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Alfortville: le calme règne t il?. Vitry sera t elle éclaboussée par les vaguelettes?

Je ne pense pas avoir une plume aiguisée, même si j'ai la critique fréquente. En tout cas je vous signale une nouvelle fois, une plume acérée. Elle vient de s'exprimer sur l'une de nos villes voisines. L'accord signé entre le PCF 94 et le Maire sortant PS est particulièrement remarquable.  L'engagement permanent de celui ci auprès du gouvernement et de son ministre de l'intérieur est indéfectible et zélé.

Cela fait longtemps que je disais regarder avec attention la préparation d'un accord qui me paraissait bien prévisible. Ce dernier va certainement encore au delà de la situation parisienne.

A voir quel sera le ressac à Vitry. Viendra t il  un accord mémorable sur notre commune?

http://cocq.wordpress.com/2013/12/19/le-baiser-de-la-mort...

Accepterez vous que je vous signale également un billet de la co présidente du Parti de Gauche. Elle évoque la situation d'Alfortville.....

 

http://www.lepartidegauche.fr/actualites/edito/le-front-g...

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23/12/2013 | Lien permanent

Cachez ces blogs que je ne saurais voir

 

Vous n'aviez peut être pas remarqué la note ci dessous. J'avais alors expliqué "qu'il m’était interdit" de mentionner l'adresse du blog dans les tribunes du mensuel. J'expliquais que celle ci avait disparu des coordonnées utiles relatives aux élus. Je signalais l'apparition d'une rubrique relative aux groupes du conseil municipal. Malicieusement je relevais que le blog du Maire avait mis à la porte l'adresse du blog du groupe CRC. Au moins l'adresse de mon blog apparaissait encore...

http://bertrandpotier.hautetfort.com/archive/2013/10/06/t...

Et maintenant toutes précisions relatives à de quelconques blogs ont disparu:

capture site internet 2013 12 22.jpg

Décidément, là aussi, de nouvelles pages sont à écrire.

Pour mémoire des notes sur le même thème

 

http://bertrandpotier.hautetfort.com/archive/2013/11/26/t...

http://bertrandpotier.hautetfort.com/archive/2013/10/06/t...

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23/12/2013 | Lien permanent

La force des questionnements et des propositions

En complément du dernier conseil municipal, je suis stupéfait par la force de la réflexion et des propositions qui peuvent cheminer. En tête à tête, j'entends les bouches qui se libèrent ...mais tout bas pour ne pas être entendues.

 

Nombreux sont ceux qui, maintenant, prennent en compte le malaise d'une ville dont notamment, le déficit d'emploi est préoccupant au regard du nombre d'actif. L'exigence de développement de l'éducation nationale, en maternelle, en primaire, en secondaire et supérieure aurait du intégrer par exemple le contrat de développement territorial que la ville signe avec l'Etat; Développer un territoire ce n'est pas simplement construire des logements et acter des opérations de transport prévues par le Conseil régional avec le Syndicat des transports Parisien, dans un autre cadre que le CDT!

La critique du dispositif de collecte pneumatique des ordures ménagères progresse largement. Elle ne me parait réellement défendu que par le Maire et son équipe rapprochée. Au demeurant nous avons à faire plus à l de la communication commerciale que de la transparence financière sur le plan d'investissement et d'exploitation.

 

Je ne trouve pas beaucoup d'élus qui clairement me disent que le choix de déclarer constructible un espace de 7 000 m2 du parc du COTEAU (rue Robespierre) soit un bon choix. Ceci quand bien même il s'agirait de faciliter la construction de la station du métro Grand Paris express! La ville devait certes faire évoluer le PLU pour faciliter les choses. J'entends bien que par oral la SGP a peut être fait  des annonces. Mais dans ses documents, elle annonce des espaces bouleversés, avec un parvis, certes gazonné, mais un parc éclaté. 

N'était il pas plus sérieux d'autoriser la réalisation des travaux en sous sol et d'exiger qu'en surface le caractère végétal soit remis en état pratiquement à l'identique afin de conserver un espace particulièrement harmonieux et original, si essentiel au caractère du centre ville?

 

Il reste à faire progresser également d'autres préoccupations et propositions. Certes l'Etat a bridé les possibilités de rénovations des ensembles de logements sociaux. Mais, pour l'entretien quotidien, la ville peut s'engager avec méthode et exigence afin que les opérateurs de logement assument leurs responsabilités et travaillent efficacement avec les locataires et leurs associations. Trop de citées, notamment de la SEMISE et de l'OPH sont délaissées. Chaque espace des citées doit faire l'objet d'attention de la part de la ville, comme chaque rue de notre ville. Je ne citerai pas le nom de certains ensembles résidentiels. Chacun connait. Cs deux bailleurs sont présidés par des adjoints au maire. L'équipe municipale est interpellée dan ses responsabilités politiques.

 

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20/12/2013 | Lien permanent

Signature du Contrat de développement territorial: ce 20 décembre

http://94.citoyens.com/2013/signature-du-contrat-de-devel...

Voici le commentaire que j'ai proposé en réaction à l'article publié à ce sujet sur le site indiqué dans le lien ci dessus.

Bien entendu, cette signature du Contrat de développement du territoire peut être l'apparence d'un grand moment.

Certes, les 65 fiches actions peuvent alimenter le débat, la réflexion et la prospective. Cependant ouvrons les yeux .

Le territoire concerné ( VITRY ALFORTVILLE CHOISY) a un déficit d'emploi. Cela n'intéresse pas, il n'y a pas d'objectif chiffré, dans ce domaine, contrairement à d'autres CDT!

Les objectifs déclinés sont en terme de logement. C'est bien, mais le déséquilibre entre emplois et logements va s'accentuer.

L'opération d'intérêt nationale est "collée" dans les lenteurs d'un partenariat curieux entre la ville et l'EPAORSA. L'Etat s'engage sur la fermeture du dépôt pétrolier mais c'est bien le minimum pour 2020 afin que le métro circule... Quels engagement de l'Etat et d'EDF pour développer le site en emplois au delà de centrales électriques modernisées? EDF et la SNCF, entreprises dans lesquelles l'Etat est impliqué, devraient s'engager pour développer des activités et des emplois  dans les domaines de l'energie et des transports! Au lieu de cela le secteur reste pour des années, un lieu de servitude pour des fonctions support.

Quant aux transports , le catalogue de projets est remarquable mais il se contente de reprendre des engagements déjà actés par le Conseil Régional et le Syndicat des Transports d'Ile de France.

Que dire de la fiche qui évoque une généralisation de la collecte pneumatique des ordures ménagère alors même que le dispositif n'est pas convaincant particulièrement sur le plan financier.

Bien sur, certains éléments sont sympathiques comme l'attention portée aux berges de seine ou, sur Vitry, des orientations nouvelles mais imprécises vers la géothermie.

Sans être trop long... développer un territoire ce n'est pas simplement réaliser un unique franchissement des vois ferrées, projet évoqué depuis des décennies. Le développement d'un territoire ce n'est pas que du béton et du bitume.

Quels projets pour l'éducation nationale? Est annoncé un lycée international, soit. Mais ce sont tous les lycées et collèges du territoire qui doivent bénéficier d'une attention particulière, notamment par le renforcement de l'enseignement des langues du monde. Ils doivent bénéficier de coups de pouce notamment en terme de diversification des filières de bac ou post bac.

J'ajouterai, sur ce blog, que le projet d'éco campus est sympa ... Mais, c'est une initiative privée qui n'est pas assurée.

L'université doit également se développer dans ce qui ne doit pas être un "désert". Le Site de VITRY à CHERIOUX est ouvert à cette perspective. L'UPEC a des volontés, elle doit être encouragée. Silence opérationnel. Ce contrat n'est pas à la hauteur des enjeux. Le contrat de projet Etat Région ( CPER) sera certainement le rendez vous. D'ici là la copie devra être revue et prendre de la consistance. L'aménagement du territoire nécessite une implication publique. Vitry ne doit pas se s'enfoncer dans une logique de ville dortoir, quelque soient les perspectives pour 2040...

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20/12/2013 | Lien permanent

L'exigence de prise en compte des préoccupations des locataires. Le dialogue est à construire. C'est cela aussi la Répub

Vous m'avez entendu à plusieurs reprise évoquer l'exigence d'une attention municipale à la réalité de certaines citées. Alors un coup d'œil à un point de situation précis:

http://adlrcf.canalblog.com/

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21/12/2013 | Lien permanent

3/14 Contribution pour Vitry sur seine, municipales 2014, ”Une solidaité intergénérationelle”

Voici donc la suite d'une contribution à la réflexion collective pour notre ville.

AXE 3

 

 Une solidarité intergénérationnelle

 

Une pleine attention doit être portée à la vie des anciens et des personnes dites handicapées ainsi que de leurs accompagnants

 

Le programme municipal de 2008 évoquait la priorité au maintien à domicile, le développement des services d'aide et de soins à domicile. Il annonçait une étape décisive avec l'ouverture d'un second établissement ( EHPAD), spécialement adapté aux personnes souffrant de la maladie d'ALZHEIMER. Enfin un plan de rénovation des foyers logements  devait être lancé.

 

Le scandale de la "gestion" de "l'EHPAD les LILAS"

 

Le présent mandat municipal a été marqué par le passage de la maison de retraite "les Lilas", d'un statut associatif à un statut d'Etablissement Public Sanitaire et Médico Social Intercommunal regroupant Vitry et Ivry...Cela s'est révélé une catastrophe. Est inachevé le changement de statut du personnel, d'un passage du statut privé vers le cadre de la fonction publique hospitalière. Il est apparu une  période de grand flottement dans la fonction d'encadrement, une spirale infernale avec l'adhésion à une structure départementale qui frise le "gigantisme" et qui fait perdre l'efficacité d'une gestion de proximité.

 

En réponse à la mobilisation du personnel qui a dénoncé les errements notamment de gestion,  d'organisation et d'encadrement, la municipalité a fui ses responsabilités et n'a pas entendu, en temps utile, le besoin de dialogue exprimé également par les familles de résidents. Tout cela est intervenu dans un contexte de tutelle budgétaire désastreuse de l'Agence Régionale de la Santé, et d'un éloignement du Conseil Général. Les fonctions de direction administrative et médico-sociale ont été négligées.

 

L'organisation du travail n'a pas été à la hauteur des besoins. La structure n'a plus rempli correctement ses missions. Cela s’est manifesté par de nombreuses places de résidents restées libres.

 

  • La commune doit assumer pleinement ses responsabilités de collectivité membre du conseil d'administration de la structure. Et ceci au delà de la petite subvention versée annuellement (90 000€ en 2012).

  • Le développement des structures publiques municipales d'accompagnement des personnes âgées doit être un objectif.

 

La maison de retraite "Les Lilas" nécessite une attention nouvelle

 

  • Le conseil municipal et la municipalité doivent cesser une posture distante et doivent "reprendre le contrôle" sur cet établissement dont le conseil d'administration est issu des communes de VITRY et d'IVRY. L'adhésion au groupement d'établissements pour personnes âgées n'a pas montré son efficacité;

 

·         Une direction opérationnelle doit être impulsée positivement, en concertation étroite avec le personnel, les résidents et leurs familles..

 

  • La contribution et le contrôle de la ville doivent être rétablis sur une entité si importante pour l’expression de la solidarité intergénérationnelle.

  •  La construction d'un deuxième établissement doit être préparée effectivement et mise en œuvre. En l'espèce il s'agit typiquement d'un investissement d'avenir dans un domaine au sein duquel le secteur privé entend faire des profits!

 

Soutenir le maintien à domicile:

 

  • L'action des services municipaux d'aide et de soins à domicile doit être développée

  • Un effort de solidarité spécifique doit être réalisé, avec le conseil général, afin que les structures qui interviennent dans ce domaine soient accompagnées et encouragées.

  • Les familles doivent être pleinement soutenues avec la souplesse et la réactivité voulues. La solidarité doit être efficiente au moment approprié et selon des modalités adaptées avec une écoute, à la fois, des personnes concernées et des accompagnants.

 

La solidarité avec les personnes handicapées,

 

La diversité des situations d'handicap doit bien entendu être prise en compte.

 

Le travail mené dans notre ville pour l'expression et l'accompagnement des personnes en situation d'handicap doit être poursuivi et amplifié.

 

Au delà de l'accessibilité aux lieux et aux activités locales,

 

  • un accompagnement des personnes handicapées, ainsi que de leurs proches, doit être facilité autant que de besoin.

La commune doit être attentive aux structures associatives présentes sur notre  territoire afin que les droits et la dignité de chacun soient assurés

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21/12/2013 | Lien permanent

5/14 Contribution pour Vitry sur Seine et les élections municipales : Une ville de solidarité complète

Et maintenant quelques éléments de contribution en matière de solidarités....

AXE 5

 

 

Une ville de solidarité complète:

 

La lutte contre les discriminations : accueil des roms, soutien aux "sans papiers", etc..

 

Vitry est, à sa manière, "au cœur du monde" et a "le monde à cœur".....!

 

L'histoire du 20ème et du 21ème siècle a placé Vitry en première ligne dans les  flux migratoires en provenance des régions de France et des pays du monde entier.

 

Au delà des responsabilités nationales et internationales d'un aménagement et d'un développement solidaire de la planète, notre ville doit rester attentive  à l'accueil et à la dignité de chacun.

 

 

L'accueil des populations migrantes, européennes ou non, doit être mené avec attention et efficacité. A son niveau, notre ville doit être exemplaire.  L'Etat doit être responsable.

 

Les Roms ne seront pas les "boucs émissaires" de ce début de 21ème siècle

 

La situation des populations "Roms" est particulièrement préoccupante et révoltante. L'histoire de l'Europe a été marquée par une politique d'exclusion et même de génocide de ce peuple. L'Europe n'a pas pris à bras le corps la question du statut des Roms et la réalité de leur exclusion dans les différents pays où ils résident historiquement. L'Europe qui prône la libre circulation des marchandises et des capitaux n'a pas intégré l'ardente obligation de dignité de chacune des générations concernées, de libre circulation mais aussi d'éducation des enfants.

 

  • Vitry doit s'inscrire dans une politique d'accueil dans la dignité des populations Roms présentes sur notre commune. Il faut simultanément, que l'Europe et le gouvernement Français assument leurs responsabilités pour faire vivre la solidarité, la dignité et l'avenir de chacun.

 

La situation du Foyer de la rue MANOUCHIAN doit être traitée avec responsabilité, cohérence et humanité.

 

Ce bâtiment a été placé à  la "une médiatique" en raison d'une intervention violente, en décembre 1980, avec un bulldozer et le soutien d'élus locaux. Ces derniers ont réagi de manière brutale dans un conflit qui les opposait au gestionnaire du foyer. Ce lieu doit faire l'objet d'un traitement  adapté en tenant compte des réalités humaines présentes mais également d'un engagement global que l'Etat doit manifester.

 

Le Contrat de Développement Territorial (CDT) formalisé en mai 2012 entre l'Etat et la commune de Vitry, associée à Alfortville et Choisy, évoque (fiche action 50) la reconstruction mais avec un nombre de places identique à sa capacité d'accueil d'origine (516 places pour plus de 1 000 occupants actuels...):

 

"L’enjeu est de réaliser un projet de restructuration globale, en traitant les difficultés rencontrées sur ce foyer dans le cadre d’un projet de démolition du foyer et de sa reconstruction en deux résidences sociales, à capacité constante, en traitant la question des sur-occupants en dehors du territoire de notre ville" .

 

Le propriétaire du bâtiment est l'Office Public d'Habitation de la ville. Le gestionnaire de ce foyer, l'ADEF, quant à lui, n'a pas été, depuis des décennies,  à la hauteur de ses responsabilités.

 

En tout cas, notre ville est appelée à traiter la question avec plus de subtilité qu'en décembre 1980!

 

La question du logement, un enjeu et une responsabilité nationale:

 

La demande de logement social est considérable et augmente en Ile de France, dans le Val de Marne et dans notre commune. L'Etat et le gouvernement dans le cadre de relations internationales renouvelées doivent assumer la responsabilité d'un aménagement du territoire de notre planète. Il n'est pas inexorable de concentrer la population mondiale dans des méga-métropoles!

 

La question du logement est un enjeu d'aménagement du territoire mais aussi une exigence de solidarité nationale. Avec l'allongement de la durée de vie, avec la croissance des familles monoparentales, mais également l'exigence d'un confort légitime, les besoins croissent.

 

Au demeurant la corrélation entre construction de logement et la croissance de la population d'une ville n'est pas totale.

 

Une gestion clarifiée des attributions:

 

Les données statistiques (anonymes) relatives aux demandes de logement, leur ancienneté, leurs spécificités doivent être présentées afin d’éclairer le conseil municipal. Celui ci doit être pleinement informé de l’évolution de la demande de logement social, des caractéristiques sociales des familles demandeuses et notamment de leur composition afin d’orienter utilement les axes de la politique de construction de logements.

 

  • Dans un tel contexte doivent être soulignés les efforts collectifs faits pour construire des logements qui répondent aux besoins nouveaux liés par exemple à l'allongement de la vie, aux décohabitations mais également aux besoins d'un confort mieux adapté,

  • Des dispositions de transparence doivent être clairement prises pour  l’attribution des logements sociaux. Elle doit se faire avec le concours de commissions plus ouvertes avec des critères connus de tous.

  • Au delà des commissions d'attribution propres à chaque bailleur, il faut imposer une coordination entre les différents bailleurs présents sur la ville. Des comptes rendus d'activité doivent être communiqués aux  conseillers municipaux afin de s'assurer notamment que les conditions d'équité sont prises en compte.

 

Le droit au logement  doit faire l'attention d'une vigilance et d'un engagement

 

Malgré un nombre important de nouvelles constructions, liées à l'ANRU ou non, la demande non satisfaite en logement social est toujours aussi forte.

 

Les opérations de "renouvellement urbain" : forces et limites

 

Il est nécessaire de dresser un bilan sans concession des opérations de "renouvellement urbain" menées en partenariat avec l'Agence Nationale de Renouvellement Urbain (ANRU).

 

La ville a mené avec l'ANRU une importante opération qui a profondément changé le quartier Balzac et qui a impliqué l'ensemble de la ville. Sur le plan du bâti l'opération est intéressante.

 

Mais, au-delà, l'expérience confirme que les opérations de démolition reconstruction ne suffisent pas par elles mêmes  pour répondre aux besoins sociaux.

 

Par ailleurs ces opérations mettent à jour l'exigence constante de rénovation et surtout d'entretien du parc de logement social existant. Il faut un investissement fort pour rénover certains ensembles bien identifiés: Colonel Fabien, Robespierre, Barbusse, …

 

Toute nouvelle hypothèse d'opération de démolition reconstruction devrait faire l'objet d'un débat critique avec notamment les habitants concernés et en conseil municipal.

 

Dans un contexte de pénurie de logements, la démolition d'une partie du patrimoine doit être soumise clairement à un examen attentif en terme de loyers et de surfaces proposées.

 

La question de l'affectation provisoire de bâtiments  à l'hébergement.

 

Une des priorités serait de recenser et d'étudier les possibilités de telles opérations. Des logements inclus dans des bâtiments en attente d'affectation ou d’opération d’urbanisme doivent pouvoir être utilisés sous forme de baux précaires plutôt que démolis systématiquement et sans délais. Dans certains cas leur utilisation pourrait répondre à des situations d'urgence.

 

Par ailleurs, un bilan complet  doit être présenté au conseil municipal sur le patrimoine et l'occupation de logements propriété directe de la ville et dont la gestion est confiée à l'office public d'habitat (OPH de Vitry). L'analyse des critères d'attribution et surtout de l'existant des occupations doit être réalisée et communiquée.

 

Enfin, toujours au titre de la solidarité, une régie publique de l'eau potable, permettrait un contrôle du service public, et l'expression d' une politique sociale de solidarité dans la gestion de ce "bien commun". Cette problématique sera développée plus loin dans ce document. La communauté d'agglomération peut ouvrir des perspectives. Pour cela, il faut une volonté politique.

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27/12/2013 | Lien permanent

6/14 Contribution pour Vitry sur Seine: ”l'Humain d'abord c'est aussi l'environnement.”

Suite de la publication d'une publication pour alimenter la réflexion et le débat. Alors là vous avez de la lecture. C'est un cadeau ;-)

 Partie 2

 

l'humain d'abord

 

c'est aussi l'environnement

 

AXE 6

 

Un urbanisme qui organise l'espace

 

et qui place les citoyens

 

au coeur des aménagements

 

Il importe de construire une ville "pour tous" et où il fasse "bon vivre":

 

Aménager notre ville, en concertation avec la population, en répondant à des besoins quotidiens sociaux et en veillant aux équilibres,  notamment en terme d'emploi, et en participant à une transition écologique et énergétique.

 

L'opération d'intérêt national (OIN), au sein de laquelle Vitry est intégrée, ne doit pas être un leurre.

 

  • Un bilan devra être fait de "l'opération d'intérêt national" formalisée en 2007 et de l'action de l'Etablissement public d'aménagement "Orly Rungis Seine Amont" pour lequel plus de 225 000 € sont versés annuellement par notre commune.

 

Le territoire initialement centré sur l'espace compris entre la Seine et les voies ferroviaires a été élargi en  incluant des communes situées au sud de Vitry, y compris Thiais et Rungis ou Chevilly-Larue. Cette extension du périmètre a contribué à noyer les problématiques  et particulièrement de cacher les grandes disparités en terme d'emplois et d'activités économiques entre les villes membres. Or, un territoire qui spécialiserait certaines villes dans l'accueil des emplois et d'autres dans l'accueil des logements, serait un échec.

 

 

 

Indépendamment de l'OIN, en raison de l'implication des élus au sein du STIF, les projets de transports semblent maintenant à portée de main (métro de rocade, TRAM, Bus TZEN. Il serait illusoire de croire que ceux ci vont clairement et nécessairement permettre à notre ville de sortir de la logique d'une ville résidentielle et libérer ses habitants de la spirale "métro boulot dodo".

 

 

 

Le "couple" Ville et Etablissement Public Orly Rungis Seine Amont  (EPAORSA), ne parait pas avoir donné de résultats tangibles au regard des lenteurs dans les réflexions engagées sur les deux ZAC. La formalisation des projets est insuffisante et la présentation  de ceux ci devrait être régulière au fur et à mesure du processus, tant auprès des habitants que du  conseil municipal en séances publiques. Au cours des étapes de la réflexion, la présentation  de scénarios alternatifs est la condition d'un processus qui ne serait pas technocratique.

 

 

 

La conduite de la ZAC Seine Gare et celle des Ardoines paraissent bien ralenties. Dans le même temps, Ivry sur Seine a su, par contre, s'inscrire dans une dynamique plus visible.

 

 

 

Le contrat de développement territorial signé en mai 2012, entre la ville et l'Etat, est l'illustration d'un manque d'exigence et d'une soumission communale à une logique de construction de logements sans contreparties réelles.

 

 

 

L'engagement de fermeture du dépôt pétrolier est annoncé avec une échéance en 2020, c'est à dire pour l'inauguration du futur métro! D'ici là, il est à craindre de voir peu de perspectives de réalisations opérationnelles dans le secteur proche de la gare des Ardoines.

 

 

 

Sur le plan éducatif et de l'enseignement, il est retenu l'hypothèse d'un lycée "international" pour les nouveaux quartiers mais, rien n'est prévu pour le développement des filières et options dans les lycées existants… Pour l'enseignement supérieur, aucune perspective dynamique n'est dressée.

 

 

 

Enfin un périmètre de rénovation urbaine en centre ville est annoncé. Quant au contenu, de cette rénovation, tout est à préciser et aucune garantie n'a été apportée par exemple sur le devenir du "parc du COTEAU", en son coté avenue Robespierre.

 

 

 

S’agissant de la généralisation annoncée de la collecte pneumatique des ordures ménagères; c'est une fuite en avant dans un dispositif qui devait être expérimental selon le programme municipal de 2008. L''efficacité opérationnelle et surtout l'équilibre financier de cet équipement ne sont pas connus (traité par ailleurs dans ce livret). Il est nécessaire que soient établies des études actualisées sur le plan de financement des investissements et du fonctionnement de ce projet hasardeux.

 

 

 

Enfin ce "contrat de développement territorial", s'il reprend une série d'opérations prévues par le Syndicat des Transports d'Ile de France, il n'apporte pas de nouveauté tangible. 

 

Pour le reste, nombreuses sont les idées et concepts annoncés sans phasage, sans chiffrage et parfois sans opérateur défini...

 

 

 

Pour résumer, c'est un contrat qui ne garantit pas un développement équilibré du territoire et le comblement du déficit en emplois et en structures de formation. Or, ce sont bien les deux principaux maux dont notre commune souffre!

 

Ce contrat se contente d'annoncer  des constructions de logements, d'évoquer de manière hypothétique des équipements publics mais sans chiffrer quoi que ce soit, si ce n'est le nombre de logements. Quant aux transports en commun, les principes étaient déjà connus. La signature de la ville doit être plus exigeante!

 

Il faut donc refuser une logique de ville dortoir.

 

Vitry a de nombreux atouts, mais elle ne doit pas s'enfermer dans une logique de ville dortoir dans laquelle les emplois diminueraient en nombre, ou du moins en proportion, au regard de la population et des "actifs" présents.

 

Vitry doit être une ville plus agréable à vivre et son aménagement doit être mieux débattu collectivement.

 

Les projets urbains devraient faire l'objet de réflexions concurrentes et de présentations  de scénarios alternatifs aux élus et aux citoyens. Trop souvent les projets sont élaborés en cercle fermé. Une fois ficelés et presque bouclés, ils sont présentés alors à grands renforts de moyens de publicité et de communication pour une simple validation sans que soit faite la place aux débats.

 

Au sein même de la municipalité, les réflexions et décisions sont trop souvent concentrées sur le maire et l'adjoint qui est en charge de "l'aménagement,   de l'urbanisme, du développement économique, de l'emploi, de l'habitat et du logement"...ainsi que de la présidence de la SEMISE, opérateur et gestionnaire de logement social sur la ville...  Cette hyper concentration n'est pas satisfaisante.

 

Vitry est donc engagée dans  des projets positifs en matière de transports publics. Vigilance et exigences doivent aller de pair.

 

Des perspectives d'avenir existent donc en matière de transport. Les transports sont  appelés à se développer  avec notamment les  2 gares de métro du Grand Paris Express annoncées pour 2020. Le tramway sur la RD 5 ainsi que le bus "T ZEN", entre Seine et voies de chemin de fer, sont également prévus pour les mêmes échéances..

 

Dans ce contexte, il faut exiger que le "Parc du Coteau", au centre ville, avenue Robespierre, soit respecté.

 

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29/12/2013 | Lien permanent

7/14 Contribution pour Vitry sur Seine: Une structuration de l'espace et des animations par quartier

Se poursuit donc la diffusion d'éléments de réflexion sur un bilan et des perspectives pour notre ville. Ces quelques lignes ont été alimentées par l'expérience des 6 années d'un premier mandat de conseiller municipal entre 1989 et 1995, une coupure de 13 ans et les 6 années du présent mandat. La multitude des dossiers examinés, l'écoute des uns et des autres contribue à alimenter une réflexion au service de notre ville!

La transparence dans le débat et la réflexion a toujours été la ligne directrice pour la tenue de ce blog,. Elle participe d'une conception du débat politique.

Bonne lecture

 

AXE 7

 Une structuration  de l'espace

 et des animations, par quartiers

 

 

Les conseils de quartiers doivent évoluer

 

La place des conseils de quartiers est à repenser complètement. La charte mise en place au début de mandat, en 2008, n’est pas satisfaisante.

 

D’autres communes proches géographiquement et politiquement, ont des modes de fonctionnement qui semblent, du moins dans les textes, plus satisfaisants ( GENTILLY, IVRY sont citées) Il faut que les conseils de quartiers, exigés par la loi, disposent d’animateurs élus et d'une marge de proposition et d’initiative dans le cadre d'une enveloppe budgétaire qui devra être mise en place afin de stimuler le dispositif. Vitry ne doit pas faire le minimum légal. Elle doit savoir innover en ce domaine !

 

Développer une approche d'animation associative et sociale par quartier

 

  • Multiples sont les initiatives de quartier, tant de solidarité que de fête et d'animation. Elles doivent être pleinement encouragées.

  • L'action de l'association "Centre Culturel de Vitry" (CCV) doit être largement développée. Cette association fait preuve de grandes capacités d'innovation et d'action. Sous statut associatif, avec une direction élue par ses membres, le CCV fédère les associations de notre ville et des quartiers.

  • Ainsi, l'action du centre culturel, "facilitateur d'initiatives", pourrait être amplifiée en augmentant son budget qui est actuellement de  200 000 € par an. Cette somme est à rapprocher du budget du "comité des fêtes". Ce dernier dispose de 399 500 € par an sans que son fonctionnement soit bien contrôlé ni par le conseil municipal ni par une instance de direction associative indépendante.

  • L'action des "centres sociaux de quartiers" ("BALZAC", "porte du Midi") et de l'association "les Monis", mais aussi d'autres structures plus récentes ou plus modestes doit être encouragée.

 

La vie associative des amicales de locataires mais également l'action des conseils syndicaux des copropriétés doivent être encouragées.

 

Les animateurs de ces associations ou entités assument un travail remarquable qui doit être pleinement reconnu et encouragé en respectant leur indépendance vis-à-vis de la commune.

 

L’action des associations de parents d'élèves, du primaire comme des collèges doit être également plus valorisée. Celles ci doivent être pleinement associées dans les débats des conseils de quartiers.

 

L'aménagement des quartiers d'habitat  collectif doit faire l'objet d'une stratégie cohérente.

 

Construire des logements ne suffit pas, il faut les gérer!

 

  • Les rapports entre bailleurs sociaux, locataires et amicales de locataires doivent être basés sur l’écoute et le respect. Les amicales de locataires doivent être mieux considérées par l’ensemble des bailleurs sans exception. Leur expression doit être considérée comme une chance pour la vie de "la cité". La participation des habitants, la convivialité, le respect des parties communes sont des enjeux partagés.

 

·         L'Office Public de l'Habitat (OPH municipal) et la SEMISE (soit 50% des logements sociaux de notre ville) devraient donner l'exemple. Au lieu de cela, ils se trouvent face à une critique de leur gestion au quotidien tant du patrimoine que des relations avec les locataires. Une volonté politique municipale doit s'exprimer et imposer les moyens voulus.

·         Le changement de direction au sein de la SEMISE, permettra t elle des évolutions utiles? Les conditions financières du départ du directeur général ont laissé perplexe (pour ne pas dire plus) de nombreux représentants des locataires.

 

  • La question des espaces, de fait publics, au sein des résidences doit être clairement précisée, en concertation avec les résidents et leurs amicales. Des espaces sont appelés soit à être "résidentialisés" et donc réservés à l'usage des locataires, soit ils sont ouverts à tout le monde. Dans cette dernière hypothèse, la ville doit assumer ses responsabilités pour la gestion de ces espaces publics. Un diagnostic et une concertation  doivent être menés, résidence par résidence dans l'intérêt des locataires et avec le souci que la ville assume ses responsabilités pour tout espace public.

 

 

 

  • De son coté la commune doit clairement mobiliser les moyens conséquents pour faire vivre les quartiers d'habitat social collectif. Ceux ci disposent, par habitants, de moins de kilomètres de voiries à entretenir ! L'attention de la ville doit se porter sur une multitude d'enjeux du quotidien au sein des grands ensembles de logements sociaux: de la "cité". La mobilisation de l'aide municipale à l'amélioration du cadre de vie (AMAC) doit être plus efficace.

 

 

 

  • Le "parc des blondeaux" doit être mieux intégré aux quartiers limitrophes de la rue "Lucien Français" à la rue pierre et Marie curie en passant par la rue "de la commune de PARIS"; Son animation doit être pensée afin que son usage soit approprié. Une démarche originale est à construire avec le conseil général dans la continuité du Parc des Lilas.

     

    Des actions volontaires pour rendre vivants et agréables, l'ensemble des quartiers et tendre vers des « lieux centre » pour chaque quartier.

  • Tendre vers une animation mieux répartie dans les quartiers et une proximité des équipements afin de favoriser les animations de quartiers (annexes de la Mairie, antennes des équipements municipaux, salles de réunion de dimensions variables et adaptées aux différents besoins).

  • Les accès aux abords des écoles doivent être encore améliorés, sécurisés.  La localisation des écoles et leurs accès doivent être pensés pour faciliter le parcours des enfants et des adultes qui peuvent accompagner. 

  • Ecoles primaires et maternelles doivent être en cohérence. Il convient de ne pas renouveler le choix qui a été fait de construire l'école maternelle Louise Michel de manière déconnectée d'un groupe scolaire primaire est certainement une erreur à ne pas recommencer. En effet les parents, dans l'hypothèse où ils ont plusieurs enfants sont contraints de passer, en peu de temps, d'un lieu à l'autre. Cela ne favorise pas la qualité des déplacements.

  • La cohérence dans les implantations de collèges et pour la sectorisation de ceux ci doit être profondément revue. La situation de Vitry est à cet égard "ubuesque". Trop de secteurs scolaires du primaire sont en incohérence avec les secteurs des collèges ( et réciproquement !).

     

    Des aménagements à étudier en concertation avec les habitants

  • L'implantation de fontaines

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02/01/2014 | Lien permanent

8/14 Contribution pour Vitry: ”l'exigence de développement ...”

Quelques éléments relatifs au développement économique dans de multiples domaines

 

Partie 3 :

 

Agir contre le chômage

 

et pour l'emploi

 

 

 

AXE 8

 

 

 

L'exigence de développement

 

des activités et des emplois,

 

des commerces de proximité,

 

des marchés, de l' artisanat etc...

 

  • Favoriser les activités innovantes, le développement des entreprises et notamment leur densification en terme d'emplois.

 

Vitry accueille des entreprises et réseaux d'entreprises de pointe dans les secteurs du transport (SNCF, RATP, agence d'Essai Ferroviaire ), de l'énergie (EDF, RDF), des matériaux (Elastopôle, "Matériaupôle") de la chimie (CNRS et Université à CHERIOUX) et de la santé (SANOFI) .

 

Ces activités, clairement identifiées d'avenir, sont pour certaines au cœur d'un processus de transition écologique. Le partenariat doit être développé afin de favoriser l'implantation d'activités nouvelles porteuses d'avenir. L'Etat doit reconnaitre cela et encourager, en ce qui le concerne, les décisions nécessaires de la part de ces entreprises, notamment celles relevant du secteur public.

 

Ces activités de pointes doivent faire l'objet d'une attention marquée afin de stimuler une dynamique possible. 

 

Une politique cohérente doit être menée pour faciliter au quotidien les initiatives économiques, les créations d'entreprises et le développement de celles ci. La manière dont l'OIN est conduite crée un doute pour de nombreuses entreprises qui hésitent à se développer sur site en raison des délais pour faire avancer les projets et surtout donner des signes tangibles de transformation de l'environnement urbain.

 

 

 

Développer des équipements commerciaux intégrés au cœur des quartiers, facteurs de proximité et d'animation urbaine.

 

  • L'équipement commercial de la ville est insuffisamment diversifié. Toute l'attention doit être portée au maintien d'activités commerciales sur certains axes et dans tous les quartiers. Au delà d'une timide évolution au sein du Plan Local de l'Urbanisme (PLU), des dispositifs légaux de préemption peuvent être mis en place pour orienter cette dimension stratégique d'une ville équilibrée.

  • Les activités commerciales doivent être implantées de manière à contribuer à l'animation des rues. L'expérience de "la Via Bella" doit être analysée et prise en compte  y compris pour une restructuration nécessaire du centre commercial de l'avenue GAGARINE.. Les façades de Leroy MERLIN, de Conforama sont à cet égard certainement des contres exemples.

  • Le principe de marchés forains en soirée, notamment en produits frais,  doit être étudié notamment au cœur ou à proximité des grands ensembles d'habitations.

  • Favoriser la création et le développement d'activités artisanales

  • Trop de personnes souhaitent exercer des activités d'artisanat (par exemple : plomberie, peinture, bâtiment, électricité, etc..) et manquent de locaux et parfois d'un accompagnement minimum. Cette question doit être prise en compte avec méthode, tant pour permettre une insertion économique que pour la satisfaction de besoins identifiés auprès des habitants.

  • Pour stimuler cette activité économique, un partenariat étroit doit être développé avec la chambre de commerce et d'industrie ainsi que la chambre de métiers. Ceci, afin d'encourager des créations ou reprises d'activités en veillant à la diversité des activités proposées. Des relations à construire avec le mouvement coopérateur: scoop (société coopératives ouvrières de production), apporteraient également une dynamique à l'économie sociale et solidaire.

 

Privilégier les circuits courts notamment en produits alimentaires:

 

Dans les "marchés publics" d'approvisionnement de la ville, introduire des clauses de proximité d'approvisionnement en intégrant des exigences de bilan énergétique dans l'approvisionnement des fournitures.

 

  • L'activité du SIDORESTO en charge de la restauration collective notamment des cantines scolaires doit être encouragée et amplifiée.

  • Une attention particulière doit être portée afin d'encourager les commerçants qui s’inscrivent dans cette démarche de circuit court.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Le développement du commerce forain, sous forme de marché de produits de proximité devra également intégrer cette dimension.

  • Des ventes de produits agricoles originaires d'Ile de France ou à proximité. Une telle démarche pourra être encouragée par le Conseil Régional, dans l’esprit de la mise en place d’un "carreau des producteurs locaux" au sein du Marche d’Intérêt National de Rungis. Cette  approche pourrait être construite avec des organisations paysannes de production agricole dans la logique des « Amap » (Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne) qui construisent des circuits courts du producteur au consommateur. .

 

 

 

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04/01/2014 | Lien permanent

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