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02/12/2010

retour sur le débat concernant les projets de transports, le 1er décembre à VITRY

 

Que de choses à dire, sur le fonds et la forme!

je me contente de publier le texte qui à servit de base à mon intervention de 3mn et 30 secondes!

Voici le texte qui a servit de support à mon intervention :

(Evoquer en 3 minutes la question des réseaux de transport en Ile de France, pour notre département et notre ville, c’est plus de temps qu’il n’en faut).

 

Avec le Schéma directeur de l’Ile de France, déjà en 1994, une ligne de transports en commun de liaison en rocade était envisagée pour traverser notre ville, d’Est en Ouest.

A cette époque,  rares étaient les élus qui s’enthousiasmaient sur un tel projet qui s’appelait alors ORBITAL, avec un T.

A ce jour, 25 ans  après, la réflexion a progressée. Notre département, ainsi que la majeur partie des communes du Val de Marne soutiennent une telle démarche et se sont mis d’accord sur un tracé pertinent, appelé ORBIVAL, à 3 ou 5 Km, en rocade autour de PARIS.

(Ainsi l’accord est large sur cette rocade en transport en commun, pour relier les radiales qui existent actuellement ainsi que pour structurer et dynamiser un territoire particulièrement dense et engorgé par la circulation automobile).

 

A ce stade, je constate que les projet de la Sté du Grand PARIS prévoit 2 rocades à l’Ouest et une seule à L’Est ! Clairement il s’agit d’une stratégie qui ne prévoit pas un rééquilibrage à l’Est par rapport à l’Ouest (francilien).

Cependant 3 préoccupations et 3 exigences:

1ère préoccupation

Pas de doute sur la pertinence de 2 stations à VITRY; ceci au regard de sa superficie, de sa population, des emplois présents et à venir notamment dans le cadre de l’OIN aux Ardoines

Il est bien nécessaire de réaliser une double  interconnexion sur notre ville :

·       d’une part, une connexion avec le site propre où circule le Bus 183 qu’il convient de transformer sans attendre en tramway. (La fréquentation de l’ordre de 70 000 voyageurs jours sur cette ligne, valide la création d’un tramway sur cet axe et une connexion. Avec le métro de rocade).

·       et d’autre part, une connexion de ce futur métro de rocade, aux Ardoines, avec la ligne C du RER (dont les fréquences doivent nécessairement être doublées pour passer au minimum à 2 trains tous les ¼ d’heures).

2ème préoccupation

Habitants ou salariés de VITRY, nous devons également exprimer notre exigence qu’à Villejuif, l’interconnexion avec la ligne 7 du métro et le tramway ligne T7 sur la RD 7  (ex RN) soit opérationnelle. Le projet mis à consultation par la société du grand PARIS indiquait que cette station serait optionnelle. L’exigence de cette station à Villejuif Louis Aragon. est stratégique non seulement pour relier notre ville à l’axe structurant va de Rungis au kremlin Bicêtre mais tout simplement pour enrichir le maillage de nos villes qui, d’un statut de banlieue, doivent devenir territoire de développement économique , scientifique et culturel.

3ème  et dernière préoccupation

Il faut absolument que cette ligne de rocade voit le jour avant une éventuelle prolongation de la ligne 14 du métro automatique sur l’axe Paris ORLY. Ligne qui passerait d’ailleurs semble t il nettement à l’Ouest de notre ville. Le centralisme parisien a trop longtemps prédominé. Il faut clairement que la réalisation de la rocade se fasse en priorité

 

Quant aux 3 exigences, il s’agit de:

·       L’exigence  que les stations à venir, notamment dans les villes de l’Ouest parisien soient implantées dans des secteurs qui comprennent déjà, ou à court terme, une proportion notable de logements sociaux. Ceci, afin que la ségrégation sociale ne soit pas accentuée

·       L’impérieuse nécessité que ce transport en commun relève bien du service public.

·       L’obligation que la participation des entreprises au financement des transports publics en Ile de France soit bien sollicitée et que la Région ne soit pas dépossédée de la gouvernance des transports en commun en Ile de France.

.
Enfin il faut dès maintenant accélérer la réflexion, pour le Val de Marne, sur un mode de transport performant et rapide à 10 Km de PARIS, au niveau de la A86 ou de la RN 186. A cet égard la question de dédier une voie de la A86 aux transports collectifs ne devra pas être taboue….de même s’agissant des réflexions menées par des architectes sur un transport rapide au niveau de la A86 dans une autre perspective..

 

Voilà des préoccupations et exigences lucides qu’il convient de bien prendre en compte. Merci de votre attention.

 

21/11/2010

retour sur un article publié avant le conseil municipal du 17 novembre et sur l'OIN

Au fait, j'avais oublié de mettre en ligne cet article du PARISIEN:

article parisien 17 novembre 2010.JPG

Deux remarques,

1) La journaliste s'est enmélé les pinceaux concernant les perspectives de logements et le nombre d'habitants à prévoir.

Quand il est dit 3 400 nouveaux logements à échéance de 2020, il n'est pas exact de parler de 25 000  nouveaux habitants! Il est par contre raisonnable de prévoir entre 7000 et 10 000 perosnnes dans ces nouveaux logements (entre 2 et 3 occupants par logement).

Les documents, de l'EPA ORSA, parlent de 13 000 logements mais à échéance de 2040.... et non 2020! C'est donc à perspective de 2040 que l'on peut évoquer 25 000 personnes dans les quartiers nouveaux.

2) S'agissant des couvertures de voies de chemen de fer, et quand l'article indique que la ville avance l'idée d'une couverture de certaines voies de chemin de fer,

Il s'agit de propos que je n'ai pas entendu , en ces termes, lors du conseil municipal, de la part du Maire ou de l'adjoint en charge de ce dossier.

En l'espèce il s'agit certainement d'une de mes sugestions mais à priori, pas d'un projet de "la ville".

En séance du conseil, j'ai entendu le maire en parler mais pour des voies (nouvelles?) dédiées à un train à grande vitesse vers la Région centre. Il ne s'agissait pas de pr2voir une couverture ou un enfouissement de certains secteurs afin de permettre une liaison urbaines entre les secteurs coupés par les voies de chemin de fer.

18/11/2010

Conseil municipal du 17 novembre

La question n°1 a été adoptée à l'unanimité...

En ce qui me concerne je n'ai pas pris part au vote en expliquant que la délibération n'avait pas suffisement évoluée au regard des débats intervenus.

Il n'était pas question que j'adopte celle ci, par ailleurs un vote contre me paraissait pas opportun à ce stde. Il ne fallait pas fragiliser une démarche au sein d el'OIN

Voici le texte qui a servi de support au début de mon intervnetion. Il faudrait que je développe les quelques avancées au regard des 8 propositions que j'avais formulé. J'y reviendrais.
Après une séance qui s'eest achevée 3h30 du matin j'avais ce soir un conseil de quartier...

 

Question n° 1 à l’ordre du jour du Conseil Municipal du 17 novembre 2010

 

 

M. le Maire, Cher(e)s Collègues,

 

Au cours d’un mandat municipal, il est toujours quelques questions qui marquent l’avenir de notre ville.

 

Déjà au cours du précédent mandat, je n’étais pas alors conseiller municipal, notre assemblée a dû débattre de cette vaste démarche engagée dans le cadre de l’OIN.

 

C’est notamment au regard d’une telle problématique que ma motivation de participer aux Travaux du Conseil s’est trouvée renforcée.

 

Notre Conseil Municipal s’est prononcé, il y a 1 an et demi, le 24 juin 2009, sur le Plan Stratégique Directeur de l’OIN. J’avais alors soulevé une série de questions et j’avais expliqué pourquoi je n’avais pas pris part au vote ce jour là.

 

Ce soir, il nous ait demandé de nous prononcer, à partir de documents issus de l’EPAORSA et datant de novembre 2009.

 

Depuis le début 2010, je radote, en sollicitant que notre réflexion commune ait bien lieu sans attendre. Je crois même que le 14 avril 2010, je m’étais fait chahuté, certains craignant que je réunisse le Conseil Municipal de mon propre chef.

 

Je ne doute pas qu’il va m’être de nouveau opposé l’intérêt d’un travail technique élaboré pour éclairer les décisions du Conseil Municipal. Notre responsabilité de conseillers municipaux est bien de travailler collectivement, dans des délais efficaces.

 

Au demeurant, le travail mené en commissions au cours des derniers jours atteste bien l’intérêt de cet échange collectif. Celui-ci aurait très bien pu débuter il y a 1 an.

 

Cette exigence est d’autant plus pertinente que nous sommes à moins d’un mois d’un Conseil d’Administration de l’EPAORSA qui, si j’ai bien compris, va adopter « un plan guide consolidé » ainsi que proposer des ZAC sur lesquelles nous aurons à nous prononcer au Conseil Municipal de décembre.

 

D’ores et déjà, je souhaite que lors du Conseil Municipal du mois prochain, nous ayons connaissance des réflexions que l’EPAORSA aura finalisé dans les 4 semaines à venir, si ce n’est déjà fait.

 

Les quelques éléments que j’aimerais porter à la réflexion de notre Conseil sont le fruit d’échanges intervenus informellement mais également d’observations formulées lors des commissions qui se sont tenues et auxquelles je me suis rendu avec intérêt comme tous les autres conseillers municipaux qui ont pu se rendre disponibles.

 

Lors de la commission municipale Aménagement du 10 novembre, j’avais remis des propositions concernant l’intitulé de la délibération et le « considérant » de celles-ci. J’avais par ailleurs suggéré que notre délibération ne reprenne pas la conclusion  de la note de synthèse qui nous avait été diffusée. Par contre, j’avais suggéré que l’énumération des perspectives pour l’année 2011, telles qu’elles étaient exprimées dans la note de synthèse, apparaisse dans la conclusion du projet de délibération.

 

Pour l’essentiel, je me contenterai d’évoquer les éléments de contexte justifiant, me semble-t-il, les 8 propositions annoncées.

 

 

Je soulignais ensuite les avancées positives mais aussi les points de préoccupations.

Je citerais, sur le second aspect, et rapidement, sans être exhaustif:

  • La faible perspective de créations d'emplois sur les 10 ans à venir,
  • L'insuffisances de liaisons entre les nouveaux quartiers et les quartiers actuels et notamment l'insuffisance de franchissements des voies SNCF. J'ai insisté sur l'intérêt de couvertures ou d'enfouissement de celles ci.
  • L'exigence d'étudier, dès mainteanat, une solution alternative au schéma de principe de l'étude MANGIN qui prevoyait un étagement de plates formes avec un creusement du niveau en bord de Seine...

Je reviendrais bien sur sur tout cela. L'expérience m'a montré qu'il faut avoir confiance dans le débat . je travail livre ouvert. cela a permis une evolution de la reflexion!

Il y a bien sur des questions qui me laissent un peu amer. Je suis cependant optimiste car j'ai confiance dans le débat. Je me rapelle certains dossier sur lesquls je m'étais passioné en 1989/1995, lors de mon précédent mandat.

Je pense au site Gestetner qui devait accueillir un hotel d'activité avec dse camions qui devaient circuler sur une rampe. Il ya maintenat les Ecoles municipales artistiques...c'est plus sympa

Je pense à la RD61 qui devait traverser le quartier du coteau... C'était pas triste.

je me souviens du projet ORBITAL du SDRIF de 1994.^La municipalité l'ignorait. Que de chemein parcouru avec le projet ORBIVAL...

Alors regardons loin ;-)

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