses ont été faites alors. Les locataires ne vont pas attendre 6 ans ...pour être peut être écoutés.

 

Par rapport à cet article, je rajouterai que doivent être apportées également des réponses aux demandes d'une gestion adaptée des places de stationnement en souterrain ou en surface. La demande des locataires de se voir dispensés de payer un loyer pour des parkings qui ne sont pas en état d'être utilisés. Il ne faudrait pas que cela se règle devant les tribunaux d'instance!

Enfin, quand les places de stationnement donnent lieu à un quittancement, les locataires doivent pouvoir obtenir la possibilité de renoncer à la location de celles ci comme la loi de luttte contre les exclusions de 1998 en avait ouvert la possibilité. Doivent être levés les raisonnements sur le statut de la SEMISE, afin qu'elle s'engage dans l'application des dispositions qui ouvrent la possibilité de retirer du bail la place de parking, si le locataire le demande.

Pour mémoire un article de 2013...

http://www.humanite.fr/societe/la-renovation-urbaine-un-c...

 

Pour aller plus avant:



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