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Rechercher : conseil consultatif des jeunes

les projets de réseaux de transports ”Grand PARIS” et ”Arc express”, avis du conseil municipal

La note mise en ligne hier n'est pas celle que j'avais finalisée...Je dois la reprendre. Veuillez m'en excuser.

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23/12/2010 | Lien permanent

retour sur un article publié avant le conseil municipal du 17 novembre et sur l'OIN

Au fait, j'avais oublié de mettre en ligne cet article du PARISIEN:

article parisien 17 novembre 2010.JPG

Deux remarques,

1) La journaliste s'est enmélé les pinceaux concernant les perspectives de logements et le nombre d'habitants à prévoir.

Quand il est dit 3 400 nouveaux logements à échéance de 2020, il n'est pas exact de parler de 25 000  nouveaux habitants! Il est par contre raisonnable de prévoir entre 7000 et 10 000 perosnnes dans ces nouveaux logements (entre 2 et 3 occupants par logement).

Les documents, de l'EPA ORSA, parlent de 13 000 logements mais à échéance de 2040.... et non 2020! C'est donc à perspective de 2040 que l'on peut évoquer 25 000 personnes dans les quartiers nouveaux.

2) S'agissant des couvertures de voies de chemen de fer, et quand l'article indique que la ville avance l'idée d'une couverture de certaines voies de chemin de fer,

Il s'agit de propos que je n'ai pas entendu , en ces termes, lors du conseil municipal, de la part du Maire ou de l'adjoint en charge de ce dossier.

En l'espèce il s'agit certainement d'une de mes sugestions mais à priori, pas d'un projet de "la ville".

En séance du conseil, j'ai entendu le maire en parler mais pour des voies (nouvelles?) dédiées à un train à grande vitesse vers la Région centre. Il ne s'agissait pas de pr2voir une couverture ou un enfouissement de certains secteurs afin de permettre une liaison urbaines entre les secteurs coupés par les voies de chemin de fer.

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garanties d'emprunts, pour mémoire, au conseil municipal du 17 novembre, la question des garanties d'emprunt

Je ne vais pas déroger au principe appliqué dans ce bloc notes: ne pas citer de noms de Vitryots.

Lors de la séance du 17 novembre un conseiller municipal a appelé l'attention sur une question portant gaantie de la vile pour un emprunt à contracter par l'Office Public d'Habitat de VITRY (ex OPHLM).

Je ne sais pas si le mensuel municipal en parlera....

Son intervention visait à souligner que cet emprunt, auprès de la banque DEXIA, célèbre pour ses nombreux emprunts dits "toxiques", ne présentait pas toute garantie. Déjà en commission finance il avait demandé des précisions. Celles ci lui ont été fournies par mel. A la vue des explications alors reçues, il a annoncé qu'il ne voterait pas cette garantie. En effet le prêt était indéxé sur différents parametres dont je vous passerait les détails. Certes l'office conservait une capacité d'arbitrage.. mais l'alternative n'était pas prudente!

Je n'ai pas hésité à me joindre à son votre négatif. Déjà il y a de nombrexu mois nous avions demandé des précisions sur un emprunt qui était à taux varaible. Une mise en garde avait été exprimée.

Cette fois ci, j'ai bien relevé qu'il n'était pas acceptable que la note de synthèse soit silencieuse sur les caractéristiques du prêt considéré. D'autant que pour des questions suivantes toutes précisions écrites étaient apportées sur le taux des emprunts garantis.
A la lumière des précisions apportées en séance par ledit conseiller municipal, il était de notre responsabilité de "conseiller" municipal de voter contre cette garantie d'emprunt! Nous avons été deux à voter contre. J'ai pris la précaution de mettre en garde tout interpréation qui viserait à faire dire que ce votre contre serait l'expression d'un obstacle au logement social. De mon point de vue, il s'agit de ne pas fragiliser à terme les finances de l'Office.

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21/11/2010 | Lien permanent

Avant le conseil municipal du 17 /11/2010, et que les réunions de commisssions s'achèvent

Il m'est reproché de faire des notes trop longues. Celle ci ne va pas y déroger.

Cependant, il me parait utile de développer une série de réflexions. Si cela pouvait permettre d'être plus bref lors du prochain conseil! ;-)!

cartographie de synthèse selon etude du 6 novembre 2009 et présentée en commisisons municipales pour le conseil municipal du 17 novembre 2010.jpg

 

 

 

Mise à jour le 14 novembre 2010

A l’ordre du jour du

CONSEIL MUNICIPAL de VITRY sur Seine

le MERCREDI 17 NOVEMBRE 2010

  

Figure la question n° 1 : Opération d’Intérêt National – Approbation du plan guide des Ardoines –contribution du conseil municipal à l’aménagement des secteurs entre deux gares –Centrale et Ardoines –à partir de la prise en compte des attentes et besoins exprimés par les habitants et de la ville » (sic) ».

Au-delà d’une formulation maladroite (attentes et besoins exprimés par les habitants et de la ville). Quelques observations pour faire avancer le débat.

 

I) Sur l’intérêt de ce débat et sur la procédure utilisée

 1) En préalable je tiens à souligner combien notre réflexion collective sur  l’OIN est essentielle pour notre ville.

a) Prévoir, à échéance de 2020, 3400 logements et, à échéance de 2040, 13 000 logements, ce n’est pas anodin pour notre commune.

Il s’agit d’un programme particulièrement ambitieux. Le programme local de l’habitat de 2005 prévoyait déjà 3919 logements à construire (parc privé 53% et social 47%) sur la période 2004/ 2010 et pour des secteurs globalement en dehors du périmètre opérationnel de l’OIN.

Pour mémoire, le « programme local de l’habitat » de notre ville évoque une moyenne de 2,6 personnes par logement. De ce fait, et à titre d’illustration, prévoir 13 000 logements, d’ici 2040, sur le périmètre de l’OIN, c’est se poser la question d’un quartier de plus de 25 000 habitants (avec une hypothèse très basse de 2 personnes par logement)! Bien entendu ces logements ont vocation à répondre, pour partie,  aux 5000 demandes de logements recensées à ce jour sur VITRY. Au demeurant ces demandes de logement concernent pour une grande part des personnes qui habitent déjà notre ville. De ce fait, il n’y aura pas nécessairement accroissement de la population totale de notre ville à hauteur de 25000 personnes supplémentaires…. Cependant, il convient bien d’avoir des ordres de grandeur.

Parler d’un tel programme de construction de logements n’est donc pas banal ! Pour mémoire, en 2007, notre ville accueillait 34 353 logements. De ce fait Vitry augmenterait d’un tiers son nombre de logements.

Enfin, il faut avoir à l’esprit que le territoire concerné s’étend sur 300 hectares soit également un tiers de la surface de la ville (1170 hectares).

 http://www.statistiques-locales.insee.fr/Fiches/RS/DEP/94/COM/RS_COM94081.pdf

b) Simultanément les perspectives d’implantation d’emplois devraient être stratégiques notamment pour combler le déficit d’emplois dont souffre notre ville.

Trop de vitryots sont contraints d’aller travailler à PARIS ou dans l’Ouest Parisien. Ce déficit d’emploi est mesuré au regard de la population active (56 191 actifs)

 Selon les statistiques de l’Insee, Vitry dispose de 66 emplois pour 100 actifs (demandeurs d’emploi inclus). Ce ratio est particulièrement bas sur VITRY. Il est de 76 pour 100 au sein de l’ensemble du Val de Marne.

 

Cette réalité est bien mesurée depuis des décennies par les successifs schémas directeurs de la région d’Ile de France.

Déjà en 1994 avec le SDRIF de la région Ile de France (SDRIF 1994), autour du territoire appelé Seine Amont, les diagnostics étaient posés, l’intérêt d’un développement du territoire avait été exprimé. Les esquisses d’un métro inter-banlieues appelé alors « ORBITAL » avaient été dessinées. Que de temps passé. Nos communes n’avaient pas été alors intéressées par ces orientations.

http://www.ile-de-france.equipement.gouv.fr/article.php3?id_article=209

A la fin de cette note je soulignerais que sur la période 2010 2020, s’orienter vers l’accueil de moins de 3000 emplois supplémentaires sur ce secteur de l’OIN, c’est nettement insuffisant en considération du déficit d’emplois sur Vitry sur Seine, au regard du nombre d’actifs.  

c) Enfin, la question de l’aménagement à venir de l’espace situé entre voies de chemin de fer et la Seine, doit nécessairement être pensé en harmonie avec les autres quartiers situés « de l’autre coté des voies de chemin de fer ».

 J’ai déjà largement développé cette question et j’y reviendrais, pour mémoire, dans la présente note. Il faut que les quartiers se développent sans coupure urbaine et en synergie.

 

 2) sur quoi devons nous nous prononcer lors du conseil municipal du 17 novembre 2010? A ce jour il nous est demandé d’approuver un « plan guide » et pas seulement ses principes (C.f. l’intitulé de la question dans l’ordre du jour).

Il pouvait sembler que le plan guide était le livre à couverture orange qui a été diffusé largement en novembre 2009 et  adressé à nouveau aux conseillers municipaux, préalablement à la séance du 17 novembre prochain. Les conseillers municipaux disposent, depuis la convocation au conseil, (documents remis lors des commissions), de la délibération du 6 novembre 2009 du CA de l’EPA ORSA et de son annexe (note d’étape) que j’appellerais en ce qui me concerne « plan guide ». 

Il est franchement difficile de s’y retrouver d’autant que les considérants du projet de délibération ne clarifient pas la question…. J’y reviendrais dans le II) de cette note.

 

3)  L’inscription bien tardive (avec un an de recul) de cette question aux débats du conseil municipal est une erreur de méthode. Elle est significative d’une attitude qui met le conseil municipal en position effacée.

 Réunir le conseil municipal, pour qu’il se prononce, avec un an de recul, à peine un mois avant une  réunion du conseil d’administration de l’EPA ORSA au cours de laquelle il va se prononcer sur un nouveau document (plan guide consolidé ?), c’est digne du lièvre et de la tortue.

Je me dois d’exprimer cela  alors même que depuis le début 2010, je sollicite une consultation des conseillers municipaux sur cette question.

Cette situation a généré des réunions successives de commissions dans les 15 derniers jours alors même que pendant un an aucun débat n’a été organisé entre les conseillers municipaux. Et que l’on ne m’oppose pas le travail des services de la ville ou de l’EPA ORSA. Il n’était pas interdit de mener ces 2 travaux en temps « masqué ». C'est-à-dire en même temps. Le conseil municipal ne doit pas être une chambre d’enregistrement.

 Voici la carte de synthèse, largement évoquée en commisions municipales, selon la note du CA de l'EPA ORSA du 6 novembre 2010.

cartographie de synthèse selon etude du 6 novembre 2009 et présentée en commisisons municipales pour le conseil municipal du 17 novembre 2010.jpg

 

II) Venons en à l’état des réflexions alors que toutes les commissions municipales se sont réunies sauf une. Elle est prévue pour le lundi 15 novembre.

 1°) L’intitulé de la délibération doit être précisé ou la note de synthèse doit être modifiée dans sa conclusion. Les visas et le considérant doivent certainement être rectifiés.

Vous trouverez, en pièces annexes, les propositions de modification du projet de délibération, tel qu’il était au 10 novembre 2010 ainsi que le projet de délibération lui-même en 2 parties. Ce sont les documents que j’ai remis mercredi 10 novembre au soir en commission aménagement pour faciliter les débats du conseil…

voici donc les propositions que j'ai remises en commision mercredi 10 novembre au soir

propositions au 10 novembre pour le Conseil du 17 novembre 2010.pdf

les developpements suivants sont redigés sur cette base et de manière plus lisible...

La clarté voudrait que le « considérant » fasse référence au document qui a été annexé à la délibération, du Conseil d’administration de l’EPA ORSA du 6 novembre 2009. Tel est bien, de mon point de vue, le document qui doit s’appeler « Plan Guide ». ceci au lieu de faire référence, au vu de l’intitulé,  à la brochure « Orange » 1ère partie projet de délibératiob selon version du 10 novembre pour sance du 17 novembre 2010.JPG

Enfin, il ne paraît pas opportun d’approuver le plan guide en l’état. De ce fait, au minimum l’intitulé de l’objet doit être modifié en indiquant que la question est celle d’approuver « les principes du plan guide » et les sujets à approfondire de la délibération du Conseil d’Administration de l’EPA ORSA en date du 6 novembre 2009 »

 

2°) Des rectifications, de mon point de vue, devraient être apportées sur le « corps » de la délibération.

 Celles-ci concernent l’article 3 du projet de délibération.

Article 3- 1.JPG

a) 1ère proposition, elle a pour objectif de préciser que la consultation du conseil doit être plus régulière sur l’évolution des réflexions et actions menées par l’EPA ORSA. Etre consulté un an après la délibération du CA de l’EPA ORSA du 9 novembre 2009, c’est inapproprié. Est il possible que cela ne se reproduise pas ?

 b) 2ème proposition, elle vise à clairement affirmer  les forces marquantes de l’activité économique de notre ville.

La ville doit exprimer la volonté de prise en compte de 4 aspects majeurs de son activité économique. Il s’agit des domaines relevant de l’énergie, des matériaux, de la chimie et de la bio-chimie ainsi que des transports ». ce sont des activités bien implantée et qui sont porteuses d’avenir pour le territoire et le Val de Marne.  

c) 3ème proposition, elle vise à souligner la responsabilité de l’ETAT afin que le territoire concerné se développe notamment en matière « d’offre » d’enseignement secondaire et supérieur.

« Il convient de créer les conditions pour que l’enseignement supérieur se développe réellement sur la ville. L’Etat doit clairement annoncer un plan stratégique de développement de l’offre de formation publique tant pour l’enseignement secondaire que supérieur ». Une ville ne se limite pas à des logements et si possible des emplois. C’est également la présence de services publics et notamment ceux relevant de la responsabilité de l’Etat.

 d) 4ème proposition, elle souligne que les réflexions contenues dans le plan guide ne répondent pas à l’obligation de prévoir une meilleure communication entre le secteur opérationnel de l’OIN et les autres secteurs de la ville. Il s’agit ainsi de d’augmenter nettement le nombre de franchissements des voies ferrées (ainsi que de la Seine !). Et cela doit être prévu au-delà de ce que le plan guide l’envisage.

art 3- 2.jpg

 e) 5ème proposition, Dans le prolongement de la remarque précédente il est demandé que la question d’un tracé souterrain de la ligne C, en totalité ou partiellement, ou au minimum la couverture de certaines parties des voies SNCF soit assurée. Au demeurant cette démarche, au-delà d’une meilleure insertion environnementale, d’un règlement de la question des franchissements, aurait pour atout de dégager du foncier qui permettrait des réalisations d’une ampleur adaptée au site, particulièrement à proximité de la rue ALLENDE et de la gare des Ardoines. Dans un premier temps j’évoquais la question de la couverture. Mais à entendre les échanges intervenus dans une commission, je conviens que cette question de l’enterrement du RER C ne doit pas être éludée. Elle doit être clairement évoquée. Ceci même si une réponse globale n’est certainement pas possible dans des délais brefs. Qui dit enfouissement ou couverture ouvre des perspectives environnementales et des aménagements d’une autre dimension.

 f) 6ème proposition, Il s’agit d’intégrer dans la délibération, l’exigence de réflexion sur le recours à la Géothermie.

 g) 7ème proposition. Elle demande que le scénario des paliers en bord de seine soit soumis largement à la critique, comme cela est dit dans le projet de délibération mais surtout que sans attendre, des alternatives soient réfléchies et présentées publiquement.

art 3- 3.jpg

 Ainsi il est proposé  d’introduire l’idée qu’« au-delà de l’hypothèse d’une création de paliers et d’espaces verts en bordure de Seine, il conviendrait que d’autres hypothèses soient étudiées avant toute décision d’orientation ».

h) 8ème proposition. Cette proposition est pleinement justifiée par le fait que les cartographies de l’étude Mangin prévoient des zonages qui envisagent des secteurs de logements situés dans des secteurs coupés des autres quartiers d’habitation  par des zones exclusivement d’activité….

cartographie détaillée selon étude du 6 novembre 2009.jpg

 

Ainsi il est proposé que, « De manière générale, il convient que les quartiers nouveaux prévoient au maximum une mixité entre les logements et les activités, dès lors qu’elles ne génèrent pas de nuisances avérées.

De même, il importe que les logements sociaux et leurs proportions dans les programmes neufs, concernent clairement des opérations relevant de l’habitat social public.

La mixité fonctionnelle et sociale doit, autant que possible, être pensée dans la conception même des bâtiments à venir.

 

 

 

Enfin il est positif que le caractère opérationel de l’OIN soit annoncé comme s’accélérant, en cette fin d’année 2010, sur les secteurs Nord et Sud du territoire de l’OIN à VITRY.

Il est bon que nous ayons la perspective, dès décembre 2010, d’une délibération réglementaire sur des périmètres de ZAC et des concertations publiques.

Par contre, il est préoccupant que dans la phase 20011 -2020, les conditions d’implantation d’activités générant des emplois ne soient pas programmées. Une perspective de 3400 ou 3500 logements est annoncée mais, est envisagé  l’accueil de seulement 2700 nouveaux emplois sur cette même période 2010 – 2020 !

Cette orientation ne permet pas d’envisager un comblement du déficit d’emplois sur notre Ville.

Je me dois de redire une nouvelle fois, au risque de « radoter » que l’OIN ne doit pas signifier pour les 10 prochaines années, que Vitry soit, de fait, isolée dans le  légitime effort de construction de logements sociaux au sein du Val de Marne et que l’emploi se concentre par contre sur d’autres communes de l’OIN, du Val de Marne ou de l’Ile de France.

C’est un enjeu d’aménagement du territoire mais également un défi pour assurer la diversification de nos recettes fiscales dans le contexte d’une politique réactionnaire en matière de logement social, de remise en cause de la libre administration communale et de finances locales.

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14/11/2010 | Lien permanent

Collecte pneumatique des déchats, le conseil municipal à voté pour moins 3 contres et 1 abstention....

.

Les objections formulées n'ont pas été entendues.

A part les réserves formulées par les 2 élus de "VAGUES" (ils ont voté également contre ce projet), les autres "groupes" ont considéré que le projet était satisfaisant.

J'ai été impressionné par la fierté annoncée que VITRY soit "innovante".

Est ce sur ce terrain de l'innovation technique dans un domaine non stabilisé, et pour des conditions fiancières lourdes que nous devons être fiers? 

La question de l'organisationd de la colecte pouvait trè sbien être traitée de manière efficace avec un coût moindre.

A la fin des échanges parfois assez vifs, j'ai exprimé "le souhait, que dans l'intérêt de notre ville, les réserves formulées ne se révèlent pas justifiées".

Voici le texte qui a servi de support à mon intervention:

 

CONSEIL MUNICIPAL DU MERCREDI 22 JUIN 2011

INTERVENTION SUR

 

LA COLLECTE PNEUMATIQUE DES DECHETS

 

 

Monsieur le Maire, cher(e)s Collègues,

 

Il nous est demandé, ce soir, d’autoriser M. le Maire de signer le marché de conception-réalisation d’un ouvrage de collecte pneumatique des déchets ménagers.

 

Mes interventions, lors des conseils municipaux précédents, et notamment à l’occasion du budget 2011, mes tribunes libres ainsi que diverses notes que j’ai publiées font que vous ne vous étonnerez pas  si je développe, ce soir, des réserves.

 

Ces réserves ne sont pas une opposition de principe à la technologie présentée. Elles sont l’expression d’une exigence : celle de prendre un peu plus de temps avant de s’engager éventuellement dans un investissement majeur.

 

En effet, il s’agit d’un investissement de 25 Millions d’Euros et même 31 Millions si la tranche conditionnelle est réalisée. Si j’ai bien compris, cette tranche conditionnelle sera réalisée.

En effet, l’hypothétique équilibre financier de ce projet repose sur une desserte d’un maximum de logements (10 000).

 

Il importe de réfléchir à 2 fois au regard de l’importance financière de ce projet

(pour mémoire),

·       une nouvelle piscine coûtera 21 Millions d’Euros,

·       une nouvelle école entre 10 et 13 Millions.

·       L’actuel programme d’optimisation de la consommation d’énergie dans les bâtiments municipaux est de 450 000 Euros par an et nécessiterait d’être doublé.

 

Par ailleurs le projet qui nous est proposé nécessite d’être mieux comparé à d’autres solutions.

 

Nous sommes face à une compétition particulièrement vive entre Véolia-Generis-Envac, d’une part, et Suez-Sita-Ros-Roca, d’autre part. Le premier de ces groupements est présent à Issy-Les-Moulineaux et Romainville, le second serait donc sur le point de remporter un marché avec notre ville.

 

A cet égard, il est surprenant, alors même que 2 grands groupes soient sur le marché, que nous passions ainsi à un marché négocié.

 N’aurait-il pas été préférable, dès lors que le premier appel d'offre était infructueux,  de mieux définir à nouveau les besoins et de relancer un appel d’offres avec des variantes ?

Cela aurait permis à notre conseil de se prononcer avec plus grande connaissance de cause.

 

En effet, je relève qu’à Issy-les-Moulineaux, c’est une technologie d'une autre ampleur qui est proposée. Elle est qualifiée par Véolia dans une publicité parue dans le journal « L’élu d’aujourd’hui » de collecte pneumatique par système d’aspiration mobile de 3ème génération. Dans ce dispositif, il y a toujours un système de canalisations. cependant celles ci ne vont pas jusqu'à une centrale de d'aspiration et de compactage. Il n’y a plus de centrales (faisant fonction d’aspirateurs et de compacteurs). Ce sont des camions de collecte par aspiration mobile qui se dirigent vers quelques lieux définis. La solution proposée à ISSY les MOULINEAUX est deux  fois moins cher en investissement. Est elle économe en fonctionnement? Je ne sais pas. Mais, la question est posée.

 

Je ne sais pas si cette technologie est réellement préférable, cependant il conviendrait bien que la mise en concurrence soit complète.

 

Au regard des investissements qui ne sont pas de la même ampleur, la question mérite d’être posée.

 

De plus, au-delà de l’intérêt ou non sur le plan environnemental d’une collecte pneumatique, l’avis de l’Ademe serait bien utile.

 

Si le projet de Romainville semble avoir été largement subventionné, le notre fait grandement appel aux emprunts. Là encore, le temps de la réflexion est nécessaire.

 

Pour terminer, et je serais bref sur ce point, l’équilibre financier de ce projet n’est pas établi.

Les chiffres que je vais évoquer sont ceux communiqué en séance de la commission environnement. Les éléments ne nous ont pas été diffusés auparavant. Cela est bien un obstacle à un temps nécessaire d'analyse.

 

Ainsi, il nous est annoncé que pour les quartiers concernés, à ce jour, le coût annuel à la charge de la ville, selon le dispositif en vigueur actuellement, serait  de 370 000 Euros.

 

A ce stade il conviendrait que le montant de 370 000 Euros soit  comparé avec le coût de la collecte sur l’ensemble de la ville. A noter qu'à ce jour collecte et traitement des ordures représentent 7 500 000  € par an.

Au compte administratif 2010, ce sont 7 500 000€ de dépenses de fonctionnement qui sont consacrés à la collecte et au traitement des ordures ménagères. Je suppose que ce décompte est exhaustif.

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23/06/2011 | Lien permanent

;-) ouf, j'ai retrouvé et tout seul....le groupe CRC du conseil municipal, le lien a changé mais pas sur le site de la s

http://groupecrc-vitry.over-blog.com/

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21/02/2010 | Lien permanent

L'OIN, passera t elle à coté du conseil municipal et à coté de VITRY?

L’opération d’intérêt national Orly-Rungis–Seine Amont (O.I.N. ORSA) a été créée par décrets du 10 Image2.jpgmai 2007, et le "Projet stratégique directeur" a été adopté en avril 2009 

http://www.epa-orsa.fr/

 Pour le secteur de Vitry les ardoines il nous avait été annoncé la méthode et le calendrier suivant:

http://195.200.78.127/Les_Ardoines_E&P.html

 Tout d'abord, rappelons la réalisation d'études

Une étude de Schéma de principe était programée. Deux autres études étaient annoncées sur ce secteur : l’une sur les scénarios d’évolution des dépôts pétroliers, l’autre sur le Pôle filières innovantes, notamment en matière d’activités de biotechnologie.

L’étude principale a été confiée à David Mangin, architecte-urbaniste, (Grand Prix de l’urbanisme 2009) dans le cadre d’une équipe pluridisciplinaire. Urbaniste : SEURA, David Mangin/ Programmiste : Polyprogramme / Paysagiste : Philippe Raguin / Économiste : SCB Économie / BET Hydraulique : Safege.

 le calendrier  annoncé était le suivant:

 Phase 1 – Diagnostic : décembre 2008 – mars 2009.

Phase 2 – Élaboration de trois scénarios d’aménagement : avril 2009 – juin 2009.

 Phase 3 – Approfondissement du scénario retenu : juillet 2009 – septembre 2009.

Le conseil municipal n'a pas eu le début d'une information sur les scénaris annoncés au cours de ces phases. Les conseillers municipaux ont découvert, lors d'une présentaion incidente en réunion publique pilotée par le Maire, un document qui n'a pas fait l'objet de discussion en conseil municipal. ce même document a été largement distribué en réunions d'assemblées générales de quartier sans même que le statut du document ne soit bien clair.

http://195.200.78.127/Documents/Les_Ardoines.pdf

Image3.jpgDans un numéro spécial du journal "Val de Marne infos", à l'occasion de la publication du guide de l'immobilier d'entreprise en val de marne (juin 2010), en page 3, il est dit que la ville et l'établissement public d'aménagement ont confié à David MANGIN de l'agence SEURA, la réalisation d'un plan guide, qui synthétise l'ensemble des réflexions menées et les traduit en grandes orientations d'aménagement. Il est indiqué que ce document a été approuvé, en début d'année, par l'ensemble du conseil d'administration de l'EPA.

Quelle stupéfaction de découvrir le staut annoncé de ce document

publié en novembre 2009

et qui n'a donc fait l'objet d'aucun débat en conseil municipal

Erreur de rédaction, imprécision journalistique? Le statut de ce document doit être précisé.
Au demeurant une bonne partie de son contenu est insatisfaisant.

diaporama suite reunion du 14 avril 2010.ppt Voici un diaporama qui reprend quelques éléments d'analyse, pour le débat, sur cette étude MANGIN...

 

 

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02/07/2010 | Lien permanent

Jour de grève, lendemain de conseil muniicpal et mobilisation pour le service public de l'eau

jour de grève et de manifestation.
Au delà de l'appel à la grève, moment de mobilisation stratégique, le nombre d emanifestant va être déterminant dans la bataille maintenant bien engagée.

lendemain de conseil municipal,

que de choses à dire sur les réactions de riverains de la rue CRETTE, qui émettent des réserves à l'encontre du projet de structure d'hébergement, porté par l'Abej Diaconie. ce projet vise à offrir un accaueil adpaté et moderne à des personnes sans domicile. J'y reviendrais. Chacun doit être entendu. cependant , il va de la responsabilité nationale mais également locale de favoriser ces lieux. trop souvent s'expriment dans telle ou telle commune des oppositions pour soit une maison d'accueil d'handicapés ou mêm de personnes agées. alors là refuser près de chez soi un lieu d'accueil de personnes sans domicile? cela laisse perplexe. Il faut en tout cas être vigilant à l'encontre des  arguments avancés par les opposants... les dérapages sont là.

quant au débat sur l'eau, voici de la lecture:

2010 06 24 Communiqué PG-SEDIF-24 juin 010.pdf

déclaration groupe élus.pdf

2010 06 24delibSedif[1].pdf

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24/06/2010 | Lien permanent

Prochain conseil municipal, mercredi 26 mai à l'ordre du jour:

Voici quelques questions qui me paraissent devoir être signalées. L'ordre du jour est, en totalité, sur le site internet de la ville:

http://www.mairie-vitry94.fr/fileadmin/vitry-sur-seine/ME...

IMGP1028.JPGA signaler les questions suivantes :

410 – DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT URBAIN

3 Assistance à maîtrise d’ouvrage pour les modifications et la révision du PLU – autorisation à Monsieur le Maire de

signer le marché à passer avec la société GEOMAP pour le lot n°2 « intégration des données graphiques dans le

système d’information géographique »

 

4 Résidence d’accueil 38/42, rue La Bruyère :

- Garantie communale à l’Association « LES AMIS DE L’ATELIER » pour deux prêts contractés auprès de la Caisse des dépôts et consignations d’un montant total de 919 240 euros en vue de la construction de 13 logements destinés à des personnes handicapées

5 – et Convention y afférent

 

6 Opération programmée de l’habitat (OPAH) Port à l’Anglais-gare – Avenant n°3 à la convention passée avec

l’ETAT et l’ANAH (Agence nationale de l’habitat)

 

Contreparties de financement de la Ville en faveur du logement social :

 

7 - Avenant n°3 au règlement de l’aide municipale à l’amélioration du cadre de vie (AMAC)

 

8 - Approbation du règlement sur les contreparties de versement de la surcharge foncière

 

9 - Avenants n°1 aux conventions de prise en charge de la surcharge foncière passées avec l’OPH de Vitry pour les opérations Champollion, Champs fleuris, Les traverses du Coteau, Les sentes du Coteau, Lagaisse, Lit de Seine

 

Plan local de l’habitat (PLH)

10 - Garantie communale à l’OPH de Vitry pour un emprunt contracté auprès de la Caisse des dépôts et consignations d’un montant de 1 759 067 euros en vue de l’aménagement des espaces extérieurs des groupes Mario Capra, Rouget de Lisle et Commune de Paris

11 - Convention y afférent

 

Programme local de l’habitat (PLH):

14 - Garantie communale à l’OPH de Vitry pour un emprunt contracté auprès de la Caisse des dépôts et consignations d’un montant de 159 000 euros en vue de la résidentialisation du groupe « Clos Langlois »

15 - Convention y afférent

 

Opération d’intérêt national Orly-Rungis-Seine Amont :

19 - Convention de partenariat à passer avec la CHAMBRE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE PARIS VAL-DE-MARNE dans le cadre du programme « Plato Orly-Rungis-Seine Amont »

 

20 - Désignation d’un représentant au comité de pilotage dudit programme

 

23 Convention de partenariat à passer avec l’Union nationale de l’apiculture française (UNAF) dans le cadre du programme « l’abeille, sentinelle de l’environnement »

 

430 – DIRECTION VOIRIE – ENVIRONNEMENT

 

27 Avis du Conseil sur la demande d’autorisation déposée par le Syndicat Interdépartemental de l’assainissement

de l’agglomération parisienne (SIAAP), dite « projet MINOVA », en vue de la mise aux normes prévues par la

directive sur les eaux résiduaires urbaines (DERU) de la station d’épuration Seine amont à Valenton – Val pompadour

 

29 Avis du Conseil sur la demande d’adhésion au Syndicat des eaux d’Ile de France (SEDIF) des communes de Boulogne Billancourt, Sèvres et de la communauté d’agglomération de Versailles Grand Parc

 

510 – DIRECTION DES SERVICES SOCIO-ÉDUCATIFS

30 Annexe n°37 à la convention passée avec l’association Vacances Voyages Loisirs (V.V.L.) pour l’organisation de

séjours

 

31 Avenants n°1 aux conventions d’objectif et de financement passées avec la Caisse d’allocations familiales du Val de Marne relatives à la prestation de service des accueils de loisirs sans hébergement adolescent, élémentaire et maternel

35 Demande de subvention auprès de la REGION ILE-DEFRANCE pour la construction de deux crèches dans le quartier Balzac

 

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24/05/2010 | Lien permanent

Conseil du 18 decembre, un lapsus dans le compte rendu effectué par Alain Audoubert, sur son bloc notes

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je me dois de vous signaler un lapsus, dans le compte rendu du débat du conseil municipal du 18 décembre, au sein du bloc note d'Alain Audoubert.
il est probable que le rédacteur ait confondu "à la majorité " et "à l'unanimité.....". Il faut dire que des habitudes existent........


http://www.alainaudoubert.com/article-25958807.html

Voici ce qui est dit sur ce site à 12h le samedi 20 decembre:

Les représentants de 143 communes, dont Vitry, au SEDIF (syndicat des eaux d’Ile de France) ne partagent pas tous, comme les conseils municipaux des villes, la méthode et les choix opérés. Beaucoup l’ont dit, certains ont voté contre le choix du comité syndical pour une délégation en régie intéressée lors du prochain renouvellement de la convention de délégation qui interviendra en 2011. Nombreux sont ceux qui n’ont pas apprécié la précipitation du Président du SEDIF (ministre de M. Sarkozy par ailleurs) à faire entériner cette décision d’une régie intéressée.

Un large débat, à Vitry comme ailleurs, a permis de faire le point sur la question essentielle de l’approvisionnement en eau, de sa qualité et de sa sécurité et bien sûr de son prix payé par l’usager. Le cycle de l’eau potable en Ile de France, hors Paris, est complexe et à un coût : cette eau est fabriquée et d’une grande qualité. Mais, c’est là où le bat blesse, en ce qui concerne notamment le SEDIF, il est aujourd’hui impératif qu’une meilleure maîtrise publique s’exerce au regard de l’opacité des activités du délégataire privé, en l’occurrence l’un des grands groupes internationaux en situation de monopole. Ainsi, Veolia, réalise et c’est indéniable, des profits conséquents à partir d’un bien commun qu’on ne peut considérer comme une simple marchandise : l’eau pour tous.


Face à cela, il ne s’agit pas de baisser les bras et de se contenter d’une telle gestion de ce bien mais de poursuivre afin qu’une réelle maîtrise publique de tout le cycle de l’eau soit engagée. C’est pour cette raison que, lors des débats autour du rapport annuel du prix et de la qualité de l’eau et du rapport sur l’assainissement, j’ai tenu à préciser, et d’autres avec moi, que les éléments en notre possession ne présageaient pas d’un abandon de cette volonté d’une meilleure maîtrise publique. L’intention est de parvenir à une gestion publique directe à terme, en s’en donnant les moyens, les compétences, et qui se substituerait à la régie intéressée.


En ce sens, une délibération précise a été proposée en conseil municipal le 17 décembre et votée* à l’unanimité permettant clairement d’exprimer des remarques fondées et des réserves vis à vis du SEDIF :


- Il est nécessaire que la sécurité de l’approvisionnement et la qualité de l’eau soient impérativement garantis mais il est regrettable que le SEDIF ne soit pas doté de l’ensemble des moyens de contrôle de l’entreprise délégataire jusqu’à présent,

- il est nécessaire que le SEDIF clarifie le prix constitutif de l’eau avant la taxation en explicitant l’ensemble des charges et des rémunérations de l’entreprise délégataire et de ses sous-traitants, ce qui devrait se traduire par une baisse du tarif brut de l’eau,

- le vote du comité du SEDIF en date du 11 décembre 2008 ne clôt pas le débat. Le cycle de l’eau dans sons ensemble nécessite une revalorisation de sa gestion publique.


- Celle-ci doit faire l’objet d’un examen approfondi des hypothèses de gestion comprenant les conditions de passage en régie directe. L’ensemble des études, des communications, des informations doivent être transmises aux élus et participer du débat public.


Le débat doit continuer dans la clarté avec les citoyens et leurs élus. La question est trop sérieuse pour laisser place à la polémique et aux tactiques politiciennes. Pour ma part je suis pour une Agence Nationale de l’eau permettant une gestion et une maîtrise publique décentralisées. De même, je pense que dans un proche avenir il faudra mutualiser cette gestion en Ile-de-France avec Paris. Nous y reviendrons.


* 34 voix pour, 15 voix contre

Fin d ecitation.....

De ce fait j'ai publié le commentaire suivant.....
Monsieur, le Maire,

Je vous sais tout particulièrement attentif au bon usage des motsC'est pourquoin, je dois vous signaler que votre compte rendu évoque un vote à l'unanimité tout en précisant par un astérisque un vote avec 34 pour et 15 contre.... Il s'agit donc et classiquement, d'un vote à la majorité.
;-)
respectueusement,

Pour mémoire ma prise de position... exposée au sein du conseil

Le 14 décembre 2008

Communiqué de Bertrand POTIER,
Maire adjoint (non inscrit) de VITRY sur Seine


Après le vote du conseil syndical du SEDIF du 11 décembre, il apparaît clairement que des élus n'ont pas donné suite à l’espoir d'une gestion en régie directe du service public de l’eau sur le territoire du SEDIF. Des élus, notamment de gauche, se sont laissés impressionner par un chantage pseudo technique. Ce que PARIS a fait, les 143 communes du SEDIF ne seraient pas capable de l'appliquer, (une régie directe) au sein de ce syndicat?

Le débat politique doit se poursuivre, les élus doivent indiquer ce qu'ils ont voté. Ils n'ont pas de mandat impératif, ils peuvent se tromper, ils doivent être libres et respectés, mais, ils doivent s'expliquer et travailler en transparence.

L'action politique, évoquée ci dessus, doit être poursuivie. Mais, à ce jour, il convient d’étudier si « l'arme » juridique, est possible, pour remettre en cause le vote du 11 décembre et imposer un nouveau vote, dans la transparence politique!

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20/12/2008 | Lien permanent

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