Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : conseil consultatif des jeunes

Tribune à paraître dans le mensuel municipal de juillet août 2013

Les exigences de Citoyenneté...

et d'emplois, n'ont pas de limite.

 

Les lecteurs du blog que je tiens, savent combien, dans notre ville, les péripéties du conseil consultatif de la jeunesse sont à l'image d'une pratique politique ancienne et sclérosée. La dernière séance de cette instance, début juin, a certes permis que soit enfin évoqué le fonctionnement de ce conseil. Mais, aucune place n'a été réservée à l'organisation d'une réflexion collective avec des alternatives.

 

De même, au sein des conseils de quartier ou au sein des commissions municipales, trop souvent les réunions se soldent par des présentations de dossiers ficelés sans débat avec exposé des alternatives.

Se multiplient les expositions au sein de la maison des projets. Bilan devra être fait de ces animations qui ne laissent pas place à l'expression des débats du conseil municipal. Il en va de même du site internet.

 

Nous avons eu une exposition sur la collecte pneumatique au cours de laquelle il était expliqué qu'il suffisait de trier et de jeter dans une bouche d'aspiration pour nous "faire croire" que tout était simple et réglé. Silence sur les critiques notamment budgétaires.

Et maintenant, une exposition sur les réflexions des architectes pour les ZAC de l'OIN. Silence sur les nombreux questionnements et réserves.

 

Quant au Contrat de développement territorial, il a été validé en Mai par le maire, avec l'Etat, avant même la présentation en conseil municipal fin juin. A l'horizon 2040, il annonce 13000 logements et 45000 emplois. Pour 15 ans, terme du contrat, l'objectif en logements est fixé avec précision. Par contre aucune programmation et étalement pour l'accueil d'emplois d'ici 2040, soit d'ici 27 ans...

 

Le "Schéma directeur de la région d'Ile de France" et le "Contrat de développement territorial" ne doivent pas enfermer notre territoire et les quartiers dans une spécialisation d'accueil de logements.

 

Ville résidentielle (ville  dortoir) ou non ? Telle est l'une des questions!

 

 

Lire la suite

23/06/2013 | Lien permanent

Tribune pour le mensuel de novembre...

Vous vous souvenez que sur ce blog j'avais dénoncé le coup de ciseaux qui faisait disparaitre, de la tribune, la référence à ce blog.

http://bertrandpotier.hautetfort.com/archive/2013/10/06/t...

 


Je viens d'avoir une réponse d'explication. Celle ci ne me satisfait pas.

En attendant , je prends un moyen détourné pour évoqué ce blog. N'hésitez pas à le faire connaitre à vos proches.

A suivre, mais il y a tant à faire.

Alors, ci dessous, en avant première, la tribune pour le mensuel de novembre.

 

Le quotidien du dimanche,

 

 

Le conseil municipal du 9 octobre était particulièrement animé. Nous avions à nous prononcer sur un avis consultatif avant décision préfectorale d’autorisation d’ouverture le dimanche d’une enseigne de la distribution à VITRY. Comme je l’ai déjà expliqué sur mon bloc note électronique (blog), J’ai clairement voté contre  l’avis favorable qui nous était proposé par le Maire. Nous étions 4 conseillers à adopter cette position.

 

Elu municipal nous devons, dans l’intérêt général, savoir parfois prendre du recul vis à vis d’intérêts particuliers tout à fait respectables.  Bien entendu, la nécessité d’assurer des revenus est une préoccupation fondamentale. Déterminer les activités essentielles qui peuvent justifier un travail le dimanche, relève de la responsabilité des parlementaires.

 

Elus municipaux, à la question posée, la réponse devait être claire et négative.

 

Autre sujet, nous avons eu à nous prononcer sur le lancement d’études préalables à une éventuelle opération de rénovation urbaine en centre-ville et dans une partie du « grand ensemble Ouest ». Au-delà de périmètres bien trop étriqués, la question posée était de savoir si la SEMISE était bien placée pour être observatrice alors même que l’étude devra porter sur « son » patrimoine. Je me suis opposé au choix de la commission d’appel d’offre. Plutôt qu’opposé, je dirai que ma proposition était d’exclure les structures impliquées dans la problématique.

 

Suite à la question pertinente d’une conseillère municipale sur les indemnités de fin de contrat de l’ancien directeur de la SEMISE, nul doute que les conseillers municipaux examineront avec attention la réponse annoncée pour un prochain conseil (novembre ou décembre). En tout cas, voilà une question que j’aurais bien posée. J’ai trop « tourné ma langue » avant de questionner. Est-ce un progrès ?

 

 

 

 

 

Lire la suite

29/10/2013 | Lien permanent

Sur l'OIN, 12 questions!

Le 28 février 2009



Le conseil municipal de VITRY sur Seine, s’est réuni en séance privée le 11 février 2009.
Après un exposé de plus d’une heure et 30 minutes, effectué par le directeur de l‘Etablissement Public d’Aménagement de l’Opération d’Intérêt Nationale Orly Rungis Seine Amont (E.P.O.R.S.A.), je suis intervenu pour poser quelques questions. Il faut bien noter que celles ci sont restées pour l’essentiel sans réponse réelle. En 30 mn les questions se sont succédées, le maire est lui-même intervenu largement dans le débat engagé et la direction de l’E.P.O.R.S.A. a répondu en moins de 15 minutes.
Au moment où les états généraux « des acteurs économiques et sociaux de l’OIN Orly Rungis Seine Amont » vont se tenir le jeudi 5 mars 2009, sans même que les conseillers municipaux des villes concernées ne soient informés et associés,

il convient d’exprimer l’inquiétude que la ville de Vitry soit en réalité dans les prochaines années simplement un réservoir de terrains pour des logements sans même que le développement économique, social et éducatif ne soit amélioré par la démarche de l’OIN.
Il est de la responsabilité de l’élu local, de questionner, de faire part d’exigences et de formuler des attentes !

Voici le cadre de l'intervention, et du questionnement que j’ai exprimé le 11 février dernier:



Des impasses possibles pour l’OIN :
1. Quels sont les réels engagements financiers de l’Etat, du département, de la région et des communes sur le secteur de l’OIN ?
2. N’y a-t-il pas le risque que l’Etat privilégie une OIN sur le secteur de Massy Saclay et l’opération de la Défense plutôt que sur le secteur seine amont.
3. Quel était l’intérêt d’étendre l’OIN aux communes de Chevilly-larue, Rungis et THIAIS ?
4. Quelles mesures seront prises pour que le déséquilibre logement emplois, existant sur le territoire de l’OIN soit comblé et ne s’accroisse pas ? En effet à ce jour, les emplois et la taxe professionnelle sont concentrés sur les communes du Sud de l’OIN. Vitry a un déficit d’emplois particulièrement prégnant.

Une question de phasage :

5. Une convention a été passée à l'automne, entre Réseau ferré de France (RFF), des villes concernées par l’OIN, et l’EPORSA, Qu’en est il d’une convention similaire avec EDF (de fait 2ème grand propriétaire foncier qui maîtrise des surfaces importantes de terrains sur notre ville?
6. Quelles démarches de la part d’EPORSA pour inciter ces 2 grandes entreprises publiques d’implanter sur Vitry des activités plus denses en emplois
7. Ce schéma directeur doit faire des propositions sur deux secteurs de Vitry, conformément à des périmètres d’étude Ville + Etat
• Secteur Ardoines
• Secteur VITRY centre Nord ALLENDE
• Un des enjeux est de savoir dans quel ordre et selon quelles échéances ces 2 secteurs devraient évoluer ?
En posant cette question j’ai la conviction que le premier des secteurs susceptibles d’évoluer devrait être celui dit de la gare du centre, celui de la gare du port à Langlais (avec l’exigence d’un développement équilibré en termes d’emploi et de logements diversifiés), avec un aménagement des terrains actuellement propriétés de la SNCF.

La problématique des équipements structurants

8. Quelles garanties pour que les équipement structurants (ORBIVAL, TRAMWAY sur l’ancienne RN 305, pont de traversée de seine soient réalisés avant et au minimum dans la foulée des projets qui verront le jour et non après….) ?
9. le principe même d’un seul pont sur la seine (au nord de la A86) pose la question des risques d’engorgement de la ville par la circulation routière. Ce pont doit être délibérément pensé en terme de circulations adaptées au développement durable.

Une démarche globale est nécessaire pour le territoire

10. Quelles mesures pour que le territoire de l’OIN soit objet, de la part de l’Etat d’attention dans les domaines de l’éducation secondaire et supérieure ? Tant par les moyens humains que les implantations significatives? Sur Vitry et sur le territoire de seine amont, L’EPORSA ne doit pas être myope et ne parler que de logements, d’équipements et à peine d’emplois et pas de formation (enseignement renforcé au niveau des collèges, filières d’enseignement « international » au sein des lycées, enseignement supérieur).

Une exigence de démocratie

11. Comment les conseils municipaux vont-ils être consultés, associés et informés des travaux engagés autour du schéma directeur ?
12. Pourquoi ne pas avoir associé les conseillers municipaux dans leur ensemble aux groupes de travail du comité consultatif ?

Lire la suite

28/02/2009 | Lien permanent

L'emploi à VITRY et l'OIN, Inverser une évolution inquiétante du nombre d'emplois salariés sur VITRY

Au moment où les conseillers municipaux vont tenir une séance de travail idte "privée", c'est à dire non publique,
il me parait intéressant de ressortir cette note qui date du 4 janvier
Elle souligne quelques préoccupations et exigences pour Vitry au coeur de l'OIN...


IMGP0029.JPGLe 4 janvier 2009


Voici un point de situation sur quelques enjeux pour notre ville, en terme d’emplois, au regard du dispositif engagé au sein de l’Opération d’Intérêt National, Orly Rungis Seine Amont (O.R.S.A.) et de la perspective de modification / révision du Plan local de l’Urbanisme (PLU) de Vitry sur Seine. Ces éléments de réflexion sont bien entendu une contribution au débat notamment dans le contexte de préparation du budget 2009

Je suis à disposition pour en débattre. La réflexion doit être collective.


Une baisse préoccupante du nombre d'emploi sur la ville Cette situation (mesurée au cours de la période 1993 / 2007) est préjudiciable:
• pour l'équilibre entre le nombre d'emplois et le nombre de personnes en âge de travailler
• pour les recettes fiscales de la commune en matière de taxe professionnelle...
• Pour les vitryots, qui globalement bénéficient de moins de possibilité pour travailler sur place. Bien entendu, en région parisienne, les emplois sur place ne sont pas la règle du fait d’un réseau dense de transports en commun. Cependant nombreux sont les constats, notamment au sein du Schéma directeur d’aménagement de la région d’Ile de France, qui mettent en lumière un déséquilibre préjudiciable entre l’Est et l’Ouest de la Région !

I) Les faits :
Vitry sur Seine a connu sur la période 1993 /2007 (derniers chiffres publiés à ce jour) une baisse du nombre d’emplois alors que des communes proches, au sein de l’OIN, sont inscrites dans une dynamique de Croissance des emplois.
Quelle est la source statistique ?
Le GARP, groupement des ASSEDIC de la région parisienne, publie régulièrement ses statistiques sur l'évolution de l 'emploi salarié (secteur privé)
Il s'agit d'une statistique de qualité et reconnue. ( http://unistatis.orsid.com )

Cette source d'information met en valeur l'évolution négative de l'emploi salarié (secteur privé relevant du GARP) sur notre ville.

Ainsi, entre 1993 et 2007, la baisse des emplois (total) est de 5,3% sur notre ville
alors que pour le département, les chiffres font apparaître une évolution de + 16%

Pour étayer ce constat, voici, sur la période 1993 / 2007, l'évolution du nombre d’emplois, au sens du GARP, pour quelques communes proches et membres de l’OIN:Rungis +49% (29 101 emplois en 2007)
Ivry + 57% (24 762 emplois en 2007)
Thiais +21% (9 710 emplois en 2007)
Choisy +10% (7 175 emplois en 2007)

Cette situation est particulièrement préoccupante car notre ville a clairement un déficit d’emplois au regard de sa population « active », c'est-à-dire travaillant ou à la recherche d’un emploi.
Pour mémoire, selon les statistiques du recensement INSEE de1999, pour 100 actifs Vitry n’accueillait que 66 emplois (« emplois au lieu de travail »). Bien entendu, tous les vitryots ne travaillent pas à Vitry et tous les emplois situés sur Vitry ne bénéficient pas tous aux vitryots. Mais, à titre de comparaison, sur le département, cette proportion était de 76 emplois pour cent actifs.

II) Des orientations plus volontaires sont nécessaires :
Au delà d’un contexte économique contraignant, la ville doit être à même d'accélérer la mutation des terrains. De nombreuses études ont mis en lumière l’importance, pour chaque territoire de proposer des terrains ou des locaux d’activités commercialisables dans un bref délai afin d’accueillir des opportunités. A cet égard l’expérience récente de Villejuif avec l’accueil de services centraux du Crédit Lyonnais en est l’illustration. Certes, ce n’est pas le métier des communes de faire ce travail en direct mais il en va de leur responsabilité de créer les conditions de cette offre. A cet égard un travail plus rapproché avec l’Agence de développement du Val de Marne, la Chambre de Commerce et d’Industrie et la chambre des métiers serait certainement utile. Quant à l’établissement public d’Aménagement de l’OIN, (l’EPAORSA), il importe que ses travaux soient plus transparents, en tout premier lieu pour les conseillers municipaux.

Déjà en 1995-2001, lors de mon précédent mandat de conseiller municipal, j'avais alors souligné que les projets de la ville, à travers le plan d’occupation des sols de l’époque, dans la zone d'activité des bords de seine et le long de la RN7, étaient trop timorés. Il convenait dès cette époque de créer les conditions d'une densification des emplois comme IVRY et Choisy ont su le faire sur cette période.

Il importe maintenant que la ville pousse des initiatives significatives pour favoriser des implantations par exemple sur certains terrains qui relèvent de la convention passée cet automne, le 3 octobre 2008, avec Réseau Ferré de France, la SNCF et l’Etablissement Public d’Aménagement Orly Rungis Seine Amont ;

III) L’OIN une opportunité qui doit faire ses preuves ? et plus rapidement !:
La dynamique de « Seine amont développement » ne doit pas se perdre dans la démarche de l’OIN.
Les chiffres précédents illustrent l'intérêt d’une mobilisation en matière d'urbanisme et de développement économique. A cet égard il est essentiel que dans le cadre de l'OIN, une implantation significative d'emplois, densifiés et diversifiés, soit permise sur notre territoire. Il ne faudrait pas que les emplois continuent de s’orienter principalement sur les communes qui ont déjà concentré les créations intervenues au cours des années passées et soient absents de notre ville. Celle-ci se trouverait pour l’essentiel une simple réserve foncière principalement utilisée pour créer des logements ou implanter des activités peu denses en emplois.

C'est au regard de cette problématique que la « tribune libre » que j’ai publiée dans le mensuel municipal de décembre évoquait:

« Oeuvrer pour l’emploi, à VITRY : Vitry accueille des activités d’avenir: La chimie et les biotechnologies (SANOFI/CNRS/ IUT), les matériaux (entreprise membre de « l’Elastopôle »), l’énergie (EDF) ainsi que les transports (SNCF/RATP). Il faut favoriser le développement de ces secteurs porteurs de développement durable.
La perspective d’implantation sur le site de l’IUT, d’un laboratoire de l’université Paris 12, la reconnaissance de la démarche du « Matériaupôle » par le FEDER sont des atouts.
Mais, avec l’Opération d’Intérêt National (OIN), Vitry doit exiger, pour chaque logement construit, l’implantation minimum de 2 emplois. Il faut combler le déficit d’emplois sur notre ville, préjudiciable, pour la qualité de vie, la limitation des déplacements, l’égalité en terme de recettes fiscales en Ile de France
L’Etablissement public « Orly Rungis Seine Amont » doit œuvrer clairement en ce sens faute de mystifier notre ville et ses habitants. Ce débat doit avoir lieu au sein du bureau et du conseil municipal »

IV L’OIN, une opération qui ne doit pas cour-circuiter les conseils municipaux concernés.

Fin décembre 2008, le Maire de Vitry sur Seine a convoqué un conseil municipal "privé" pour le 11 février en présence du directeur général de l’EPORSA.
Cela n'enlève pas l'intérêt d'une réunion de la commission « aménagement affaires économiques » et d'un conseil municipal public sur ces questions.

Il est grand temps que cette réflexion et que le débat aient lieu alors même que sont convoqués, par le conseil consultatif des acteurs économiques et sociaux de l’OIN., des ateliers de travail pour ce mois de janvier et de février et que des états généraux sont programmés pour le 5 mars 2009.
Il est essentiel que les conseils municipaux soient bien informés et consultés au fur et à mesure des réflexions et procédures engagées par l’OIN.

V) Des signes tangibles doivent se manifester sans attendre.
Alors même que le gouvernement parle d’un plan de relance, il est souhaitable que notre territoire bénéficie d’un aménagement rapide des terrains les plus rapidement « mutables » comme ceux détenus par la SNCF et situés entre la gare principale de VITRY (RERC) et l’avenue Salvador ALLENDE. Un développement proche de ce secteur est possible. Il est bien desservit par le RER C et est accessible par la A86, via la zone d’activité, et ceci sans pénaliser les quartiers existant du « Port à LANGLAIS »,

IMGP0031.JPG
Simultanément, alors que progresse maintenant le principe d’un projet de métro ORBIVAL (ARCUEIL/ VILLEJUIF VITRY et vers l’EST du département), et que la réalisation du tramway le long de l’ancienne RN 7 fait son chemin, il importe, sans attendre, que 2 axes simples de transport soient améliorés :
1. Il conviendrait que soit effectivement reconnu comme une priorité pour le court terme l’achèvement du chantier du site propre de l’ancienne RN305, après plus de 30 ans de mise en oeuvre…
2. La fréquence et la qualité des liaisons de bus, Est – Ouest, entre Paris et le TVM, doit encore être amélioré.

Enfin, il importe que soient financièrement encouragées des implantations de formations supérieures, de type notamment universitaire, sur notre territoire. A cet égard les universités de Paris devraient être encouragées tout comme le CNRS afin qu’il développe à nouveau son implantation sur un site « historique » actuellement disponible sur VITRY.
Par ailleurs, les entreprises nationales SNCF, RATP, EDF devraient être fortement incitées à approfondir leur présence sur des terrains dont elles ont à ce jour la propriété.
Certes une partie du territoire vitryot, notamment autour de la gare des Ardoines, est gelé par la présence d’activités relevant des « installations classées » et devant être délocalisées, mais en frange de ce secteur des espaces sont « mutables ».
Il faut que le calendrier s’accélère et que la concertation s’élargisse..

Lire la suite

L'OIN ORSA, en ce début novembre 2009

 

L'OIN pour VITRY, en ce début novembre 2009, des avancées perceptibles

 mais qui doivent être approfondies....

 

Pour mémoire, lors de mes précédents billets publiés sur le bloc notes électronique, j'avais exprimé des réserves notamment sur le projet stratégique directeur de l'Opération d'Intérêt Nationale au sein de laquelle la commune de VITRY est incluse.

http://pagesperso-orange.fr/epaorsa/PSD-ORSA.html ,  http://www.epa-orsa.fr/

Pour l'essentiel, j'avais alors indiqué les préoccupations suivantes :

1) Que l'OIN permette à notre ville de renverser la tendance en matière d'emplois. L'enjeu étant de combler le  déficit actuel d'emplois sur notre ville au regard de la population active résidente sur notre ville et d'inscrire notre commune dans la dynamique, en matière d'emplois. L'objectif étant que ce ne soit pas simplement les communes d'IVRY et du sud ouest de l'OIN qui accueillent des emplois.

Ainsi, j'indiquais que pour chaque création de logement il conviendrait de prévoir, au minimum deux  emplois si l'on a pour objectif de combler ce déficit d'emplois. 

2) Que le phasage des opérations d'aménagements envisageables soit bien maîtrisé et que ne soit pas pris de retard sur Vitry en raison des délais de règlement des contraintes d'urbanisme conséquences des dépôts pétroliers près de la gare des ardoines. C'est ainsi que j'ai clairement annoncé l'intérêt que le secteur situé au nord de la rue Salvador ALLENDE soit traité rapidement, et spécialement les espaces « mutables » sur des terrains actuellement déjà délaissés par « Réseau Ferré de France ».

3) que la question de l'appareil de formation, notamment post baccalauréat, ne soit pas ignorée

 

A ce jour, je regrette que les 3 scénarios d'études annoncés http://pagesperso-orange.fr/epaorsa/Documents/Etudes_et_p... n'aient pas été présentés.

Il serait intéressant de les connaître, s'ils ont été élaborés.....

Le 6 novembre va se réunir le Conseil d'administration de l'Etablissement Public d'Aménagement, ORSA (EPORSA), en charge de l'Opération d'Intérêt.

Il apparaît clairement que ce conseil d'Administration a pour objectif d'affirmer des « ambitions » et un « projet d'ensemble lisible et partagé par les acteurs de l'EPORSA ».

Cette démarche est pleinement justifiée face au risque de voir l'Etat prendre en main directement des projets d'aménagement structurants. Le projet de création de la société d'économie mixte du grand Paris, est l'expression, de la part de l'Etat, d'une démarche centralisatrice, au mauvais sens du terme,. Il serait inacceptable que l'Etat passe en force sans tenir compte de l'expression des collectivités locales, communes, départements ou régions.

 

Des informations obtenues le 21 octobre dernier, « version au 19 octobre 2009 de l'annexe à la délibération du 6 novembre du conseil d'administration de l'OIN » le conseil d'administration devait délibérer sur une note dont l'intitulé était « les ardoines à Vitry sur Seine, un projet d'ancrage local, d'intérêt métropolitain. Un territoire se transforme, une histoire renaît ».....Dans ce document, il était « annoncé » le principe,  d'un développement générant à terme de l'ordre de 45000 emplois et 13 000 logements, soit un ratio de 3,5 emplois pour un logement. A ce jour je ne mesure pas clairement le périmètre concerné. Cela doit être précisé. Est-ce l'ensemble du périmètre de l'OIN ou est ce celui autour des ardoines, au sens large ?

Ce ratio de 3,5  est toutefois intéressant. Mais, il n'est pas précisé le phasage dans le temps.  C'est un sujet de vigilance. Si les logements sont engagés rapidement  et que les conditions d'accueil d'activité ne sont réunies que bien plus tard, le déficit en terme d'emploi ne fera que se creuser......

Le passage d'un transport en commun, en site propre (sur l'axe Nord Sud) au cœur de la zone reconfigurée est évoqué clairement. C'est intéressant. Ceci, en complément d'une liaison ORBIVAL dont le principe est bien entendu toujours réaffirmé, ainsi qu'une liaison en tramway sur le site propre de l'ex RN 305.

De même, le projet qui devait être présenté le 6 novembre, évoquait clairement l'implantation d'activités dans le domaine des biotechnologies en complément des réalisations en cours sur le site de SANOFI. Cependant la question de l'intégration du campus SANOFI (1500 chercheurs) n'était pas traitée en soi.

Par ailleurs, les projets de documents soumis au conseil d'administration n'évoquaient pas l'intérêt d'une mutation, rapprochée dans le temps, des terrains de Réseau Ferré de France à l'Est de la gare de VITRY.

De même, les projets esquissés paraissaient bien timorés en nombre de franchissement des emprises SNCF.

Enfin, les réflexions sur l'aménagement des bords de Seine s'inscrivaient dans une vision peut être trop « fonctionnaliste », distinguant  de manière rigides des zones d'espaces verts et des zones d'activité ou de logements. Dans les faits les espaces verts situées en bord de seine sont envisagés plus comme étant un lieu d'expansion de la Seine en cas de crue qu'en harmonie avec le quartier devant être structuré.

 

Les réflexions sont également absentes en matière de développement des structures de formation, particulièrement d'enseignement supérieur, sur le territoire de l'OIN. J'avais demandé que ce besoin soit pris en compte dans l'avis émis lors du conseil municipal de juin dernier. Cela n'a pas été retenu dans le document voté par l'assemblée communal. Cette dimension n'apparaît pas  dans le document présenté le 6 novembre au conseil d'administration de l'EPORSA. Et cela quelques soient les discours du conseil consultatif de l'OIN sur le « retour aux populations » des projets d'aménagement.

 

Dans ce contexte, il conviendrait certainement de lancer un concours d'urbanisme pour présenter des scénarios réellement avancés afin de ne pas retarder la nécessaire mutation des secteurs concernés et souligner l'intérêt stratégique du « pôle Seine Amont » au sein duquel se trouve VITRY sur Seine.

Cette affirmation est essentielle pour que notre territoire ne soit pas délaissé au profit du pôle de SACLAY ou de la Défense!

 

Ainsi la réflexion engagée doit bien être approfondie pour répondre aux questionnements ci-dessus.

 

Enfin, la démarche d'association des conseillers municipaux et des vitriots doit être encore perfectionnée.........

 

Le samedi 28 novembre se tiendra, en mairie, une initiative publique pour évoquer notamment l'opération d'intérêt nationale. Le principe en a été annoncé par le Maire.

A ce jour les modalités d'organisation de celle ci ne sont pas connues, au-delà de l'éditorial du Maire dans le bulletin mensuel de la ville pour le mois de novembre 2009.

http://www.mairie-vitry94.fr/accueil/publications/publica...

 

Au minimum, il conviendrait que la commission aménagement urbanisme du conseil municipal, si ce n'est le conseil lui-même, ait connaissance des réflexions de l'EPORSA et soit consultée pour avis au delà de la consultation du conseil municipal intervenue en juin dernier sur le projet de Plan Stratégique Directeur de l'OIN.

 

 

Lire la suite

04/11/2009 | Lien permanent

pour les retraites, une sacrée brochette!

Un appel porté par une "sacrée brochette" de mouvements de jeunes.

Effectivement l'organisation des retraites n'est pas une question de vieux....

Organisations signataires :  UNEF, UNL, FIDL, Sud Etudiant, LMDE, CGT, FSU, UEC, Attac Campus, JOC, Génération Précaire, MJS, MJCF, Jeunes Verts, JRG, Réseau jeunes du PG, NPA, Gauche Unitaire Jeunes, Branche jeune d’AL


La retraite, une affaire de jeunes ! 

 

Le gouvernement s'est engagé dans une nouvelle réforme à marche forcée du système de retraites. « Je veux dire aux jeunes de 20 ans que c'est justement pour eux que nous faisons cette réforme », affirme le ministre du travail Eric Woerth. Nous ne sommes pas dupes de cette hypocrisie. Une nouvelle fois, ce qui est mis en place au nom des jeunes se fait sans eux, et surtout contre eux. En limitant le débat à l'acceptation pure et simple d'un nouvel allongement de la durée de cotisation, le gouvernement adresse aux jeunes un message implicite, mais clair : la retraite ce n'est plus pour vous ! Jeunes en insertion, salariés ou étudiants, c'est sur nous que reposera le financement du système de retraite dans les années à venir, et c'est nous qui subirons toute modification du système actuel. Nous refusons d'être les grands oubliés d'un débat qui nous concerne !  

Jeunes, nous sommes attachés au droit à une retraite à 60 ans financée par répartition 

Attachés à  la solidarité entre les générations, nous souhaitons financer un système de retraite par répartition de haut niveau qui garantisse un niveau de pension permettant de vivre pleinement le temps de la retraite. Nous refusons que la retraite par répartition devienne un « filet de sécurité » a minima, insuffisant pour vivre. Nous refusons la logique d'une retraite basée sur la capitalisation individuelle, inefficace économiquement et inégalitaire socialement. Nous dénonçons la double peine que nous imposerait un nouvel allongement de la durée de cotisation ou un recul de l'âge légal de départ en retraite: nous finançons les pensions d'aujourd'hui, nous refusons d'avoir à épargner en plus pour nos vieux jours dans des fonds de pension qui peuvent être ruinés du jour au lendemain !  

Un débat de société  escamoté par une nouvelle opération comptable 

Parce que la nature du système de retraite qui se met en place contribue à façonner la société de demain, nous refusons la volonté du gouvernement de réduire ce débat à une simple équation comptable. En se limitant à jouer sur la durée de cotisation, le gouvernement s'attaque directement à la solidarité sans aborder les véritables enjeux du système : garantie d'un taux de remplacement, pénibilité, allongement de la durée d'étude et d'insertion, chômage, inégalités hommes - femmes (Aujourd'hui le temps partiel subi, la précarité de l'emploi impactent fortement la retraite des femmes.), répartition du temps de travail et des richesses.

En instrumentalisant les analyses du COR (conseil d'orientation des retraites) pour imposer l'allongement de la durée de cotisation comme seule perspective, le gouvernement élude la question centrale de la répartition des richesses. Depuis 20 ans, la part de la richesse produite attribuée aux salaires ne cesse de diminuer au profit du capital.

Alors que notre pays n'a jamais été aussi riche, nous n'acceptons pas qu'il soit demandé à la jeunesse de travailler plus longtemps pour toucher une retraite moins importante, conduisant ainsi notre génération à vivre des conditions de retraites moins bonnes que celles de nos parents ! Il n'est pas acceptable que l'allongement de la durée de la vie soit synonyme de régression sociale.   

Allonger la durée de cotisation ? Pour nous, c'est non ! 

Cela priverait les jeunes du droit à une retraite à 60 ans à taux plein. Pourquoi cet acharnement à reculer l'âge de départ en retraite quand le chômage des jeunes explose? L'augmentation des besoins de financement est une chance qu'il faut saisir. Nous refusons que le catastrophisme ambiant serve d'argument pour esquiver une nouvelle fois le débat sur la nécessaire augmentation des financements solidaires des retraites par répartition : taxation des stocks options et des revenus financiers, suppression du bouclier fiscal, élargissement de l'assiette des cotisations, suppression d'exonérations de cotisations. Si de nouvelles ressources doivent être immédiatement mobilisées, une véritable politique de l'emploi et de revalorisation salariale destinée à lutter contre le chômage et la précarité est également indispensable pour apporter les recettes nécessaires à la pérennité de notre système de retraite solidaire.    

Le système de retraites doit prendre en compte l'évolution de la société !  

Nous réclamons des réformes qui garantissent nos droits sociaux, et nous souhaitons faire évoluer le système pour mieux prendre en compte l'évolution de la société et pérenniser le système par répartition.

L'allongement de la durée des études et le recul de l'âge moyen d'entrée dans un emploi stable (27 ans) conduisent les jeunes à commencer à cotiser plus tard que par le passé. Nous exigeons : 

 

 

 

  • lavalidation des périodes d'inactivité forcée, et la prise en compte la situation des jeunes en situation d'insertion professionnelle pour qui l'enchaînement de stages, de CDD, d'emplois à temps partiel,de périodes d'intérim ou de chômage conduisent à accumuler des droits à retraite très incomplets;
  • la validation des périodes de stages,intégrée dans une véritable règlementation contraignante (rémunération à 50% du SMIC dès le premier mois, reconnaissance et encadrement dans la formation);
  • la validationdes années d'études et de formation dans le calcul des annuitésouvrant droit à la retraite, afin d'offrir à chaque jeune la garantie de pouvoir étudier sans être inquiété par son avenir, même lointain;

En ignorant plus longtemps ces évolutions qui caractérisent notre génération, le gouvernement refuse de garantir aux jeunes qu'ils pourront à leur tour bénéficier d'une retraite solidaire à de haut niveau !  

Les jeunes seront au rendez-vous du débat public pour affirmer que la retraite est l'affaire de tous !  

Nous affirmons notre volonté d'agir ensemble dans les prochains mois afin de défendre l'exigence d'un système de retraites par répartition fondé sur la solidarité, qui garantisse à nos aînés comme aux générations futures une retraite de haut niveau à 60 ans. 

Les jeunes refusent d'être les grands oubliés du débat  qui s'ouvrent et exigent du gouvernement qu'il renonce à l'allongement de la durée de cotisation. Nous demandons à être associés aux discussions en cours.

Nous appelons à  la création de comités jeunes locaux pour organiser la campagne au sein de la jeunesse. Nous appelons les jeunes à se saisir du débat sur les retraites, à participer aux initiatives de mobilisation.   

Le gouvernement ne peut aborder le débat sur les retraites sans l'avis des générations directement concernées par cet enjeu social majeur : les jeunes d'aujourd'hui ! 
 

Organisations signataires :  UNEF, UNL, FIDL, Sud Etudiant, LMDE, CGT, FSU, UEC, Attac Campus, JOC, Génération Précaire, MJS, MJCF, Jeunes Verts, JRG, Réseau jeunes du PG, NPA, Gauche Unitaire Jeunes, Branche jeune d'AL


 

Lire la suite

01/05/2010 | Lien permanent

La semaine de tous les exploits: Princes de la ville ou citoyens tout simplement? De MOKOBE 113 à 2020 AUDOUBERT....

L'implication de chacun est à respecter au plus haut point.

Je vais rester sobre.

Je vous signale simplement un article du Parisien sur la venue de MOKOBE à une initiative de soutien au Maire sortant . A noter, rappelés par le journaliste, les propos tenus par 113 vers la 37ème seconde du clip "prince de la Ville".....

L'article du PARISIEN

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/municipales-a-vi...

 

Le mel adressé largement, le 16 mars à 3h13, par un responsable de la section du PC afin de répercuter cet évènement initialement signalé via TWEETER par une candidate de la liste Audoubert;

Le mel précité

 

"Plus de 150 personnes, des jeunes de Vitry pour la plupart,
se sont retrouvées vendredi soir, pour une soirée politique et festive.
Lors de cette initiative de soutien à la liste de rassemblement à gauche
conduite par Alain Audoubert, de jeunes talents de la ville se sont produits,
alternant avec les témoignages de jeunes candidats aux municipales du 23 mars.

 

Lire la suite

16/03/2014 | Lien permanent

Agression dans l'enceinte du lycéee CHERIOUX

Au lendemain de l'agresion particulièrement violente dont a été victime, hier mardi 2 fevrier, un jeune lycéen, au sein du Lycéee CHERIOUX, je me dois de confirmer la demande exprimée début janvier, suite au meutre d'un lycéen au lycée du Kremlin Bicetre:

http://bertrandpotier.hautetfort.com/archive/2010/01/09/d...

Ainsi,

Nous devons exiger immédiatement un audit, en ce qui concerne les effectifs en personnel d'éducation.

Cet audit devrait être indépendant du Rectorat, et comprendre des parlementaires, des conseillers régionaux, des syndicalistes de l'enseignement, des parents d'élèves, pour apprécier la réalité de la situation dans tous les collèges et lycées, du val de marne;

et bien entendu, de suite, des recrutement conséquents et adaptés à chaque établissement.

Lire la suite

jeudi 28 octobre 2010 à 13H

Manifestation à Paris pour les retraites

[Rendez-vous publié sur Démosphère]


Trajet / Parcours : départ 13h de République en direction de Saint Augustin

République - Bd St Martin - Bd St Denis - Bd Bonne nouvelle - Bd Poissonnière - Bd Montmartre - Bd Hausmann - St Augustin

Un deuxième parcours sera peut-être organisé

Ordre des cortèges:
CFTC - CGT - Jeunes - CFE/CGC - CFDT - UNSA - FSU - Solidaires - FO


Lire la suite

25/10/2010 | Lien permanent

Pour changer ... Autre sujet: des articles intéressants sur l'égalité Hommes Femmes! Ne pas oublier que les femmes ont d

http://rue89.nouvelobs.com/2014/09/26/sexisme-mariee-jai-...

 

http://rue89.nouvelobs.com/2011/10/16/mariees-elles-veule...

Lire la suite

26/09/2014 | Lien permanent

Page : 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25